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Des Branches
31 décembre 2020

Sosa Noel

Le 19 septembre 1653 fut baptisé Noël Normand, fils de Michel et Yvonne Menand

 

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24 décembre 2020

Sans thème mais des émotions bien traduites

Pour ce dernier extrait de ma revue de lecture les challenges qui ont choisi de ne pas choisir de thème ou dont je ne me suis pas aperçu plus tôt qu'ils en avaient un. 

 

A la recherche du temps perdu la ch’tite famille

Où l’on rencontre des prénoms tombés en désuétude Damarisse -  Diménine - Dessange - Délia - Damas – Drogo, dont au moins 4 que je suis sûr de n’avoir jamais croisés et les autres plus dans des romans que dans la rue.

Où l’on apprend que Tamboise est un tambour néerlandais et lit une joie présentation du valet de charrue. Et où l’on se rappelle que wassinguer veut dire nettoyer ou laver dans le Nord.

 

Attrape mémoire nous parle de l'Adour et de son embouchure et des travaux qui y ont été réalisés, de deux frères, Etienne Maximin Hores et Pierre Haure, d'un polonais ayant peut être transité par la Galicie Lucas Figas.

Mais il évoque aussi le dimanche quinquagesime (situé cinquante jjours avant Pâques) précédant le premier dimanche du carême et la famille du peintre Paul Rambié, qui nous a quitté il y a peu.

 

 Anne-Marie Brienne et ses challenges de A à Z nous explique que la boucharde est un marteau à damier de pointes, utilisé pour tailler la pierre, mais aussi pour affiner, embellir les parements et nous parle du plat sarrois typique : dibbelabbes.

Le veuvage d'un ancien de la campagne de Crimée et de celle d'Italie, après les quatre de son père sont l'occasion d'un étude sur le thème. Tandis que les tendres kilomètres parcourrus par son aïeul à pied, en vélo ou en tandem à moteur, pendant que sa passagère lisait derrière lui, nous font naître un sourire sur les lèvres.

 

Chroniques d'antan et d'ailleurs nous offre de riches articles, documentés et illustrés. Elle nous dévoile une tutelle ou l'oncle tuteur a du être mis sous tutelle par un oncle de l'autre escot. Une enquête en S comme Salard qui aurait pu être S comme soeur se déroule sous nos yeux, où comment retirer une épine via les collatéraux. Et nous guide tout au long d'une demande de dispense présidentielle pour un mariage.

Dans une querelle elle nous livre l'accès à un convertisseur de monnaie ancienne vers la nôtre et nous rappellle que Xtophe est Christophe.

 

 Geneafinder parle via les slasheurs aux multiples casquettes d'aujourd'hui, des nombreux métiers exercés concomitamment ou successivement par nos ancêtres et de en zéro déchets, de leur manière de recycler et d'utiliser jusqu'au bout les objets, mais aussi des problèmes des ordures et des résidus, laissés partout ou jetés par la fenêtre.

Et un portrait d'Harriet Tubman, abolitionniste et féministe, ayant sauvé de nombreux esclaves pendant la guerre de secession et devant figurer prochainement sur un billet de dollars américains.

 

Généalogie & ADN 

Sont ici présentées des recherches sur les origines d'ancêtres de minorités ayant parfois du s'exiler : anabaptistes, mennonites, dont les Keller, et amish, mais aussi des premières enquêtes en Suède chez les Liljegren.

Les réponses sont variées et adaptées pour répondre à la question classique du jusqu'où es-tu remonté ?

Nous sommes lancés sur la piste d'une famille de tailleurs de pierre originaire d'Autriche, dont la visite des archives de Metz dévoile un acte tutélaire. mais aussi sur des oiseleurs portant un aptonyme (nom adapté à leur métier ou leurs caractéristiques) les Vogelgesang (chant d'oiseau, ramage) dont plusieurs membres furent oiseleurs, ce métier se disant « Vogelfänger » .

 

Je vous parle d'un temps commence son périple à Aydat, où nous explique-t-elle, a aussi débuté son aventure généalogique alors qu'elle cherchait la commune de La Garandie, qui en fait est un hameau d'Aydat. Autre lieu dit Fereyrolles, avec la sempiternelle question, le toponyme découle-t-il du patronyme ou vice-versa ?

Pour Paris, les ancêtres n'y sont pas montés, a priori ils en sont descendus... Et les kilomètres  sont ceux parcourus par André Nestor Touraille, 20 ans, père de deux enfants, dont la deuxième née quelques jours avant son départ, marié peu de temps avant son incorporation, pour aller tomber pour la France. In memoriam...

 

Famille je vous aime nous invite à la table de ses aïeux italiens et de la diversité régionale avant le risorgimento, pour les français c'est de vin dont nous parlons avec ses métiers, dont celui de closier (ouvrier agricole logé et nourri) que je découvre. Le blatier nous révèle aussi ses activités

En Italie le censimento, état des âmes est un trésor pour généalogiste, en Lorraine (Moselle encore... qui n'a pas d'ancêtres mosellans ?), nous abordons les dialectes locaux et les noms de rue de Metz. Quleque soit le lieu, il y a des soldats et nous en suivont quelques-uns qui ont longtemps porté les armes, pour avoir tiré un mauvais numéro et dont nous suivons le parcours.

 

Aujols-Laffont nous fait visiter sa bibliothèque (on y déniche ces noms qui sont les miens de Matrine Delerm, allez feuilleter) ou un ouvrage sur les Pelharot, mais que font-ils avec les peaux de lapins ? Et son grenier, qui est une cave aux trésors généalogiques avec notamments des prix de distribution scolaire. 

Elle nous parle régions, avec l'influence des saint locaux sur les noms de baptêmes et l'importance culturelle des langues, et nous rappelle que nos prédecesseurs savaient marcher.

 

Jlgrandidiergénéalogie nous explique l'origine du four banal par une recherche etymologique du ban ; Son zoom fait un gros plan sur le village des Côtes d'Armor, alors Côtes-du-Nord, où une de mes aïeule a résidé : Bégard.

Il nous conte une histoire de verriers venus reconstruire avec d'autres corps de métier les dégâts de la guerre et une autre sur les forgerons, meur apprentissage et leur ouvrage de validation : le bouquet de Saint-Eloi.

 

Mes racines plonge dans l'histoire et nous rassemble autour de monuments aux morts, auxquels elle rend hommage.

L'histoire d'un Stanislas m'a bien sûr interpellé et j'ai été séduit par le mariage Brin-Damour.

Et il va bien falloir que j'y replonge pour aller explorer le Géoportail qu'elle nous présente de façon appétissante. (Oui je dévore ma généalogie.)

 

Le challenge de Des ancêtres et des actes me parle. Comment transmettre sans lasser, la vérité des actes est-elle la seule ? Comment partager des données et respecter la confidentialité ? voilà des questions que je me pose.

L'hommage aux passeurs de mémoire qu'elle  croisé en fait leur héritière, et je crois que je vais plagier son jeu de mémory. Vais-je me laisser tenter par un D.U. généalogie ?

Je vais prendre le temps de suivre le pas à pas de torois articles, sur Khartis pour la cartographie, sur le fichier Gedcom pour mieux l'utiliser avec mon logiciel et sur les notes et comment les mettre en valeur.

 

Bon et bien après l'écriture et la lecture, la mise en pratique.

Joyeuses fêtes à toutes et tous.

 

23 décembre 2020

Vu sous cet angle

Les quatre défis que je regarde ce jour ont choisi un angle bien particulier, et particulièrement bien choisi, pour égrenner les lettres de leur alphabet généalogique.

 

Des gens d'avant nous raconte d'un acte de donation partage, bien détaillé, à une usurpation l'histoire d'une maison. maison avec cheminée, pressoir et cellier, un plaque de numéro correspondant à l'insigne d'un shako, des signatures de multiples de donataires, de donateurs, d'une famille et d'autres.

Et des interrogations sur comment mieux utiliser Khartis pour générer des cartes personnalisées à partir de fonds.

Pouvez-vous l'aider ?

 

Les cailloux de mes ancêtres se penche sur un recensement, celui de la commune des Vastres en Haute-Loire en 1911. 

La saisie exhaustive des habitants a permis de mener certaines statistiques , sur le nombre de fratries, le nombre de jumeaux (y compris adultes et dans des foyers séparés). Sur les métiers avec des zooms sur le curé, le pasteur les domestiques, les instituteurs. Sur les homoymes, 1/3 des recensés ont au moins un homonyme, et trois patronymes sont portés par 20% de la population du village. 

Intriguant, intéressant, cela donne des idées.

  

Mes passions et métiers nous détaille les lettres via le prisme de l'éducation.

Les diplômes des ascendants, les formations qu'ils ont du suivre pour se former professionnellement, parfois via l'apprentissage. les certificats, pas seulement d'études, mais aussi de travail, pour la fin de vie professionnelle. L'école (kevren en breton) ses photos et ses travaux d'aiguille, réservés et obligatoires pour la gent féminine, n'en aurions nous pas tous besoin aujourd'hui ?

 

Jadis et naguère brode son alphabet dans le monde des tissus et de ce qui s'y rapporte.

Nous visitions la mercerie pour ses accessoires, le berger, ses moutons et ses peignes à carder la laine, le lavoir pour nettoyer... Le ver à soie les fabriquants de bas, les couturières, les tisserands ou les doreurs sont mis à l'honneur. Je découvre le métier de chapier  "celui qui confectionne des manteaux" ou "celui qui réalise des chapes et toute sorte d’ornements liturgiques".

Et un tissu on le voit se confectionne, se détache, au savon de fiel de boeuf ou à la terre de Sommières, cela se soigne et ainsi une robe de baptême peut se transmettre et servir plus de 150 ans et l'on peut dormir dans des draps brodés aux initiales d'un trousseau.

22 décembre 2020

En scrutant les actes

En scrutant les actes ont peut disserter sur les signatures, ou étudier les particularités de ceux de sépulture.

 101 gènes est un blogue à quatre mains, qui nous présente donc des visuels, photos ou signatures.

Pour les photographies, nous apercevons une belle image d'un groupe de douaniers devant son bâtiment et un projeteur de film super 8 qui était quand même le summum du progrès pour avoir ses films.

Pour les signatures petit éclairage sur les signatures d'hésitants sachant à peine écrire, d'autres la maîtrisant assez pour l'inscrire dans un cercle, ceux qui rajoutent leur initiale, leur prénom ou leur fonction, tandis que d'autres ont une simple marque, pas forcément une croix.

Et il y a ceux qui publient les points sur le i ou en plus en rajoutent sur le U. Pour le différencier du N ? Me demandé-je.

 

Autant de nos ancêtres (beau titre de blogue et beau challenga) a épluché les actes de sépultures et leurs mentions insolites pour ses aïeux, en France et au Portugal. Elle nous transcrit l'acte brut, puis nous présente l'ancêtre concerné et enfin revient sur les circnstances du décès.

Ainsi par la plume des curés nous apprenons que c'est un bonheur de recevoir les sacrements de l'Eglise avant de rendre l'âme, nous savons que l'un est mort après quelques jours de léthargie, une autre après être allé voir un jubilé particulier, que nombreuses furent les morts subites, parfois dans une autre paroisse, au sortir de la messe basse. Et que certains ont précisé de leur vivant qu'ils souhaitaient être enterrée dans leur 2glise d'enfance plutôt que dans l'actuelle.

Au Portugal nous pleurons un ancêtre décédé après être sombré dans la folie et apprenons que le curé pouvait célébrer les offices pour un homme dont aucune nouvelle n'a été reçue depuis dix ans. Afin d'officilialiser sa disparition de la communauté.

 

21 décembre 2020

Cette ville, ce village, ces visages

Des releveurs de défis nous ont déjà emmenés visiter les villes de leurs ancêtres, ceux-ci n'en ont choisi qu'un ou une.

Destins d'aïeux nous invite à Fossé, petit village situé dans les Ardennes. De cette situation dans une zone transfrontalière, le village a beaucoup connu la guerre, et un des billets retrace par les journaux de marche les nombreux régiments qui y sont intervenus durant la première guerre mondiale.

De fait la commune a subi de lourds dégâts, les conflits détruisant des actes d'Etat-civil une partie de l'Eglise Saint-Nicolas outre les dégâts humains et matériels.

Pour combler les lacunes de l'état-civil, les actes de catholicité sont un espoir.

Par l'analyse des signatures notre narratrice trouve un moyen de différencier les nombreux Jean-Baptiste notamment les PREVOT qui cohabitent dans le village.

Du portrait de Marie Nicole AUBRY une fileuse mariée à un tisserand, avec une belle-fille couturière l'auteure bifurque vers une présentation rapide de l’industrie textile dans les Ardennes  filatures, usine de teinturerie et usines textiles, tanneries.

 

C'est à Gizy que Ciel ! Mes aïeux nous transporte à Gizy, en Picardie

Avec sa malle bavarde et aidée des documents précieux de Philippe Hanys la généablogueuse nous narre les petites et grandes histoires du village.

On y parle des origines, avec une intelligente façon de dire qu'entre trois explications, aucune n'étant avéréé, chacun peut choisir la sienne, de l'évolution d'un village comme celle d'un humain, avec ses infrastuctures, école, gare et le rôle du train, mais aussi ses animations comme la fanfare.

Occupé par les uhlans, et dans la durée étant réquisitionné pour la Kantine et les Lazaretts (hôpitaux) des troupes ennemies, le village a aussi subi des attaques d'Ypérite et a mérité sa croix de guerre.

 

Habituellement c'est Lyon qui nous est conté par la forêt de Briqueloup. Ce mois de Novembre ce fut les promenades à Marseille.

Les lieux fréquentés par les ancêtres sont abordés et dépeints, avec force documents, comme la Rue Désirée.

Mais ce qui m'a vraiment enthousiasmé sur ce challenge ce sont les façons de procéder (et de l'expliquer) pour mettre en relief les informations sur les dernières lettres du défi : U, W, W, Y Z. Cartes, mais aussi cartes des migrations, timeline, infographie sur les métiers, documents interactifs, via le logiciel généatique, le site infogram  ou une plateforme dont on vient de me parler genial.ly qui donnent des résultats bien distrayants.

Merci Briqueloup, oui vos explications me seront très utiles.

 

 

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20 décembre 2020

Quand la généalogie a des lettres

Littérature, correspondances, ouvrage, aujourd'hui nos challengers nous ouvrent le monde des lettres.

Nouvelles branches nous présente 26 femmes de lettres du dix-neuvième siècle. elle brosse leur vie, leur oeuvre et les premières cases de leur arbre généalogique.

Très subjectivement les livres que cela m'a donné envie d'aller regarder de plus près :

  • Norbert Dys de Mathilde Alanic
  • Velléda de Léocadie Hersent
  • Des pièces ou recueil de poéesie d'Anne Menard dite Anaïs Ségalas, 
  • Francinet, l’histoire d’un adolescent entrant dans la vie professionnelle par Augustine Tuillerie, dite G. Bruno
  • Histoire d'un enfant de Paris d'Amélie de Wailly dite Amélie Mesureur.

Beucoup de choses à découvrir, parce qu'hormis Rosemonde Gérard, aucun de ces noms ne m'était connu.

Généalogie d'une famille ordinaire nous chronique des livres ayant un lien avec la généalogie de quoi augmenter ma pile à lire avec un roman de Gabrielle Desabers et 

- un guerrier d'occasion ou le journal illustré du fantassin Pierre Perrin (1914-1918) de Gilles Laurendon,

- le monde retrouvé de Louis-François Pinagot d'Alain Corbin, reconstitution de la vie d'en sabotier par les actes,

- l'inconnue de la tranchée d'Hélène Amalric est déjà dans ma P.A.L. depuis quelques temps,

- Galadio de Didier Daeninckx,

- Femmes dans la guerre : 1914-1945 de Carol Mann

Je me suis senti un peu moins socratien (je sais que je ne sais rien) parce que j'avais déjà lu quelques ouvrages...

Qui étaient nos ancêtres de Jean-Louis Beaucarnot, Aïe mes aïeux d'Anne Ancelin Schutzenberger et Cris de Laurent Gaudé.

Du coup c'est moi qui parle maintenant, je les ai appréciés, ils font partie de ces livres où on n'est pas forcément d'accord sur tout mais qui font avancer notre réflexion. Pour Laurent Gaudé, pour un généalogiste et pour les autres, le soleil des scorta est une merveille, même si je ne l'ai pas lu mais en ai écouté la lecture par un comédien.

 

De Pen Harden à Pen Bizien, a créé avec humour un atelier d'écriture de l'autre côté. Il est question de lettres écrites par les ancêtres de Ronan.

Voici les lettres des lettres qui m'ont le plus inspiré : En A est abordée la guerre de succession d'Autriche, quel impact sur nos ancêtres de ces conflits comment les ont-ils vécu. En B je découvre ou redécouvre la légende de Saint Budoc, la générosité des gens de l'époque, plutôt que de brûler sa mère enceinte de lui, ils l'ont jetée à l'eau dans un tonneau...

Le J me rappelle que je devrais chercher au moins un décret de justice autorisant un ou une future à se marier. Le S souligne combien est dure et emplie de risques mortels la vie de meunier. Le X est un vade-mecum de la recherche (fructueuse) d'un ancêtre inconnu. La fiche du Z me rappelle que le costume d'époque est aussi une bonne idée pour personnifier un ancêtre...

 

Chez Théo, Zoé, Léo et les autres c'est la table alphabétique d'un livre qui fournit les entrés des billets. L'ouvrage est « Mémorial portatif de chronologie, d’histoire industrielle, d’économie politique, de biographie, etc. » datant de 1829.

Alors qu'il y a unité d'origine, cela donne des visions très diversifiées de la vie de ces ancêtres, un des trésors de la généalogie.

Vous serez surpris, ou pas, que les quartiers de Paris à cette époque m'aient beaucoup intéressé. J'ai aussi appris qu'une personne macrobite était une personne qui avait une très longue vie, comme en l'espèce Marie thérèse et ses 96 années d'existence.

ce sont les descriptions d'époques sur les métiers et leurs habitudes de l'époque qui ont été les plus magnétiques dans ma lecture, les dentelles, épingles et aiguilles de nos aïeules vivant de leurs travaux et l'alphabet du maître d'école.

 

19 décembre 2020

Généavoyages

Les challenges visités ce jour nous font voyager, en France et ailleurs.

Arborigène nous emmène au Portugal et nous précise que le site à voir avant de faire vos recherches est celui de tombo.pt.

Particularité lusitanienne, les actes de baptême donnent aussi le nom des grands-parents, idyllique, n'est-il pas ? les actes de décès eux peuvent mentionner outre le nom des parents et leur lieu de naissance, leur profession, une description physique sommaire la cause du décès, la mention d’un testament et la mention de la présence d’enfant ou pas, ce qui apparaît peu en France. Par contre l'âge n'est pas indiqué.

Autre particularité du pays de José Malhoa, peintre de la vie quotidienne, la Desobriga, confession qui libère de son obligation, est mentionnée tous les ans à Pâques dans les registres religieux. Jolie façon de compenser le recensement (qui n'est pas conservé) quand ces actes n'ont pas été détruits.

 

Nous sommes en Réunion avec Chroniques de famille. Elles nous parle de l'île, des anciens esclaves affranchis avant ou avec l'abolition. De leurs nouveaux noms de famille, donnés par des officiers d'état-civil plus ou moins inspirés, plus ou moins révisant leur anatomie. Ces hommes et ces femmes dont il est difficile de remonter les origines, ils ont pu vivre au Quai de la Rose, venir de Madagascar ou se faire pirates comme Jacques Pitou.

Déjà cosmopolite, la Réunion s'est d'autant plus métissée après 1848, lorsque pour remplacer les esclaves (tous n'ont pas souhaités rester faire les mêmes tâches), les propriétaires se sont efforcés d'exploiter de nouveaux personnels dans un mouvement appelé l'engagisme incitant de nouveaux travailleurs à s'engager.  

Et il y a peut-être un nouvel outil, Kaz, que je dois tester pour m'essayer aux cartes.

 

Pour où décollons nous avec Généalogie Tahiti ? Pour la Polynésie.

Le voyage est long et fut périlleux, même si certains ont toujours gardé leurs attaches et sont même venus faire un coucou à Laval. Et repartis un de plus.

Histoires de royauté et histoires de famille s'entremêlent, quand la généablogueuse regarde à la jumelle la naissance de jumelles pour trouver une double vue, pardon une double vie. Quand une soeur fait opposition au marige de son frère, quand un père tarde à reconnaitre sa fille, en métropole, avant qu'elle ne rejoigne Tahiti.

Mais mon plus beau bonbon fut la découverte de l'alphabet polynésien...

 

Ils étaient une fois nous narre en légendes et folklore, des petites histoires de Touraine... et nous fait voyager entre remèdes et saints tourangeaux, attention il faut parfois avoir le coeur bien accroché.

Où on nous parle de maux de gorge et de Saint Gatien avec de nombreux Gatien dans l'arbre de nore conteuse de rebouteux, où on nous explique les pouvoirs d'un vartaupier, ou les influences de Saint Clair, pour voir Clair. 

Saint Ours donne une heureuse délivrance aux femmes enceintes et il faut boire dans un seau après le chat pour ne plus avoir mal aux oreilles, cela peut mettre l'ail à l'oreille non ? Le saviez-vous ? Et vient toujours Roch, le saint des saints guérisseurs.

Et remède efficace, elle est déjà prête pour l'édition 2021

 

Paddy Généalogie nous embarque à la suite de ses ancêtres et cousins voyageurs, au gré du fleuve avec les bateliers, en passant par Nébing, Moselle encore, grâce aux entraides généalogiques pour retrouver la trace d'une aïeule.

C'est aussi une quête pour retrouver la piste d'un ancien soldat français de la guerre d'indépendance américaine, enrôlé auprès de son parrain. D'autres ont voyagé de moins bon gré, pour séjourner, pension complète, au Stalag. Oui il est intéressant de savoir comment ils ont été capturés.

J'apprends que les soldats du front d'Orient furent baptisés les jardiniers, il faudra que je cultive mieux mon jardin ; et la clôture du challenge se fait en allant voir comment va la famille au Burkina Faso, une capsule culturelle comme je les apprécie.

18 décembre 2020

La tête au carré

Aujourd'hui tête bien pleine et casse-tête.

Double défi pour brèves d'antan, "De la chimie à la généalogie, tel est le thème de ce ChallengeAZ! A partir d’un élément du tableau périodique de Mendeleîev commençant par la lettre du jour" nous est présenté "en 100 mots, l’ancêtre ayant le même numéro sosa que le numéro atomique de l’élément choisi."

Sur la chimie outre la présentation de la place des éléments dans le tableau, nous découvrons aussi une photo de celui-ci et des découvreurs. J'ai appris que "zincum, qui vient de l’allemand zinke ou zinken signifiant « aiguille » ou « pointe acérée »."

L’Ununbium a été renommé en 2010, Copernicium en l’honneur de Nicolas Copernic nous mène à un bourguignon, parti en Guadeloupe à la fin du 18e siècle, le polonium zoome sur les Curie et un tonnelier de Wilwisheim.

Amusantes concidences qui associent  le francium à une habitante de Phalsbourg qui après la guerre de 1870 opte pour la noationalité française (Moselle encore) et le Lutécium à Agathe Girard une parisienne qui fréquentait comme mes ancêtres l'église Sainte-Marguerite.

 

C'est un pêle-mêle d'étrangetés et autres casse-tête qui est présenté chez Livet Beckrich et alliés 

Et niveau casse-tête, il y a ce qu'il faut, pour commencer, un garçon désigné fille à la naissance, une fille qui doit faire remplacer masculin par féminin sur son acte de naissance pour épouser son futur, une autre jeune fille pour qui on décline deux identités sur son acte de mariage.

Et là c'est quand les déclarations sont faites à l'heure, il y a aussi a mère qui déclare en mairie la naissance de son enfant sept mois plus tard et le père d'un autre qui régularise cette naissance sept ans après. Ou la jeune fille qui se marie trop tôt et dont a postériori le conseil de famille doit doner un consentement qui ira en marge de l'acte de naissance. 

En lettre G une capsule à découvrir...

17 décembre 2020

Les archives jouent le jeu

Quatre services d'archives ont relevé le gant du challengeAZ cette année.

Les archives nationales d'outremer nous présentent des métiers, classiques, mais avec leur particularité locale pour le vannier ou le tisserand ou plus typiques, comme le gardien de phare ou le riziculteur qui est venu enseigner à la Camargue.

elles nous font partir à la découverte comme une exploratrice, une océanographe, des particularités du globe, avec des métiers pour le moins exotiques comme le montreur de lion ou le kahouadji. Mais si vous savez qui il est, il nous a transmis son noir kahoua.

 

Aux archives municipales de Montpellier, on parle d'emblêmes de la ville, comme son Théâtre de la Comédie, le quartier Antigone ou la Faculté de médecine, où nous accueille Lapeyronie. 

Très terre à terre des archives fiscales nous sont dévoilées, cas exceptionnel pour une fois les registres d'habitanage sont une excemption d'impôts pour attirer de nouveaux habitants, mais plus mystique, on évoque aussi Saint-Roch, le guérisseur qui serait né à Montpellier.

 

Les archives communales de Savigny-sur-Orge mettent à l'honneur des Saviniens célèbres.

Victimes de la barbarie nazie, Sarah et Isaac Koeningswein ont vu un parc nommé en leur souvenir, quand trois rue célèbrent les FFI tombés pour la Liberté Daniel Niord, Robert Leuthreau et Charles Mossler.

Un artiste uruguyaen Caremlo Arden-Quin, que je découvre avec plaisir, a séjourné dans la commune, tout comme Caroline Rémy dite Séverine, journaliste et rédactrice en chef du Cri du Peuple avant d'écrire pour le journal féministe la Fronde.

Et puis il y a l'Yvette, j'ai un faible pour les rivières...

 

Aux archives de l'AP-HP (assistance publique - hôpitaux de Paris)  les généalogistes espèrent trouver dans les registres les admissions, les naissances, les décès malheureusement, ou les guérisons de leurs ancêtres qui y ont laissé là une trace.

On peut aussi y découvrir que la lutte contre le froid, l'hygiène et les bains, ont permis des avancées thérapeuthiques et que "trois des hôpitaux de l’AP-HP sont situés en bord de mer : l’hôpital maritime de Berck sur la côte d’Opale, San Salvadour près de la côte méditerranéenne et Hendaye sur la côte basque" pour y soigner de jeunes malades parisiens qui aveint besoin d'air marin.

 

 

16 décembre 2020

Généalogies méthodiques et pratiques

Une famille, ses histoires évoque pour nous ses pratiques et projets généalogiques. Nous partageons des questions sur les lieux et les sources où s'abreuver.

En effet les absences et successions ou les hypothèques et cadastres cachent peut-être des trésors dont nous n'avons pas encore tracé la carte. Nous apprendront-ils grâce à qui ou pourquoi la bière brune a remplacé le rhum dans la recette familiale de sauce pour saucisse blanche ?

La diversité des lieux est une des richesses de la généalogie, mais quel casse-tête maintenant pour nommer un hameau qui est devenue un commune dans une région qui a changé de noms trois fois avant que la commune ne fusionne. Faut-il se lancer dans la généalogie des villages ? Et quand vraiment nos ancêtres ont changé de lieu, pourquoi et comment l'ont-ils fait ?

Et un défi, en recherches généalogiques comme en pratique artistique, cela crée une contrainte inspiratrice qui nous ouvre de nouveaux horizons.

 

Auprès de mon arbre dévoile ses « (en)quêtes généa-logiques et trouvailles ». Comment elle a retrouvé dans des archives des lettres de ses aïeux, émotion suisse, comment une ancêtre de caractère a fermé la porte au nez du notaire qui n'a pas achevé son inventaire. Mais aussi plus tristement comment un marié un peu tard devient veuf bien trop vite.

Elle nous détaille aussi comment nous pouvons chercher des articles dans Belgicapress, trouver des fiches alphabétiques des dommages de guerre dans les archives belges (trouvons nous les mêmes en France ?) ou utiliser un répertoire des prénoms flamands.

Enfin elle nous rappelle que si l'on se demande s'il n'y a pas une erreur, il faut bien approfondir pour la débusquer et la corriger.

 

Sur leurs traces nous décline le bullet journal, un de ses systèmes d'organisation. Pas de billets en particulier (même si je reviendrais pour moi sur le B) puisque c'est l'organisation générale qui est décrite, avec proposition d'interaction. La présentation est ludique et pédagogique. Comme toute méthode, elles vous est proposée mais vous pouvez l'adapter ou ne prendre que certains éléments.

L'agenda spécifique généalogie qui regroupe tous les projets est quand même le meilleur moyen que j'ai trouvé de mettre une cohérence dans ma désorganisation. Mais je mets mon inventaire dans les dernières pages, à l'envers comme cela il s'arrête quand le carnet est plein.

 

MaLiBeLe Généalogie partage sa généalogie au quotidien, c'est trop riche pour que j'aborde tout ce qui m'y intéresse ici. Je vais y revenir piocher. Surtout que le challenge est riche, pour chaque lettre il y a un mot et du qui, du quoi, de l'où, du quand, un peu de comment et des pourquoi ?

Je partage sa vision du Partage, fondamental pour moi en généalogie, et sa manière de concevoir anarchiquement une Organisation qui n'a pas l'air d'en être une. Procrastination, plaisir, respect et tolérance pour son web Arbre, empli d'incertitudes, mais justement pour les confronter. C'est un peu comme cela que je pratique, mais il le dit mieux.

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