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Des Branches
30 novembre 2021

Z comme Puy-de-Dôme et zones de recherches

Le 8 juin 1744 Magdeleine Ramade épouse Pierre PApon à Bagnols dans l'actuel Puy-de-Dôme. C'est le seul acte de Magdeleine en tant que sujet dont je dispose.

Je n'ai encore retrouvé ni son acte de naissance, je ne connais pas le nom de ses parents, ni son acte de décès.

Je tourne un peu dans les archives du Puy-de-Dôme pour reconstituer son parcours.

Je pense, du moins j'espère qu'elle n'est ni née, ni décédée à Bagnols car je ne l'ai pas trouvée.

Pour faire apparaître des traces de son ascendance, je recoupe les indications concernant les baptêmes de ses enfants. Ce travail reste à terminer pour avoir une confirmation.

Concernant sa fin de vie, je sais qu'elle demeure toujours à Bagnols le 19 octobre 1790 alors que son fils Martin se marie à Marcenat, et qu'elle n'a pu assister au mariage à cause de son grand âge et de son infirmité. Mais après, je n'ai plus d'informations et ne a retrouve pas dans les tables de décès de Bagnols ni celles de Marcenat (aux archives du Cantal).

 

 

Carte_géologique_du_département_du_[

 

 

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29 novembre 2021

Y comme Yvelines

Marie Anne Deschatres que j'ai si longtemps cherchée est née à Saint-Germain-en-Laye. Tous ses ancêtres jusqu'alors y sont localisés jusqu'à Sylvain Deschatres et ses parents Sylvie La Rue et Sulpice qui nous emmènent des Yvelines en Creuse.

Je dois fortifier cette branche qui est une jeune pousse dans mon arbre, mais ma recherche principale dans les archives des Yvelines concerne des documents de l'ancienne Seine-et-Oise qui y sont conservés. Pour mon bisaïeul et sa fratrie j'étudie leurs fiches matricules et rêve de dénicher des cartes de combattants les concernant avec potentiellement des photos, surtout pour les frères de Félix, car pour lui mon album compte plusieurs photographies.

Ile de France departments 1968 evolution map-fr

27 novembre 2021

X Comme en Dordogne le X de Beaujoux vaut-il le Z de Beauzon ?

Pour la Dordogne, j'ai quelques ancêtres, dont les branches ont d'abord migré en Haute-Vienne a priori, mais ma recherche principale et depuis un certain moment concerne Pierre Selves.

Pierre épouse Françoise Debelmas, le 6 août 1803, à Tournon d'Agenais. Dans l'acte il est dit né en novembre 1766 à Cabans, dans le Lot, de Jean et Marie Beauzon.

Comme indiqué dans un billet déjà consacré à sa mère, grâce à un généanaute qui recense tous les Selve, Selves (et qui donne des nouvelles de ses recherches) j'ai trouvé une commune de Cabans. Cette commune disparue depuis est devenue celle du Buisson-de-Cadouin, en Dordogne.

Il y a trouvé des Selves, dont un Jean qui a des enfants avec une Philippe Claude Beaujoux à la bonne période.

Et ici se pose la question des accents, Beaujoux a t'il pu devenir Beauzon ? Phillipe ou Claude ne sont devenue Marie que par un surnom ou une simplification. Ce ne serait pas la première fois que des données sont erronées. 

Le souci principal dans cette question est que je n'ai pas trouvé de naissance d'un Pierre en novembre 1766.

Il a pu naître ailleurs, il a pu changer de prénom (comme sa mère ?) sa naissance a pu ne pas être déclarée. Cela peut aussi ne pas être le bon couple.

Effectivement nous avons des données qui ne coïncident pas :

- prénom de la mère radicalement différent,

- nom de la mère différent,

- département cité ne correspondant pas,

- pas de trace de naissance...

Et des informations qui donnent envie d'y croire

- Nom de la commune identique et seulement trouvé en ce lieu,

- Nom et prénom du père équivalents (même si Jean est plus que courant),

- Rapprochement possible du nom de la mère de Pierre Selves avec celui de l'épouse de Jean Selves.

- si le jour de naissance n'est pas donné dans l'acte de mariage c'est qu'il y a possiblement absence d'acte de naissance.

Match nul...

J'ai envie de croire à cette piste alors je vais chercher sa confirmation. D'abord en m'appuyant sur les recherches de mon correspondant et les registres d'Etat-civil de l'époque et en reconstituant au plus serré la famille pour éventuellement trouver une confirmation, par la naissance par la présence des uns et des autres à des cérémonies d'autres.

Un de mes plus solides espoirs réside dans les recensements de Tournon d'Agenais qui s'y j'y retrouve Pierre devrait me donner confirmation de son lieu de naissance.

entre le X et le Z, Y a plus qu'à...

 

 022 Cabans ( 24480 )

26 novembre 2021

W comme Moselle et Wolff

Catherine Wolff épouse le 23 août 1678 Jean Mathis Becker à Grostenquin.

Ils ont au moins un fils Pierre, né vers 1688 à Feybrousse où s'est installé le foyer.

Nicolas et Christine Alt sont les parents de Catherine qui s'est éteinte à Feybrousse le 30 mars 1732.

J'arrive en Moselle par une descendante directe du couple Anne Marie Becker, qui a quitté la région avec sa mère célibataire, probablement peu après sa naissance.

En leitmotiv, j'ai cette recherche des circonstances de ce départ pour la capitale et du réseau qui l'a permis, ou non. Mais Catherine est aussi dans ce challenge le symbole de celles et ceux qu'Elise appelle les invisibles. Ces aîeux ou collatéraux qui ont vécu avant nous et que peu de choses singularisent, si nous ne les cherchons pas.

Donc comme pour toutes les personnes qui constituent ma ligne ascendante, je vais chercher à replacer Catherine dans son contexte et à lui donner une singularité qui la distingue des autres.

 

 

Moselle department location map

25 novembre 2021

V comme Ille-et-Vilaine et Vitrier

Jeanne Dalerac épouse Julien Bernard le 15 avril 1687 à Redon. Ils ont au moins trois enfants Julien né en 1688, Julien, né en 1689 (ce qui ne me laisse pas très optimiste pour son aîné) et Julienne qui est ma sosa.

Pour le département nous sommes en Ille-et-Vilaine que quittera Julienne après avoir épousé Joseph François Brebion (dont le parcours mérite aussi que je l'éclaire pour lever certaines interrogations).

Ce n'est pas la seule branche qui se déploie dans ce département breton. La Pays de Redon est à la croisée des actuelles circonscriptions de la Loire-Atlantique, du Morbihan et de l'Ille et-Vilaine. Pour travailler ou se marier, mes aïeux n'ont pas tenu compte des limites administratives, surtout que pour la plupart, ce n'étaient pas les mêmes.

Pour le V, Julien Bernard père est vitrier, (et pourtant je ne peux pas rester ddevant le poste de télévision) maître-vitrier mentionnent même certains actes. Et la tâche, ardue, qui figure comme envie dans ma liste généalogique est de découvrir mieux son métier et sa carrière. Et plus précisément de savoir s'il a été compagnon ou simplement employeur de jeunes vitriers.

© France 3 Bretagne

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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24 novembre 2021

U comme Seine-Saint-Denis et Urbain

Jean Baptiste Lathière est né à Oradour-sur-Vayres, s'est marié à Saint-Yrieix-la Perche a eu un fils à Lubersac et est mort à Paris.

Ce roulier, conducteur puis cocher demeurait à son décès Rue de Paris à Saint-Denis. Originaire du Limousin, il est donc devenu bien urbain si ce n'est pour son métier, au moins pour sa résidence.

Sa profession a donc toujours été de conduire et comme il a fini sa carrière à Paris, il a du y obtenir une autorisation spéciale pour exercer son activité.

C'est ce dossier qui constitue ma recherche prioritaire pour Jean Baptiste.

Et relire de plus près cet article de la Gazette des ancêtres me permettra de mieux me lancer sur la piste.

 

29 SAINT-DENIS

23 novembre 2021

T comme Essonne et Tribunal de commerce

René Latière est donc devenu ébéniste, dans le recensement de                   Montgeron il est marqué patron il était donc artisan à son compte ou peut-être même avait des employés ou des apprentis. Sur son parcours professionnel il est possible que je trouve des éléments dans les archives du tribunal ou des chambres de commerce. Il a du s'y déclarer quand il est arivé en Seine-et-Oise.

Je peux avoir la même démarche pour le père de son gendre, Guillaume Papon, qui était serrurier puis électricien et s'est établi à Villeneuve-le-Roi. Lui a priori travaillait un temps pour divers patrons, et même passé en banlieue, est resté depuis son départ de Paris dans le Département de la Seine à l'époque.Pour leurs femmes, respectivement Marie léontine Pfeiffer blanchisseuse et Eugénie Becker brodeuse, cela sera peut-être plus compliqué, car il est possible qu'elles travaillassent à la tâche et peut-être pour des particuliers.

 

22 novembre 2021

S comme Creuse et Sulpice

Pour le moment, je ne sais de Sulpice Deschâtres que les informations que me donne l'acte de mariage de son fils Sylvain. Ils sont donc  avec Sylvie Larue les parents de Sylvain Deschâtres et résident à Saint-Sulpice-le-Dunois. Il devient probable de fait que Sulpice doive son nom au Saint patron de son village.

La découverte de ses rensignements m'a fait découvrir l'un des derniers départements qui portent ma liste à 26. Saint-Sulpice-le-Dunois va me faire découvrir les archives de la Creuse, la où je n'ai guère encore creuser...

 

21 novembre 2021

R comme Haute-Vienne et Réhabilitation

Je vous ai déjà parlé des réhabilitations de mariage ici :

http://desbranches.canalblog.com/archives/2015/06/20/32126866.html

Et malheureusement je ne suis pas allé bien plus loin.

Je souhaite donc d'abord reconstituer le foyer de Geoffroy Bary et Jeanne Betoule à Ladignac-le-Long ou à ses alentours. Puis leur ascendance, je ne connais qu'un couple de leurs arrière grands parents en plus de tous leurx grands parents et leur lien commun n'est pas évident, aucun des neuf noms n'est commun.  

Ensuite viendra le temps de la recherche d'éventuelles autres cérémonies de réhabilitation. 

En chasse.

EN AVION AU-DESSU DE

 

20 novembre 2021

Q comme Val-de-Marne et Quatre-vingt-quatorze

Marie Léontine Pfeiffer est née à Paris, a priori elle est la seule des enfants de Louis Stanislas et de Marie Clara Césarine Osselin à avoir des enfants. Ses deux frères sont décédés enfants et sa soeur aînée, Georgette Clémentine, (mêmes prénoms que sa tante paternelle) est morte peu après son mariage sans que je lui aie trouvé de descendance.

Mariée avec René Latière, ils ont eu leurs premiers enfants à Paris avant de déménager en banlieue, à Montgeron (alors en Seine-et-Oise aujourd'hui en Essonne). Là ils auront leurs quatre derniers enfants et accueilleront  au décès de Louis Stanislas, Clara, la mère de Marie Léontine pour ses dernières années. En 1909, trois ans seulement après sa mère Marie Léontine perd son mari René. Je ne sais à partir de quel moment, elle aussi partagera le foyer d'un ou plusieurs de ses enfants. Elle connaitra nombre de ses petis-enfants et s'éteindra à Villeneuve-Saint-Georges en 1944, sans avoir vu revenir son petit-fils, prisonnier en Allemagne. 

Elle résidait alors à Villeneuve-le-Roi, Rue Bénard. J'ai peut-être une photo de Marie Léontine, mais plus personne pour me confirmer que c'est elle. Alors ? Alors où pourrais-je chercher une photographie certifiée d'elle pour confirmer que c'est bien elle. Où pourrais-je fouiller pour trouver d'autres clichés familiaux qui constituerait un faisceau d'indices suffisamment fort ?

En Essonne, en Val-de-Marne ? Peut-être pour sa carte d'identité... La photo à confirmer aurait été prise en Val-de-Marne (94) potentiellement à Villeneuve-le-Roi (du moins si ma déduction est bonne) dont voici une photo aérienne.

  

Vue aérienne de Villeneuve le Roi IMG 9996

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