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Des Branches
6 décembre 2013

6 comme 6 frères au front

Mon arrière grand-père a fait la première guerre mondiale, ses cinq frères aussi.

L'aîné Pierre-Marie, Classe 1903 est parti en février 1915, premier de neuf il était normalement dispensé de service.

Le cadet Jean-Baptiste Classe 1908 rappelé dès le 3 août 1914, fait prisonnier le 27 mai 1918 libéré de captivité en janvier 1919.

Le troisième Joseph Marie Classe 1911, parti au service le 8 octobre 1912, mobilisé le 2 août 1914

Alexandre Marie, Classe 1913, a priori parti en région parisienne, débute son service le 1er octobre 1913 et part aux armées le 8 août 1914.

Lucien Pierre Marie Classe 1915 incorporé le 16 décembre 1914. Mort pour la France devant Verdun le 3 novembre 1916.

Gaston Jean Marie, le benjamin Classe 1917 Incorporé le 7 janvier 1916. A cette date les 6 frères sont à l'armée Gaston est d'abord à l'intérieur, il ne montera au front qur le 13 novembre 1916, 10 jours après la mort de son frère Lucien, sans probablement le savoir.

Ce n'est que quelques années après la guerre que Gaston épousera mon arrière-grand-mère.

 

Centaurea Cyanus deep blue

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5 décembre 2013

5 Comme au moins cinq Claude

Ce billet a failli s'appeler cinq minutes et je reviens...

Mais 5 est la plus grande suite que je connaisse de pères et de fils portant le même nom et pénom

Claude Salvage et son épouse Jeanne Vialar sont de mes aïeux, comme leur fils :

Claude Salvage, époux de Marguerite Mazic, comme leur fils :

Claude Salvage, mari de Françoise Fontrouge, comme leur fils :

Claude Salvage, conjoint de Marguerite Tourtoulou.

Claude Salvage uni avec Marie Delmas ne fait pas partie lui de mes ancêtres, je descends de Françoise sa soeur

mais il complète la série, et peut-être la prolonge par un fils, il faut que je vérifie, mais je l'ai déjà dit;

Et peut être le beau-père de Jeanne Vialar, est-il un Claude, et son père avant lui, mais la recherche se complexifie....

 

Maintenant il va me falloir vérifier si de mère en fille j'ai un prénom ainsi qui se transmet sur plusieurs générations...

 

 

                                                                            Greengages

 

Ah et si on lit étymologiquement nous avons cinq boiteux sauvages qui se suivent... Etrange parfois l'étymologie.

4 décembre 2013

4 comme Mes 4 grands-parents

Depuis que j’ai commencé je m’organise autour d’eux, j’ai quatre branches principales sur mon arbre, une pour chacun.

Une m’emmène dans le Quercy, soit le Tarn-et-garonne, Lot, Lot-et-Garonne et déborde un peu sur le Cantal.

Une autre m’entraînera un jour plus loin en Italie.

Une s’enracine dans le Pays nantais, au carrefour de la Loire-Atlantique, du Morbihan et de l’Ille-et-Vilaine, avec des feuilles cantalous issues du flux migratoire Auvergne Bretagne.

La dernière m’a montré que la profession jouait dans les migrations. Quercy ou Pays de Redon, le cultivateur reste attaché à sa terre parce qu’elle le nourrit toujours un peu. L’artisan lui suit le travail ,surtout s’il n’est pas aîné, et se rapproche vite de chefs lieux ou de la Capitale. Ainsi cette branche plus tournée vers les artisans bourgeonne aussi bien en Auvergne, qu’en Alsace Moselle, en Normandie qu’en Limousin ou dans le Pas-de Calais.

 

 Branques

                                                                                  

3 décembre 2013

3 comme trois fois trois mariage et 2/3

 

Trois, c'est le plus grand nombre de mariages célébrés pour un de mes ancêtres, enfin pour trois.

 Deux hommes, Vincent Ameline et Pierre Biguet, tous deux de Loire Atlantique. Et une femme quand même Antoinette Glise, cantalou.

Il y a également Etienne Balac (aussi du Pays nantais) qui a épousé Julienne Serot, a eu au moins un enfant avec Guillemette Michel et a épousé Jeanne SEROT mon aïeule.

Pierre Biguet a marié Janne Certain, Françoise Aragon ou Ragon (mon ancêtre) et Guillemette Porcher

Quant à Vincent Ameline il a successivement convolé avec mon aïeule Reine Bocquel, Marie Balac, et Jacquette Bouvier.

Il est amusant dans mon jeu des coïncidences de constater que dans ces triples unions (légitimes ou non) mes aïeules sont la dernière, la médiane, puis la première épouse.

Pour la triple mariée Antoinette Glise a épousé Henry Loubeyre mon ancêtre, puis François Loubeyre (je ne sais pas s'il y a parenté mais les deux semblaient être meuniers) et enfin Antoine Rispail.

 Les Quinze joies de mariage

C'est sur Vincent Ameline que j'en sais le plus,

Marié le mardi 25 octobre 1718 à Fégréac (44) à l'âge de dix-neuf ans, avec Reine BOCQUEL,il a eu quatre fils de ce premier mariage dont Julien.

Quand il épouse le mardi 8 juillet 1732 à Fégréac à l'âge de trente-trois ans, Marie BALAC deux des enfants de son premier lit sont encore vivants. Mais Pierre décèdera la même année. Cinq enfants naissent de ce deuxième mariage dont une seule fille, l'aînée.

Sa dernière union se célbre le mardi 28 janvier 1744 à Fégréac à l'âge de quarante-quatre ans, avec Jacquette BOUVIER, huit enfants en naîtront, une seule fille.

17 enfants dont 15 garçons sont nés de Vincent Ameline, mais onze au moins n'ont pas atteint l'âge adulte, 4 étaient prénommés Julien, au moins un par mariage, et son dernier lit lui a donné trois François.

Deux de ses enfants au moins, dont une fille, se sont mariés et le premier Julien a permis que je vous écrive.

Quand il décède en 1778 à 79 ans Vincent est une troisième fois veuf depuis 22 ans.

 

2 décembre 2013

2 comme jumeaux

Ils sont peut être deux... Chaque fois que j'ai prononcé cette phrase cela a donné des sueurs froides à ma femme. Il y a bien sûr eu des jumeaux et des jumelles dans ma famille, mais je ne me rappelle que de deux qui soient mes ancêtres.

Pour le premier, je ne suis même pas sûr qu'il l'ait su.

Le 25 juin 1724 naissent Anne et François Brebion, Anne ne vivra que 3 semaines. François lui deviendra l'aubergiste du bourg. Deux ans plus tard François père et Julienne Bernard auront de nouveau des jumeaux Anne et Julien. La deuxième Anne ne vivra que deux semaines.

Il est vrai que les jumeaux sous l'ancien régime grossissent fréquemment les statistiques de la mortalité infantile.

François fils a épousé Marie Angélique Menand qui lui a donné une petite fille Françoise Julienne malheureusement elle ne verra pas son quatrième automne. 

Un peu plus tard  Angélique accouche une seconde fois, de Marianne... et de Jean, encore une naissance gémellaire. Peut être grâce à la bonne situation de leurs parents ces deux jumeaux (toujours hétérozygotes quand même) vivront et se marieront tous les deux, chacun de son côté bien sûr.

Les seuls jumeaux de mes sosas que je connaissent sont donc fille et père... la jumelle du jumeau.

 

02416

http://www.biusante.parisdescartes.fr/images/banque/pt/02416.jpg

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1 décembre 2013

1 Comme numéro 1 de sosa-stradonitz

La période des fêtes de fin d'année est très souvent pour moi un moment de production généalogique. Comme beaucoup j'affine certaines informations dont je vais parler avec mes proches où je rédige des documents à leur transmettre. Les deux dernières années j'ai réalisé des abécédaires, en 2012 sous forme de calendrier de l'avent. Mais avec le challenge AZ généalogique (voir http://lagazettedesancetres.blogspot.fr/2013/02/bloguez-votre-genealogie-de-a-z.html) je vais changer e thème pour cette avent et je vais compter. Donc aujourd'hui c'est le 1 : 1 Comme numéro 1 de sosa-stradonitz.

La numérotation de Sosa-Stradonitz du nom de ses deux co-inventeurs est à mon sens la plus simple pour ordonner ses ancêtres et retrouver dans son classement les documents de celui que l'on cherche.

Dans cette numérotation, les pères sont pairs et les mères impaires. En fait chaque père porte le numéro double de celui de son enfant et la mère le numéro double +1 ce qui revient donc à ce que chaque numéro pair soit un homme et que les numéros impairs reviennent à des femmes... Sauf le numéro 1 qui est la personne point de départ de la généalogie et qui peut être une fille ou un fils.

Je suis comme la plupart des généalogistes adepte de cette numérotation mais elle m'a toujours posé un problème, ce fameux numéro un.

D'abord lorsque je fus ce numéro un. Parce que si c'est moi qui remontait les ancêtres je n'étais pas fils unique, mais bon que ce soit moi ou un autre à qui l'on attribue le premier numéro, le reste de la numérotation ne changeait pas.

Maintenant parce que j'ai plusieurs enfants et que même s'ils ont la même ascendance, lorsque je confectionne les tableaux ou les arbres sur logiciel je n'ai qu'un numéro 1. Je suis obligé de transformer mon travail, par de multiples ajustements pour faire ressortir mes enfants ensemble dans les documents de présentation.

D6 1

Pour moi ils sont tous les numéros 1 et soit en répétant le numéro soit en le masquant je voudrais tranquillement les mettre au centre de l'arbre, tous et pas seulement 1.

Le problème n'est pas métaphysique, le classement n'est que purement fonctionnel, il est évident que chaque membre de l'arbre n'est pas qu'un numéro. Mais pour la base de l'arbre je trouve toujours cela peu pratique.

 

Surtout si l'une ou l'un d'entre vous a une astuce, je suis preneur.

 

 

 

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