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Des Branches
8 novembre 2019

Gensac Antoinette

Antoinette Gensac naît le 19 février 1737, d'Hugues et Anne Dufour au village de?... Gensac. Elle est baptisée le lendemain tenue sur les fonds baptismaux par Jean Dufour et ... Antoinette Gensac.

Vingt cinq ans excactement après son baptême Antoinette se marie avec Guillaume Gloris, le 20 février 1762 à Montaigu-de-Quercy.

Entre ces deux événements Antoinette a eu quatre enfants avec Guillaume.

 

Le dixième mars 1755 une fille est née au village

de Jeansac d'Antoinette Jensac et on mà dit que Guillaume

Gloris métayér à Malepiade était son père lad

Antoinette Jeansac la déclaré par son audition devant

M le juge de Montaigu du quatorzième février 1755

son parrin a été Guillaume Labrit et sa marreine

Jeanne Jensac

 

Ecrivit le curé. Malheureusement, le trois novembre de la même année il rajouta :

 

J'ay enterrets une fille que Jeansac

du village de Jensac m'a dit etre née

de sa fille ainée, et de Guillaume Gloris

métayér de Malepiade elle avait été

baptisée par moi sous le nom de Jeanne

elle était ageé d'environ huit mois

en foy de quoi j'ai signé

 

Le 15 octobre 1756 est né Pierre qui fut enterré le 30.

Le 9 octobre 1759 SUivit Antoine qui décéda le 10 décembre.

 

 

Un autre curé prit la plume sur les registre et inscrivit :

 

Le treisieme fevrie mille sept cens

soissante et deux est née Margueritte

Gloris fille a Guillaume qui

nous a priés de la metre leur soi

nous ayant declaré lui apartenir en

presance de Guillaume Ramond de

Jean Lapoujade ; et de Toinete Gensac

qu'il doit epouser insessament ; qui

a ete baptisee le quatorze parrain

Guillaume Ramond et Marguerite

Geran

 

Accouchement le 13 février, présence au baptême le 14, mariage le 20, triptique rare, Antoinette avait la santé.

 

Marguerite vécu et se maria.

 

Le 23 mai 1770 elle fut rejointe par Jeanne Marie qui... Je ne sais pas encore.

 

Enfin, le 6 novembre 1774 Pierre compléta la famille. Lui aussi fit souche, jusquà nous.

 

 

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7 novembre 2019

Feder Giovanna

Luca Pacioli, De divina proportione, Letter F

Giovanna Feder

Une de nos ancêtres italiennes, la première à nous emmener hors de la province de Vérone, puisque née à Gallio dans la province de Vicenze...

En remontant le cours de nos ancêtres, les femmes sont d'abord des mères (et les hommes des pères) avant qu'on ne trouve la source de leur naissance...

Giovanna est la mère de Giuseppe Andrea Modenese, l'épouse de Francesco la fille d'Andrea et de Maria Fraccaro... 

Elle est donc née à Gallio et c'est là la seule trace que j'ai de ses parents. Elle a épousé Francesco Modenese originaire de Terrazzo, mais je n'ai pas d'autres informations sur ce mariage, si ce n'est trois enfants, au moins.

Angelo qui porte le prénom de son grand-père paternel,

Giuseppe Andrea qui est le seul à avoir un double prénom, Andrea (pour son grand-père maternel) suivant Giuseppe (un parrain, un oncle ...)

Andrea qui reprend le nom de baptême du père de Giovanna.

Les enfants sont nés à Ronco Al' Adige dans la banlieue de Vérone où Giovanna et Francesco se sont installés.

 

6 novembre 2019

Eugénie Becker

Initiale gothique E

Née le jeudi 30 janvier 1862 au 21 de la Rue de l'Ecole de médecine dans le sixième arrondissement, Eugénie a été reconnue par sa mère Anne Marie Becker le 10 mars suivant.

A l'occasion de cette naissance, quelqu'un a du lui expliquer qu'elle devait faire cette démarche. Dans le même mouvement elle a reconnu ses deux aînés, Nicolas et Marie respectivement né en 1851 et 1857. Y en eut-il d'autres, avant ou après ? Je ne sais.

L'année suivant la naissance d'Eugénie sa soeur Marie quitte ce monde. Je ne sais rien d'autre sur Nicolas.

Je ne connais pas de mari, conjoint, compagnon à Anne Marie, elle même fille d'une célibataire, Anne Catherine venue s'installer à Paris depuis la Moselle après sa naissance.

Anna Marie a exercé les métiers de bronzeuse, ouvrière en bronze, brodeuse ; elle est décédé à Bégard dans les côtes du Nord (devenues d'Armor) en 1883. C'est son dernier métier de brodeuse qu'exercera Eugénie.

le 28 février 1884, encore un jeudi, Eugénie épouse dans la maison commune du douzième arrondissement de Paris l'aurillacois Guillaule Papon, en présence de deux cousins cantalous de son futur, Jules Auriacombe et André Mehl, d'un de ses amis Alphonse Leroy et d'un ami à elle Lucien Herbrat.

Habitant auparavant 254 Faubourg St Antoine elle réside maintenant comme son époux au 61 Rue de Reuilly

Le couple aura neuf enfants : 

  • Edmond Eugène naît le 11 novembre 1884, la famille est domiciliée au 80 rue des haies dans le XXe arrondissement de Paris ;
  • Clémentine, née le 10 avril 1887 Rue Guilhem dans le XIe, disparaît le 18 mai au 7 rue des Jardins dans le IVe ;
  • Félix pousse son premier cri Rue Belfort dans le XIe le 3 août 1888 mais meurt dès le 20 février 1889 au 16 Rue Moreau dans le XIIe ;
  • Clémentine, la seconde, rejoint la famille, encore établie au 16 Rue Moreau le 6 octobre 1890 ;  
  • Félix, deuxième du nom, notre aïeul arrive le 30 janvier 1892, 4 bis passage de la main d'or dans le XIe ;
  • Georges vient au monde le jeudi 7 mars 1895 à Valenton où la famille s'est installée ;
  • Paul naît le 26 janvier 1900 dans le 14 arrondissement de Paris mais la famille réside à Valenton ;
  • Albert né le 22 mars 1901 à Valenton y décède le 19 février 1902 ;
  • Albert encore séjourne sur terre du 23 mars au 12 août 1902, la famille réside toujours à Valenton.

Il est à noté que cinq seulement parviendront à l'âge adulte et se marieront, mais que les prénoms des trois premiers décédés ont été redonnés à leur cadet de même sexe, sauf pour le deuxième Albert puisqu'il fut le dernier de la fratrie.

Dans le recensement de Valenton de 1896 la famille réside Rue de Villeneuve, l'aîné est nommé Edmond, dans ceux de 1901 et 1906, la rue ne change pas mais Edmond Eugène est inscrit comme Eugène. En 1911, l'adresse n'a pas changé mais l'aîné a quitté le nid. Guillaume est toujours mentionné comme électricien et Eugénie comme brodeuse.

Le 12 mai 1922 Eugénie, encore brodeuse à soixante ans perd son époux, Edmond et Félix le déclare le lendemain à la mairie de Valenton.

Résidant toujours à Valenton, mais impasse Guérin, peut-être chez un de ses enfants, Eugénie s'éteint le 26 février 1926 à l'hôpital de Villeneuve-Saint-Georges.

 

5 novembre 2019

Danduran(d) Louise, avec ou sans D ?

décoration ligne rouge lettre jaune Police de caractère Triangle logo Drapeaux style ré forme Superman clipartPour Louise également, ma connaissance de sa vie se résume à l'acte de mariage, un peu distant, de son fils.

Le lundi 27 juin 1729, François Lacoste épouse à Fay (aujourd'hui Fay-de-Bretagne) Charlotte Guillard. Il est présenté comme le fils de feu Anthoine et de Louise Danduran, de la paroisse de Marmanhac... J'eus le temps de me dire qu'après Fégréac, Missillac, Sévérac se montrait Marmanhac quand vint la suite... diocèse de St-Flour, Province d'Auvergne.

 Notre jeune marié avait bien voyagé. Il m'est agréable (même si ce n'est pas forcément judicieux) de penser qu'au gré d'une de ses tournées (si François était bien colporteur et non brassier) le tourtereau a rencontré sa tourterelle, a roucoulé pour elle et décidé de faire son nid dans son pays.

Mais revenons à Louise, Sur Marmanhac, bonne nouvelle, des Danduran, des Dandurand, des Louise, plus de Lacôte que de Lacoste, des Antoine, mais point encore de Louise Danduran épouse d'Antoine Lacôte. Sur St-Flour, j'ai moins poussé les recherches c'est peut-être le pourquoi de ne pas non plus les y avoir trouvés. Pas plus de trace du baptême  de François...

J'ai cru que GéneaNet allait me donner une réponse, mais si une internaute a identifié des parents pour Louise, la référence serait un baptême, où elle fut marraine, dont la côte a été mal notée. Ma probable cousine, l'ayant déniché lors d'une visite sur place, ne sait plus si c'était à Marmanhac ou à St-Flour, les deux communes qu'elle a visitées à cet instant.

Bien je crois qu'il me faudra enfiler un costume d'endurant, Louise, pour te retrouver.

4 novembre 2019

Chaussée glissante devient Chausseix

C

Je vous ai déjà parlé de Marie Françoise Chausseix, et là aussi, j'y abordais déjà ce passage d'un nom à l'autre.

Au passage au 19e siècle deux familles de Fégréac, les Chaussée ou Chaussé et les Année ont vu la façon d'écrire leur patronyme se transformer.

Ils sont devenus Chausseix et Anneix, mais la prononciation à priori n'a pas changé, comme si le nom était savoyard.

Dans la table décennale des naissances 1803-1812 de Fégréac, nous trouvons des Anneix, mais des Chaussé. Même constat pour la table 1813-1822. La différence viendra à la table suivante, en 1823 et 1824 les nourissons de la famille deviennent des Chaussée, à partir de 1825 apparaît l'nscription Chausseix. Dans cette table les trois graphies cohabitent.

Le 9 mai 1827 naît le père de Marie Françoise, Pierre. Il semble être le premier de sa lignée à être inscrit comme Chausseix dans l'état-civil, peut-être parce que sa mère Jeanne Marie était déjà appelée Anneix et ce depuis sa naissance le 9 décembre 1797.

Le patronyme Chausseix a t'il évolué par mimétisme avec celui d'Anneix ?

C"est ce que je continuerai à regarder, ce challenge étant plus un point de départ qu'un objectif d'arrivée.

En tout cas Marie Françoise signait Chaussé et ce bien après la modification graphique de son état civil.

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3 novembre 2019

B de Beauzon ou B de Beaujoux

B de BurroMarie Beauzon constitue avec son mari Jean Selves une des épines généalogiques des branches ascendantes de nos familles.

La seule trace que j'ai longtemps eue d'elle est la mention de son nom sur l'acte de mariage de son fils le 6 août 1803. Pierre Selves était identifié comme atif de Cabanes en novembre 1766 et fils de Jean et Marie Beauzon.

Et je n'ai pu trouver son acte de naissance pour être sûr du lieu.

Or, récemment un internaute via Geneanet m'a orienté sur la piste du couple Jean Selves et Philippe Claude Beaujoux. Ce couple a eu des enfants entre 1760 et 1775 à Cabans, aujourd'hui commune du Buisson-de-Cadouin. Avouons que bien des données correspondent.

Cabanes et Cabans surtout qu'a priori j'ai lu un mot que je connaissais plutôt qu'un lieu inconnu.

Jean Selves et Jean Selve, je valide

Beauzon, Beaujoux il a fallu un sacré accent, ou une mauvaise vue... Le u et le n se confondent souvent quand les jambes sont vites tracées, un j biscornu pourrait donner un z et Beaujou devenir Beauzon.

Bon reste que Marie et Philippe Claude c'est un peu éloigné, mais ce n'est pas la première fois que le prénom d'une mère serait déformé ou simplifié par l'officier d'état civil...

Alors bien sûr pas d'acte de naissance d'un Pierre en novembre 1766, mais l'absence du jour sur l'acte de mariage me fait songer depuis longtemps à un oubli d'enregistrement de la naissance... peut être faudrait-il rechercher un acte de notoriété.

Peut-être aussi faudrait-il rechercher une naissance dans un lieu proche.

Il est possible que je sois près, Marie, Claude, Philippe de te rendre ton état civil et de raccrocher tes parents dans mes branches car toi, tu y es déjà même si ton prénom est peut-être d'emprunt...

 

 

 

1 novembre 2019

Accoucheuse en A

A, Lettre, Alphabet, Par Ordre Alphabétique, AbcMarie-Thérèse Brache.

Pour être nos aïeules, elles ont accouché. Parfois une seule fois, parfois de nombreuses, parfois elles ont aidé leurs filles, leurs soeurs, les autres. En famille ou en experte.

A priori Marie Thérèse Brache, régulièrement nommée Marie sur les actes était sage femme.

Né au milieu du 17ème siècle, dans un territoire qui ne s’appelait pas encore le Pas-de Calais, elle a selon un cousin généalogique accouché une de ses belles filles dont elle a ondoyé l’enfant.

Elle, qu’un curé avait du faire prêter serment ne pouvait prétendre à la prêtrise. Cependant en cas de danger grave elle avait le droit et le pouvoir de prononcer les paroles qui empêcherait l’âme partie trop vite d’un jeune enfant d’errer dans les limbes. Ce que formée pour elle a du faire ce jour, dans la chambre de son fils probablement.

Que de responsabilités, être assez sage pour accompagner les parturientes à renouveler le miracle de la vie, être assez solide pour en même temps faire face à la mort et tenter de la conjurer par l’expérience et des qualités obstétriques ou dans le drame par une liturgie d’urgence.

Marie-Thérèse il me reste tant à savoir de toi, de ta naissance, de ton serment, de ceux que tu as fait venir au monde.

Epouse d'Antoine Cocud tu lui as donné plusieurs enfants, et ta soeur Françoise est aussi mon aïeule.

Dernière modification le 7 novembre 2019

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