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Des Branches
7 décembre 2020

Ancêtres vos prénoms

Après les noms, voici les challengers AZ qui ont choisi pour thème de leurs défis les prénoms

 

Geneascribe nous décline les prénoms de son arbre avec des infographies très esthétiques : une pour présenter le prénom, l’autre pour présenter la personne qui le porte.

Où l'on apprend qu'Abgar est le plus grand homme, Isidore, le cadeau d'Isis, que Théodore est l'anagramme de Dorothée (je pense que je n'entendrais plus ces prénoms de la même façon).

Votre serviteur peut aussi se perdre ensuite, en se demandant s'il y a bien des rapports entre le fait que Ferreol découlerait d'un cépage en lien avec l'Eucharistie et celui qu'Hilaire soit bien gai après...

 

Sur les branches du pommier nous nous rappelons que les prénoms évoluent dans le temps ou au gré des actes, comme Hedwige, mais découvrons que l'alphabet aussi avec l'arrivée tardive du W dans le nôtre.

Le challenge décline des prénomns féminins. Si je savais que Pascale ou Noëlle venaient des fêtes chrétiennes, comme Toussaint, je ne connaissais pas son féminin Toussine, et n'avait pas idée que Théophane et Tiphaine dérivaient de l'Epiphanie ou qu'on avait baptisé des enfants Penthecoste.

Autres découverte pour moi avec Onésime dont j'apprends qu'il est un prénom épicène, donc mixte, porté à la fois par les garçons et les filles et Ismérie et Mabille prénoms qui m'étaient inconnus.

En H une abracadabrante histoire d'officier d'Etat-civil tatillon relatée par les journaux.

Le saint ou la sainte locale promet généralement une hausse de l'attribution de son prénom, et nos ancêtres égrénant leur calendrier par leurs saints nous ont laissé des dictons agricoles trace d'une mémoire des cycles météorologiques.

Enfin je dois prévoir une exploration du Dictionnaire des noms de baptême, publié en 1863 par Guillaume Belèze (voir C) notamment pour ceux qui veulent placer leur enfant sous le patronnage du saint du jour de leur naissance.

 

Bourg-d'Oueil église statue St BlaiseJe reprends la présentation de Feuilles d'ardoise pour ses saints et ses prénoms

"L’Alphabet symbolique, d’Emile Blémont, illustré par Auguste Hiolle et numérisé sur Gallica, ornera mes petites biographies… Chaque jour, une lettre, un  prénom, un saint et son dicton, et la vie – en 100 mots – de l’un de mes ancêtres."

Des défis dans les challenges...

Vous aves du comprendre que j'aimais bien les dictons agricoles, alors j'ai encore pris des notes, pour me réaliser un jour mon éphéméride de dictons du jour.

J'ai apprécié le modèle d'Alphabet et découvert quelques nouveaux noms que je ne connaissais pas : Gallois, Hardouin, Maurille, le Maure ou Blaisine dont je n'avais rencontré que le masculin.

Cet arbre a dans ses feuilles des prénoms peu usités, Symphorien bien connu à Metz ou Crépin peut-être moins donné depuis Azincourt... ou Emérance, dérivée nous dit notre conteuse du prénom Emérantienne, du latin emerere signifiant mériter.

Et des plus courants comme Isabelle qui est le prénom que j'ai vu le plus changer pour celles à qui on le donne, indifféremment appelées dans leurs vies Elisabeth, Isabeau ou Isabelle...

 

 

3G Création Généalogie nous fait aussi voyager dans son arbre par les prénoms qui s'y rencontrent. En découle la présentation de la personne ou des recherches qui lui ont été consacrées.

Nous sont présentés deux Benoît et quatre Benoîte, série à suivre, François et Henry qui ont été le sujet d'enquêtes approfondies, comme Zéphyrin le courant d'air...

Certains ont eu des destins tragiques, Victorin le poilu mort en Asie ou Régis le résistant martyr, souvenons-nous d'eux.

D'autres nous proposent des récits plus optimistes comme Denise l'accoucheuse ou plus légers comme Thérèse au poétique métier d'ouvrière en parapluie.

 

Le Challenge de De France et d'aïeux ne présente pas son thème, mais si les lettres ne correspondent pas aux prénoms, chaque billet ramène à une ou plusiuers ancêtres souvent présentées par leur prénom.

Nous avons ainsi le serment de Jeanne parce que boulangers et boulangères en prêtaient, les étranges fiançailles de Marie qui a eu quatre séries de publications de bans avant de transformer...

Nous rencontrons Clémence et Aminthe (prénom que je ne connaissais pas) soeurs de sang et de douleurs, toutes deux veuves de guerre.

Nous pouvons lire les 24 prénoms différents donnés par Rosalie à ses dix filles, mais aussi les dix-huit enfants de Joana la lusitanienne. Percina, portugaise elle aussi, n'en aura eu que quatre, mais sans père dénommé.

Enfin si Elisabeth a eu cinq enfants c'est son abjuration qui est ici présentée... 

 

 

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6 décembre 2020

Des noms ouïs

Les challenges dont je vous parle aujourd'hui ont décliné l'Alphabet en égrénant les noms de familles de leurs arbres.

Et ces noms nous content des histoires

Avec A la découverte de mes ancêtres, je me dis que peut être sur les petits villages (moins de 350 habitants depuis la Révolution à Boubévelle résidence des Chemelet) il pourrait être intéressant de dénombrer tous les villageois.

Que des trajectoires peuvent devenir dynastiques et mériter un éclairage comme les boulangers Legrand ou coïncidencement répétitives, avec les deux Alexis Huiart père et fils tous deux blessés à une cuisse pendant une bataille (différente pour chacun, et la cuisse, et l'arme blessante et la bataille).

Etrange est l'évolution des patronymes, un chasseur peut transmettre en héritage de porter le nom de sa proie (Iltis le putois), et l'étude d'une lignée patronymique peut être marquée par une évolution lente ou profonde du nom de famille (voir en R).

Le S du Sarazin, qui aurait pu s'appeler Moreau me donne envie de me pencher sur les différentes façons de nommer ou prénommer selon les régions, quand les lieux de Saint-Saturnin ou de Lugarde m'évoquent des recherches personnelles.

Pas de noms en Z mais je découvre qu'en généalogisant, j'aime zigonner (Pour les Québecois : travailler à de petites choses qui peuvent paraître futiles, par plaisir, pour meubler son temps ou apporter de petites améliorations). Merci pour la découverte.

Vue_panoramique_prise-de_Lugarde_haut

Vue de Lugarde

 

Pour De vous aïeux en passant par moi le défi est aussi de relancer l'écriture sur son blogue en passant les patronymes à la loupe, et en premiers les Angoulvent, oiseaux qui avalent le vent

Le H et le J, nous parle aussi de la déformation des noms quand le K passe à l'exercice de style

Le rapport entre Guittet et Wion, leur source venant du bois et leur probable désignation d'un bucheron, richesse de la langue.

Ou confusion des prénoms qui fait qu'une soeur est dénommée comme l'autre... sur l'acte de décès, enquête nécessaire chez les Mercey.

Y a beaucoup de curés qui ne précisaient pas la filiation des épousé(e)s dans les actes de mariage, cela n'est pas sérieux pour un sourçage sérieux.

Pas de nom mais celui qui le précède en Z, avec la découverte du prénom Zulmée.

3 décembre 2020

Au Nord, y a... 400

Aujourd'hui, si mes comptes sont bons voici le 400e billet de ce blogue, en cet avent Challenge AZ 2020 je regarde ce que j'ai appris de trois défis qui regardaient au nord.

Généantho nous présente un challenge plein d'émotions et de découvertes (pour moi).

Découvertes de noms de métiers de la mine, et que la terrible catastrophe de Courrières a fait rentrer un mot du Nord, rescapé, dans nos habitudes. D'autres métiers aussi, comme celui de tordeur d'huile, dans les moulins à huile, ou de voyer, officier préposé à la voirie.

Avec des prénoms originaux dont le charmant Rictrude à écrire avec rectitude.

Avec un hommage à un grand-oncle résistant et déporté dont l'auteur a écrit l'histoire dans un ouvrage portant son numéro de prisonnier F98003.

Et avec une presque généalogie d'un club de foot et de ses maillots, parce que les clubs ont une histoire, et particulièrement le RC Lens.

 

Aïeux sur le plat pond ses billets avec un humour plus fin que le mien et une écriture sans bavure, mais avec quelques larmes d'émotion.

Son B nous montre l’importance de la recherche des collatéraux pour débloquer la branche principale des recherches. On se demandera avec lui où est cette Quena qui caractérisait les Dubois ?

Nous aimerons avec lui ce prénom d'Emérentienne, et apprécierons cette jolie jolie présentation de l’Homme de fers ou maréchal-ferrant.

L'émotion affleure mais sur le N de Nottez, vous notez qu'elle est palpable et communicative dans cette interrogation sur la transmission.

Les quartiers de Lille sont l'occasion d'aborder les complications que l'on trouve à chercher la trace de nos aïeux dans les grandes villes. Mais aussi les outils, comme les cartes de Gallica ou des sites spécialisés (ici en l'espèce Lille d'antan) qui peuvent finalement nous aider à aller plus loin.

Y nous invite en Y à nous servir du challenge pour lancer de nouvelles pistes et vous devez avoir jusqu'à demain 4 décembre 2020 pour participer à son quiZZ.

 

Nord

 

Au pied de mon arbre le plat pays m'apprend qu'au nord on parle aussi le rouchi (version valenciennoise du picard).

J'aimerais savoir comment parlaient vraiment mes ancêtres et il est probable que Pierre Papon le grand-père auvergnat, Marie-Thérèse Brache, la sage-femme du Pas-de-Calais, Jean Mathis Becker le Mosellan ne se seraient pas compris avec Antoinette Gensac la Quercynoise ou la Gallo Claudine Guiho. J'apprécie la découverte de nouvelles cultures (derrière un accent se cache une culture dit le proverbe) tant qu'elles ne sont pas basées sur la domination, mais sur le lien entre des femmes et des hommes d'un même bassin.

Bref j'adore la découverte de nouveaux mots, et d'autant plus de nouveaux mots hexagonaux ou outremarins. Et pour le coup je suis servi. Alors mieux vaut allez les voir sur place mais je vous en livre quelques-uns:

L'agache qui ailleurs peut se dire agasse est la pie, un brisaque est quelqu'un qui déchire ses vêtements, une gleine une poule.

L'arbre à loques dont on voit bien l'imache est un arbre guérisseur dans la tradition populaire. Le chat en période de séduction maroule et certains font le nactieux (dégoûté) devant lui et auraient envie de l'ortilier (le frapper avec des orties).

C' en est pas fini mais si vous vouler savoir ce qu'est un inche l'adresse est plus haut, dans le plat pays.

2 décembre 2020

Il y a cent-cinquante ans

Deux autres participations au challenge AZ aujourd'hui avec pour point commun de nous parler du conflit franco-prussien de 1870.

Le blog d'une généalogiste organise donc son alphabet autour de la guerre de 1870-1871. Comme pour son premier challenge AZ. Mais à l'occasion du 150e anniversaire de ce conflit elle cumule pendant le mois de novembre deux défis.

Pour le challenge elle réalise une mise en lumière de familles du Loir-et-Cher touchées et fragilisées par la guerre, au point que beaucoup sont contraintes à faire des demandes d'aides financières. Des comités de secours ont été créés pour les familles dont les soutiens financiers sont à la guerre, et pour certains n'en reviendront pas. Car certains pères de famille parfois nombreuse, partent dès le départ, et l'on voit les maires intercéder pour certaines de leurs administrées en grande difficulté?

Tous les portraits sont détaillés je n'en citerais que deux le très malchanceux Mathurin Maillet de Neuvy et le dernier billet, sur la famille Zaga de Blois qui se terminera plus heureusement.

Et un deuxième projet en parallèle se développe sur ce site, une relation au jour de jour de cette guerre contre la Prusse. Kolossal travail me permettrais-je d'écrire. Respect et chapeau bas.

 

LionBelfort

 

le Lion de Belfort par Auguste Bartholdi

Sur le site d’Antequam chaque lettre est dédiée à un homme qui a été tiré au sort et a fait la guerre ou s’est fait remplacer, ou à un remplaçant qui avait tiré le bon numéro et l’a vendu.

En A est abordée l’Artillerie des Pontonniers : « ce sont des régiments qui servent au-delà du Rhin et en Italie. Ils ont la responsabilité des ponts et des bateaux. L'uniforme, en 1870, est celui de l'Artillerie à pied : couleur bleu national et la coiffure est un shako ».

Le K nous montre qu’il ne faut pas toujours prendre les recensements au pied de la lettre, puisqu’une mère une fille et une petite fille peuvent être enregistrées comme une mère sa sœur et sa nièce

Le L explique que c’est suite aux difficultés pour retrouver les soldats qui avaient déménagé avant leur 20 ans (date du recensement militaire dans la commune de naissance ou de résidence, si la résidence est connue) que sont apparues les fiches matricules avec obligation pour le conscrit de signaler tous ses changements de domiciles. Ces fiches qui peuvent nous permettre de retrouver des ancêtres un peu vadrouilleurs.

 

Bonne lecture à vous. Au fait avez-vous eu un ancêtre ou un collatéral parti faire cette guerre ? Pour le moment je n'en ai pas trouvé.

 

 

1 décembre 2020

Fondues de Savoie

Deux participantes de ce challengeAZ ont choisi le thème de la Savoie, qui m'intéresse bien car mes enfants y ont des ancêtres.

Sur la piste de mes ayeuls lie bien le passage d'une lettre à l'autre, on peut suivre l'histoire au fur et à mesure des lettres (quand je suis dans le désordre pour raconter la vie de Louis Stanislas).

En B comme Bozet, comme pour mes Marguerite Rouchet cantaliennes, nous trouvons trois soeurs Marie Bozet que seuls des actes notariés pourront différencier, il faut que je trouve les actes de mariage, dont je sais qu'ils existent, de mes Marguerite.

En C comme Claude, nous trouvons plusieurs Claude de père en fils avec parrains homonymes, comme chez mes Salvage du Cantal encore.

Le D comme décès ma rappelle que l'adjectif "discret" qui précède un nom est un terme honorifique désignant un jeune homme de bonne famille (discrète désignat une jeune fille).

En J comme Justice, je découvre les consignes des mâles, recensement pour raisons militaires des hommes. Il va falloir que je retourne fouiller dans les archives savoyardes.

Le I comme Implexe me fait découvrir la capitation espagnole, autre recensement à but fiscal que je ne connaissais pas.

Dans L comme légitime j'apprends que  le mot “hic” est employé dans la langue juridique pour attirer l’attention sur un point important (ici que les parents non mariés sont au moins fiancés). Il est suggéré que cela soit à l'origine dans le langage courant d'un hic, c’est-à-dire un point difficile, délicat. Mais aussi qu'un enfant "donné" est un enfant illégitime.

Le S comme Sel et Gabelle parle de la gabelle du sel recensement des redevables de cet impôt, antérieur aux registres paroissiaux. Je connaissais celui-ci de recensement fiscal.

J'avais également connaissance des recensements des âmes abordés en V comme Viuz-en-Sallaz, pour l'Italie. Cela m'a fait réaliser que je pourrais en chercher en Savoie qui fut italienne. Et ces recensements sont des mines d'or.

Le souffle des ancêtres évoque ses ancêtres savoyards avec émotion, son F nous parle de la fruitière où se fabrique le fromage.

En M elle aborde la mappe sarde l'un des plus anciens cadastres d'Europe, utilisée en Savoie lorsque son Duc devient aussi roi de Sardaigne en 1720. Ici encore il s'agit d'un document à but fiscal, consultable sur le site des archives de Savoie.

Le regrattier que je découvre en R est un commerçant vendant le sel au détail le billet montre aussi en illustration une chaise à sel nouvel apprentissage.

En W nous sont racontés les Allobroges dont le chant est célèbre en Savoie et qui se sont au temps des gaulois disputé cette région avec les Burgondes et les Wisigoths.

En X est abordée la migration savoyarde en France et notamment à Paris, où il faut que je retrouve la trace d'un Gaspard.

Le patois savoyard dérivé de l'arpitan est évoqué en Y.

 

Voilà pour ces deux premières lectures complètes du Challenge AZ, merci mesdames. Et vous qui trouverez-vous ?

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29 novembre 2020

Après l'écriture, l'Avent de lecture.

Le Challenge AZ qu'est-ce ?

Le Challenge AZ est un challenge d’écriture généalogique qui consiste à écrire pendant un mois un article par jour (sauf le dimanche) suivant les 26 lettres de l’alphabet. Il a été lancé en 2013 par Sophie Boudarel de La Gazette des Ancêtres et depuis le nombre de participants d’a cessé d’augmenter ! Ils étaient 87 en 2019 !

Animé cette année par l'association Geneatech, j'ai eu le plaisir d'y participer pour la huitième fois. Le challenge est à l'origine de ce blogue, que j'ai créé pour la première édition il y a sept ans.

Ecrire le challenge

Dans ma généalogie, l'utilité du challenge a donc été d'écrire plus que je ne l'avais fait, et de pouvoir diffuser autrement que par des tableaux un peu abstraits l'histoire de ma famille ou de mes familles.

Parce que c'est aussi ou peut-être surtout cela pour moi la généalogie, l'histoire des familles, du moins celle qu'on connaît. Je ne suis guère attiré par la recherche ADN, (outre les risques sur la vie privée que je ne suis pas prêt à engager). Si les parents génétiques ont une importance sur la vie de leurs enfants (déjà ils sont là) et sur leur histoire, ces pères qui ne sont pas géniteurs, ces marâtres qui ont élevé les enfants de leurs maris dès leur plus jeune âge ont façonné cette histoire et ont été tout aussi essentiel ou importante dans la façon dont leur via a évolué et donc dans notre survenue. 

La vérité m'importe mais c'est plus celle du quotidien et de la transmission dans cette chaîne dont je fais partie que je cherche.

Et ce blogue, né donc du challenge m'a permis aussi de nouer contact avec des cousins généalogiques et de découvrir certaines histoires communes ou certains documents auxquels je n'aurais pas eu accès autrement.

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Lire le challenge

L'utilité du challenge est aussi dans sa lecture, d'abord pour le plaisir de lire de belles plumes et d'émouvantes histoires. Ensuite pour prendre modèle sur de meilleurs conteurs ou conteuses, sur des infographies, des manières de s'organiser, de présenter ses travaux. Enfin pour prendre des idées de recherches et découvrir de nouvelles sources, des ouvrages fondamentaux dans la découverte de la vie quotidienne de ceux qui nous ont précédés. Et avoir envie de découvrir de nouvelles pistes que j'aurais plaisir à explorer.

Envie, plaisir, partage, voilà mon triangle d'or de la généalogie.

Avent découverte

Je n'ai pas toujours le temps de lire les autres défis pendant que je rédige le mien, alors chaque fois je me dis que je le ferai après et cette année encore j'essaierai et j'essaierai d'en garder trace pour voir tout ce que l'édition 2020 aura apporté à mes recherches.

90 autres participants, je ne sais pas si je vais pouvoir parler de tous, mais il y aura des regroupements, certains thèmes étant traités par plusieurs généablogueurs.

Rendez-vous donc en décembre, mais aussi demain pour le jour du Z...

 

14 avril 2020

Où sont les recensements de Jeanne ?

Jeanne a du être recensée, néanmoins ceux de la commune de Touffailles alors qu'elle était encore vivante ne sont pas aux archives, du moins sur les archives en ligne.

11 avril 2020

Comment se déplaçait-elle ?

A pied le plus souvent, je pense...

10 avril 2020

De Lacour à Touffailles, en passant par Bourg-de-Visa.

Madame Mouraby, née Mathieu s'est-elle beaucoup déplacée ?

Jeanne est née à Lacour, canton de Roquecor, où elle a vécu son enfance, jusqu'à son mariage. La réglementation à la date de son mariage lui a imposé de se déplacer au chef-lieu de canton de la commune de son futur, à Bourg-de Visa. Puis elle a vécu sa vie d'épouse et de mère à Touffailles.

Je ne lui connais aucun autre voyage et pourquoi en aurait-elle fait ? Alors peut être les communes alentours our les marchés, les foires, notamment aux chefs lieux. Mais je ne l'imagine pas être sortie de ce petit coin de Quercy où elle élevait ses enfants, aidait son mari aux champs, tenait la maison... Mais peut-être manqué-je d'imagination...

9 avril 2020

Jeanne la Quercynoise

Dans quel environnement géographique Jeanne évoluait-elle ?

En Quercy, en Quercy blanc.

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