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Des Branches

3 novembre 2018

Cère

Rivière française

Prenant sa source dans le Cantal, la Cère coule à travers les villes de Saint-Jacques des Blats, Thiézac, Vic-sur-Cère, Polminhac, Arpajon-sur-Cère, Saint-Étienne-Cantalès, Laroquebrou.

Elle passe ensuite en Corrèze via et Camps-Saint-Mathurin-Léobazel.

Dans le Lot après un passage dans Laval-de-Cère, Bretenoux et Biars-sur-Cère elle se jette dans la Dordogne.

Mes ancêtres l'ont vu passer dans le Cantal à Vic-sur-Cère, Polminhac et Arpajon-sur-Cère.

L'Auvergne Cantal - 361 - ARPAJON, Paysage sur la Cère

 

Sources : https://www.xaintrie-passions.com/la-rivière-cere/?mobile=1

Mise à jour le 5 novembre 2018

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2 novembre 2018

Bouvron

Commune française de Loire-Atlantique

Une version toponymique avance que le nom de la commune découlerait d'une rivière aux castors.

D'où les deux castors sur le blason de la ville.

 

Logo_mairie_bouvron

La rivière aux castors

Sources :

http://www.infobretagne.com/bouvron.htm

Dernière mise à jour le 5 novembre 2018

1 novembre 2018

Adige

Adige

Fleuve italien,

Seul le Po serait plus long que lui dans la péninsule italienne.

Long de près de 410 km, l'Adige se jette dans l'Adriatique Ronco al'Adige et Albaredo d'Adige font partie des villes que baigne l'Adige comme leur nom l'indique.

Le pont d'Arcole que l'armée française d'Italie a eu bien du mal à franchir enjambe l'Alpone affluent de l'Adige près de leur confluence. C'est en passant plusieurs fois l'Adige à Ronco que les troupes françaises finirent par contourner et défaire les autrichiennes.

Sources : 

https://www.universalis.fr/encyclopedie/adige/

http://www.treccani.it/enciclopedia/adige_(Enciclopedia-Italiana)/

Dernière mise à jour le :

6 novembre 2018

5 novembre 2018

14 mars 2018

Paul Mouraby, appelé Frédéric, Mort pour la France

Paul Mouraby vint au monde le vendredi 14 avril 1882 à Montaigu-de-Quercy, commune du Tarn et Garonne, dans le hameau de Sainte-Cécile. Il est alors le sixième enfant de Raymond et Françoise Houilleres, ses père et mère âgés de quarante-cinq ans et trente-huit ans.

Il rejoignit dans cette famille de cultivateurs :

  • Pierre, né le dimanche 12 août 1866, l'aîné, accessoirement mon sosa,
  • Paul, né un dimanche aussi, le 21 juin 1868, le cadet qui portait déjà ce même prénom, ce qui expliquerait pourquoi dans certains recensements Paul junior était appelé Frédéric,
  • Jeanne ou plutôt son souvenir, puisque née le samedi 23 novembre 1872, elle s'était éteinte le dimanche 31 août 1873, neuf mois plus tard,
  • Alexandrine, née le mercredi 14 avril 1875,
  • Emma, née le mardi 5 mars 1878, comme Paul un autre prénom est indiqué pour elle sur les recensements : Adrienne.

Hormis Jeanne tous les aînés de Paul, nés comme lui à Montaigu-de-Quercy se marieront.

Le samedi 18 avril 1885, alors que Paul venait d'avoir trois ans, naquit la petite dernière de Françoise et Raymond : Maria qui décéda deux semaines après.

Paul est de la classe 1902, sa fiche matricule en livre une courte description. Cheveux et sourcils châtains foncés, il avait des yeux gris, le front ordinaire mais un nez moyen, une petite bouche au dessus d'un menton à fossette, dans un visage ovale.

Il effectua son service du 15 septembre 1903 au 18 septembre 1906 au 7e régiment d'infanterie.

Le 28 janvier 1907 il épousa Marie Bergon à Touffailles, autre commune tarn-et-garonnaise.  

Le couple s'établit à Montaigu, en juilelet 1908 y naquit Raymond Joël.

Je ne connais pas d'autre enfant au couple, mais je n'ai pas eu accès à tous les registres.

Le 16 avril 1909 François Houillères s'éteint à Montaigu, le 25 c'est Raymond Joël qui dans la maison de Touffailles de son grand-père maternel Jean Begon quitta ce monde.

Réserviste Paul aura du faire une première période d'exercices  du 29 août au 20 septembre 1909.

En 1910 le couple déménaga à Valeilles, toujour dans le Tarn-et-Garonne.

Vint l'année 1911. Paul effectua une deuxième période d'exercices du 27 avril au 13 mai. Le 6 décembre, à Montaigu, Raymond son père décèda.

 

Paul avait 32 ans lorsque la guerre éclata et il a fait partie des premiers rappelés dès le décret de mobilisation du 1er août 1914.

 

Affecté au 143e régiment d'infanterie, il fut très rapidement sur le front. L'ennemi voulait s'emparer de Verdun, la France voulait l'en empêcher et de nombresues batailles se déroulèrent autour de la place forte.

Notamment la bataille de la Woëvre à laquelle Paul participa probablement, puisqu'il se retrouva le 26 septembre 1914 à Seicheprey, en Meurthe-et-Moselle. Malheureusement pour lui, c'est sur ce terrain qu'un coup de feu mit fin à ses jours, comme le rapportèrent ses deux camarades Jules Julien et Auguste Dupont. Au soir de ce 26 septembre les allemands avaient rétrogradé de position et Paul Mouraby dit Frédéric était mort pour la France, tué à l'ennemi.

In memoriam...

 

Transcription du décès militaire de Mouraby Paul
Par ordre du Ministre de la Guerre, le Chef de service
certifie qu'un procès verbal de déclaration de décès déposé
aux archives de la guerre est conçu ainsi qu'il suit :
 Aujourd'hui vingt sept septembre mil neuf
cent quatorze à Ansanville, devant nous M. Bloch Achille
lieutenant du 143e d'infanterie, remplissant les fonctions d'
officier de l'Etat civil, sont comparus : Dupont Auguste
et Julien Jules, tous deux soldats de 2e classe au 143e régiment
d'infanterie, lesquels nous ont déclaré que Mouraby Paul,
soldat de 2e classe au 143e d'infanterie, numéro maticule
015179. Fils de Raymond et de Houillères Françoise
né le quinze avril mil huit cent quatre vingt deux, à
Montaigu (Tarn-et Garonne) est décédé à Seicheprey, le
vingt six septembre mil neuf cent quatorze, par suite de
coup de feu.
 De tout quoi nous avons dressé le présent procès-verbal
qi a été signé par nous et les témoins, après lecture faite.
Signé : Dupont, signé, Julien,. L'officier de l'état civil : signé :
Bloch _ Vu par nous Vidal, sous intendant militaire,
signé : Vidal
  Mention rectificative (Loi du 30 septembre 1915)
 Le  défunt est né le autorze avril mil huit cent quatre
vingt deux à Montaigu-de-Quercy (Tarn et Garonne) et non
le quinze avril mil huit cent quatre vingt deux à Montaigu
(Haute Garonne) ainsi qu'il est mentioné dans le corps de l'acte
ci-contre d'ailleurs incomplet sur les point suivants :
 Le soldat Mouraby, dont les parents sont décédés
domicilié en dernier lieu à Montaigu-de-Quercy (Tarn-et-Garonne)
était époux de Bergon Marie.
 Paris le onze janvier mil neuf cent dix sept
 Le Ministre de la Guerre, par délégation, le Chef du
bureau des Archives administratives. Signé : Illisible.
 En foi de quoi le présent document a été délivré pour
servir et vaoir ce que de raison.
 Fait à Paris le vingt huit janvier mil neuf cent dix sept
Par delegation, Le Chef du bureau des archives administratives
signé : illisible.
  Transcrit à Montaigu le deux février mil neuf
cent dix sept, deux heures du soir, par nous Louis, Antoine
Abdon, Bru, chevalier de la Legion d'honneur maire de Montaigu.
      Bru

Source ;  archives déârtementales du Tarn-et-Garonne       Montaigu-de-quercy \d\ 1917-1918 / 6 e 117-70  D\1917-1918/6E

 

Sources :

archivesdepartementales.cg82.fr

memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr

chtimiste.com

La Bataille de Woëvre et des Hauts de Meuse

Mi sept – octobre 1914

 

1 mars 2018

17,18,19 ??? A trop vouloir les coïncidences on oublie de vérifier

Parfois on écrit et parfois on relit plus tard après avoir corrigé des fautes de frappes dans ses textes, et l'on s'aperçoit que le premier écrit avait comme des imperfections, alors on corrige en vert de mer, pour tout laver.

A regarder de plus près les feuilles de nos arbres généalogiques, certaines questions se posent ou certains sourires, parfois un peu jaunes, s’esquissent. Certains y voient les signes du destin, d’autres de simples coïncidences. Si le hasard mène nos vies, il est parfois troublant. En tous cas : signes, coïncidences, hasard, ces événements interrogent et c’est ce qui me plaît dans la généalogie.

En 1914 Jean Baptiste a 61 ans quand éclate la guerre. Avec Marie  Victoire ils ont neuf enfants, toujours vivants :

  • Pierre Marie
  • Joséphine Marie
  • Marie Victoire
  • Jean Baptiste
  • Joseph Marie
  • Alexandre Marie
  • Lucien Pierre Marie
  • Gaston Jean Marie
  • Angèle Marie

Sauf que Joséphine née en 1885, apparaissant sur le recensement de 1886, disparaît des radars au recensement de 1891 alors qu'elle devrait avoir 6 ans, sans qu'aucun acte de décès la concernant ne se trouve dans son village.

Six garçons, trois filles et à part celui qui porte les prénoms de son père, Marie apparaît dans chaque état civil. Les traditions ont du peser dans la balance à choisir les prénoms (oui voilà une question dont la réponse n’est pas assurée).

Jean Baptiste est trop vieux pour partir au front mais pas ses fils. Il verra les six partir sur les champs de bataille.

Cinq survivront à la grande guerre même si Jean Baptiste décédera précocement en 1923 probablement de séquelles de ses années de guerre.

Mais Jean Baptiste père ne le saura jamais.

Il est décédé le 17 décembre 1916… la veille de la mort pour la France de son fils Lucien Pierre Marie.

Le 18 décembre 1916 Lucien est tombé à Vaux,  village détruit par la guerre, au pied de Verdun le dernier jour de cette bataille commencée le 21 février 1916. C’est une réponse, et ces funestes coïncidences soulèvent les questionnements.

Sauf que Lucien est tombé dès le 3 novembre 1916 et que j'avais mal saisi sa date de décès. Sauf qu'un avis officiel a été émis le 25 novembre et que peut-être, cet avis est arrivé aux oreilles de Jean Baptiste avant ce 17 décembre et que peut-être il a su que tous ses fils ne reviendraient pas et que peut-être...

Le 19 décembre 1916 Jean Baptiste aurait eu 64 ans.

In memoriam…

 

Habit du Destin : [estampe]
Habit du Destin : [estampe]
Source: gallica.bnf.fr

Ces constatations ont été faites parce que je cherchais un angle pour participer au thème mensuel pour animer les blogues sur la généalogie proposé par Sophie Boudarel de la Gazette des ancêtres http://lagazettedesancetres.blogspot.fr/2013/05/bloguez-votre-genealogie-un-theme-par.html. Pour novembre 2013, le généathème est la première guerre mondiale.

Billet publié le 20, corrigé le 25 novembre 2013

MAJ en vert le 1er mars 2018.

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31 janvier 2018

Eutochie, Athanase, etc

Aujourd’hui nous rendons visite aux Plagnes qui pour choisir les prénoms de leur descendance ont parfois eu des fulgurances.

Génération une

La première de la famille que j’ai rencontrée est Marguerite {née en 1847 à Roquecor (Tarn-et-Garonne)}. Rien de très audacieux dans ce prénom. Elle était mariée à Jean Crayssac. Là non plus pas de trésor d’originalité. D’ailleurs il avait un voisin portant les mêmes nom et prénom né deux jours plus tôt. Du coup on l’appelait Victor en famille, cela m’a occasionné quelques belles parties de cache-cache avec lui.

Mais revenons à nos feuilles Plagnes. Marguerite est la fille unique de Marie, mère célibataire, je vous concède que l’on fait mieux niveau inventivité.

Génération deux

D’ailleurs Antoine et Marguerite Lamothe Lambert, originaires de Massoulès dans le Lot-et-Garonne, n’ont pas cherché à faire de folies dans les prénoms de leur progéniture donnés entre 1820 et 1834.

Je connais à Marie trois sœurs : Marie et deux Foy. Foy est bien un prénom qui sort des sentiers battus, mais comme c’est celui de la grand-mère paternelle, on peut parler tout de même de chemin balisé.

Les deux frères se prénomment Jean (pas de commentaire) et Sébastien ce qui n’est ni le plus rare ni le plus courant. Sébastien est le premier de la famille à être né à Roquecor. Tous les autres avant lui, à une exception près, sont natifs de Massoulès.

Génération trois

Pour la génération précédente nous avons donc Antoine fils de Foi Cassanet donc, et d’Etienne et les Etienne (ou leurs femmes) paraissent créatifs. Je n’ai trouvé que des frères à Antoine entre 1794 et 1807. Si nous avons un deuxième Antoine, un Jean et un Etienne, comme son père, qui restent dans les canons de l’époque, un petit Athanase est sorti de derrière les fagots.

Génération quatre

Pierre et Rose Massoulès sont entre 1762 et 1779 les parents d’Etienne (l’aîné né à Massels (47), commune voisine de Massoulès,) et d’Antoine, de François, de deux Foy et de Jean Crisostome qui marque tout de même un bel effort.

Génération cinq

Nous pourrions dire que Jeanne Gari et Etienne, les parents de Pierre et de sa sœur Catherine avaient fait choix de prénoms traditionnels s’ils n’avaient donné Eutochie Elisabet comme noms de baptême à leur fille aînée.

 

Prénoms de Saintes et de Saints

Eutochie serait la troisième fille de Sainte Paule dame romaine devenue abbesse du monastère de Béthléem et influencée par Saint-Jérôme qui écrivit des lettres à Sainte Paule et à sa fille

Athanase est devenu patriarche d’Alexandrie et l’un des pères de l’Eglise antique. Grand théologien il écrivit beaucoup sur la divinité du Christ et combattit donc l’arianisme qui plaçait le fils de Dieu à un niveau inférieur que son père.

Jean Chrysostome, Jean «  Bouche d’or » fut évêque de Constantinople et docteur de l’Eglise,

Tous ses prénoms sont fortement marqués religieusement et évoquent des saints des V et VI siècle, c’est indéniablement cette même religiosité qui a du présider au choix de Foy comme prénom. Les prêtres et curés de la région ont-ils également influencé les familles. Dans cette même région on trouve quelques Quitterie du vocable de l’Eglise de Massels. Quitterie, comme Foy, fut une vierge martyre.

Sources :

Volume 4 de Biographie universelle, ou, Dictionnaire historique: depuis le commencement du monde jusqu'à nos jours, Charles Weiss

https://nominis.cef.fr

 

 

Saint Athanase 01492

15 janvier 2018

Moselle

Moselle

Rivière française, luxembourgeoise elle a donné son nom à deux départements français, la Moselle et la Meurthe et Moselle.

 

Sources :

http://photos.piganl.net/2013/moselle/moselle.php

31 décembre 2017

Le verger aux épines

Un an après je ressors les épines du verger, après avoir reçu une nouvelle piste pour la mienne que je vais regarder de près.

Et je vais les regrouper sur un blogue dédié : le verger aux épines, n'hésitez pas à me faire parvenir les vôtres.

En attendant, voici quelques épines à remettre à jour.

Epine généalogique est une expression pour désigner un problème dont un généalogiste n'a pas encore trouvé la solution, mais dont il pense qu'elle existe.

J'adore ce genre de casse-tête et le généathème du mois de janvier 2014 a mis en avant ces énigmes. En 2015 certaines ont progressé, d'autres pas encore, d'autres encore sont apparues

Je me suis dit que je pourrais les regrouper ici et en suivre l'évolution, si vous voulez, vous pourrez m'envoyer d'autre liens pour de nouvelles épines et dès que je pourrais je mettrais à jour la liste et ses évolutions (si un lien gêne quelqu'un par contre qu'il me le signale, je le retire de suite).

Les textes "entre guillemets" sont ceux des auteurs des blogues,  je n'ai pas remis les illustrations.

A vos pinces à épiler...

Un code couleur simple, vert : résolu, orange : cela avance, rouge cela bloque.

Pour plus d'éléments cliquez sur le nom de l'épine :

 

Dans les petites histoires d'ancêtres d'Emilie.

Louis AUDES er Marie Anne LEBRUN devraient s'être mariés à Aunay-sur-Odon (dans le Calvados) avant 1802, mais aucune trace.

Frédéric Pontoizeau a été le premier à signaler qu'entre 1798 et 1800 les mariages avaient lieu au chef-lieu de Canton. A suivre

"Louis AUDES serait né le 10 août 1745 à Aunay-sur-Odon (décès le 28 mai 1813 à Aunay-sur-Odon).

Marie Anne LEBRUN a été baptisée le 31 mars 1768 à Aunay-sur-Odon (décès le 19 août 1857 à Aunay-sur-Odon).

Louis se marie le 4 juin 1765 avec Anne MENARD à Aunay-sur-Odon (pourquoi ai-je marqué Cahagnes sur mon logiciel?? pourtant l’image de l’acte provient des BMS d’Aunay-sur-Odon).

Je ne sais pas quand Anne est décédée, mais cela doit être avant 1802, date de naissance de l’enfant de Marie Anne et Louis.

J’ai cherché à Aunay-sur-Odon et à Saint-Georges-d’Aunay pour retrouver cet acte de mariage entre Louis et sa nouvelle épouse, mais sans succès (j’ai dû aussi chercher dans les communes autour mais bien entendu, tête de linotte que je suis, je ne l’ai pas noté).

Il se trouve que Anne MENARD était la tante de Marie Anne LEBRUN. Est-ce pour cela que Louis et Marie Anne ne se sont pas mariés à Aunay-sur-Odon? Etaient-ils vraiment mariés ?"

 

A Ciel mes aïeux !

mais où se sont mariés Victor Emile BERTHAULT, né le 6 août 1836 à Saint-Pierre-du-Regard (Orne) et Marie Suzanne TOURRE, née le 7 décembre 1845 à Rieux de Pelleport (Ariège). En cours

Le texte de Ciel mes aïeux

 "Victor Emile BERTHAULT, mon arrière grand-père maternel, est né le 6 août 1836 à Saint-Pierre-du-Regard (Orne). Il est décédé le 28 Février 1898 à Saint-Rémy-sur-Orne (Calvados) à 61 ans. Il fut mineur.

Son épouse, Marie Suzanne TOURRE est née le 7 décembre 1845 à Rieux de Pelleport (Ariège). Elle est décédée le 29 novembre 1908 à Saint-Rémy-sur-Orne à 62 ans.

Ensemble, ils ont eu six enfants : Marie Elise  °12 avril 1875 à St-Pierre-du-Regard
                                                      Berthe Léonide ° 13 septembre 1876 à St-Pierre-du-Regard
                                                      Maria Augustine ° 31 janvier 1879 à St-Pierre-du-Regard
                                                      Jean Victor Albert ° 22 juin 1881 à St-Rémy sur Orne
                                                      Elise Marie Flavie ° 14 décembre 1884 à St-Rémy sur Orne
                                                      Marie Augustine Victorine ° 22 avril 1887 à St-Rémy S/Orne

Le couple s'installe à Saint-Pierre-du-Regard puis à Saint-Rémy-sur-Orne.

Mais où Victor & Marie Suzanne se sont-ils mariés ?

L'état civil de l'Orne ne m'apprend rien, pas plus que les tables de recensement de population.
Les archives militaires auraient pu m'indiquer le lieu d'une probable rencontre, mais les registres matricules militaires débutent en 1867 et  mon aïeul relève de la classe 1856.

Du côté de l'Ariège, pas d'archives en ligne, j'ai donc écrit à la mairie de Rieux de Pelleport : pas de mariage, non plus...
Par ailleurs, les parents de Marie-Suzanne sont partis s'installer en Algérie au moment de la colonisation. Ils y sont décédés en 1857 et 1858.
Marie Suzanne avait 10 ans.

Mes recherches sur Généanet et autres sites sont également restées infructueuses.

La distance est grande entre la Normandie et l'Ariège... Où chercher cet acte de mariage ?"

Après des échanges avec Philippe Durut et D'aïeux et d'ailleurs, Evelyne pense que l'épine se résoudra en passant par le parcours militaire de Victor Emile aux archives de l'Orne probablement.

A Châteauneuf et Jumilhac :

Recherche du mariage de Claude Bourderiou et Anne Marguerite Doré. Avez-vous une piste ?

 

Dans les Chroniques d'Antan :

Toujours un mariage à trouver : celui de Pierre Bremand et de Jeanne Gousseau. Avez-vous une piste ?

 

Chez généalogie et histoire. Avez-vous une piste ?

"Mon épine généalogique se nomme Claude Françoise CAILLET. Elle fut l’épouse de Cyprien GIRARDOT qui a fait l’objet d’un de mes précédents article. Si j’ai pas mal d’informations sur Cyprien GIRARDOT, en revanche il me manque des données capitales sur son épouse. Je résume ce que je sais d’elle:

-  elle apparait pour la première fois dans mes recherches lors de la naissance de Charles Eugène le 13 mai 1845 à Sécenans. Il est bien précisé que Claude Françoise est l’épouse de Cyprien (donc il y a eu mariage).

- sur cet acte de naissance et sur les cinq autres suivants, il est également précisé qu’elle est couturière. Les deux derniers enfants du couple, François et Jean Pierre Alphonse sont nés en 1855 et 1857 à Dampierre, dans le Jura.

- l’acte de mariage de la fille du couple, Eugénie Hortense à Lyon le 29 mars 1873 précise que Cyprien et Claude Françoise habitent à Gueugnon en Saône et Loire. J’ai donc cherché sur le recensement de Gueugnon de 1872, leur présence or je n’ai rien trouvé. J’en déduis donc qu’ils pourraient avoir habité dans le Jura à Dampierre ou ailleurs jusqu’à 1873. Mais les archives du Jura ne sont pas en ligne.

-l’acte de décès (8 aout 1876 à Gueugnon) de Claude Françoise CAILLET, apporte quelques indices supplémentaires: elle est “née à  Granges le Bourg (Haute-Saône) de CAILLET Barbe qui était journalière au dit lieu”. Bien entendu, j’ai cherché à Granges le Bourg autant la naissance de Claude Françoise autour des années 1820, mais je n’ai rien trouvé. Des cousins lointains ont également cherché et n’ont rien trouvé non plus.

- J’ai aussi cherché l’acte de mariage du couple sur les communes de Granges le Bourg et Sécenans, sans plus de réussite…"

 

Dans Mes racines familiales :

 

Sur les traces de Léonard Celery. Avez-vous une piste ?

 

Dans Mes racines en Vénétie :

Qui est Benedetto De Cogno ? Avez-vous une piste ?

 Le texte de mes racines en Vénitie :

" Tous les Vedovotto de Borso descendent d’un ancêtre commun ayant vécu au XVIe siècle : Benedetto de Cogno (nom orthographié parfois De Cugno, De Cognio). Lire l’article de la chronique sur le sujet : Origine des Vedovotto de Borso.

Il habitait à Borso en 1519 et comptait alors parmi les habitants les plus riches, possédant de nombreux biens fonciers, comme en fait état l’inventaire de ses biens, enregistré en 1530 à Asolo après sa mort. Benedetto de Cogno est pourtant introuvable dans l’estimation précédente (1495), certes incomplète, des biens des citoyens de Borso. La question se pose donc ainsi : la famille de Cogno était-elle établie depuis plus longtemps à Borso ou Benedetto est-il venu s’installer dans la commune depuis une autre ville ? Dans la seconde hypothèse, aurait-elle pu venir d’un endroit nommé “Cogno”, ce qui justifierait le nom sous lequel elle a été désignée à Borso ? Une localité nommée Cogno existe en Vénétie, dans la commune de San Giorgio in Bosco, située aujourd’hui dans la province de Padoue, à quelque 30 km de Borso. Benedetto aurait-il pu en être originaire ? Et si tel est le cas, qu’elle était le nom de sa famille dans cette commune ?"

Dans Mes racines et mes L :

Quel est le lieu de mariage de Félix Cornée et Cécile Viel ? en cours.

 Le texte de mes racines et mes L (sans les photos)

Cela semblait pour moi évident de vous parler du couple Félix Cornée et Cécile Viel. Je n'ai en effet toujours pas réussi à trouver leur union.

Grâce aux tables décennales, j'ai pu trouver plusieurs de leurs enfants et je complète actuellement la liste grâce à l'apparition des recensements sur les Archives Départementales d'Ille-et-Vilaine.

Je me retrouve donc avec Félix, né le 21 mars 1822 à Janzé (35). Fils de Félix Brutus et de Jeanne Marie Guill(i)opé. Je ne trouve aucune trace du couple et des enfants dans le premier recensement de Janzé en 1836.

Et Cécile Viel, sa future épouse, qui quant à elle est née le 7 décembre 1825 à Janzé aussi. Fille de Jean Marie et de Rose Lesire.

Je retrouve bien cette dernière dans le recensement de 1836 mais pas dans celui de 1841.

Elle aurait donc quitter le domicile parental avant l'âge 19 ans. Mais je n'ai hélas aucune piste sur sa destination.

Je les retrouves tous les deux dans le recensement de 1851 sur la commune de Servon-sur-Vilaine (35).

Avec un petit Félix, le cadet de la fratrie Cornée/Viel dont je ne trouve aucune trace nulle part. Si je trouvais son acte de naissance, cela m'indiquerait peut être où se sont marié ses parents. Cela me donnerait une nouvelle piste pour faire une recherche concentrique. Mais non rien ! Geneanet, Généalogie.com... rien !

Etant donné que nous venons juste d'avoir accès aux recensements en ligne, je n'ai pas encore fini de creuser. Mais il s'agit bien de mon épine. La première que j'ai rencontré, que j'avais délaissé et que je suis en train de dépoussiérer pour l'occasion.

Prochaines étapes, lister correctement tous les enfants (qui sont tous nés a priori sur la commune de Servon-sur-Vilaine sauf Félix), chercher dans les communes entre Janzé et Servon-sur-Vilaine, m'aider des frères & soeurs de Félix pour voir où ils sont nés.

Mise à jour (19/01/2014)

Suite à mes recherches, j'ai complété la liste des enfants de mon couple.

Félix, leur premier enfant dont j'avais trouvé mention dans les recensements, est né en 1849 à Rennes ! Mais pourquoi à Rennes ? Tout simplement car son père est en train d'effectuer son service au sein du 1er régiment d'artillerie légère.

 Mais hélas toujours aucune piste quant à la date et au lieu de l'union de mes deux aïeux. Rien dans les tables décennales de Rennes. Le mystère reste bien épais mais je reste confiant. Je n'ai pas fini de parcourir les recensements nouvellement mis en ligne."

Dans Mes racines en Vénétie :

D'où venait Martin Cumin ? Avez-vous une piste ?

 Le texte de mes racines en Vénitie :

 "Sur son acte de mariage, célébré à Borso le 26 juillet 1683, mon ancêtre est désigné comme “Martin Cumin figlio di Zuañe di Valtellina, diocesi di Como“, soit “Martin CUMIN, fils de Giovanni (Zuañe = Zuanne = Giovanni) de Valtellina, diocèse de Côme”.
Valtellina n’est pas une commune mais une vallée italienne située en Lombardie, dans la province de Sondrio. En 1683, cette région relevait du diocèse de Côme. Pour remonter la branche de mon arbre au delà de Martin Cumin et de son père Giovanni, il me faut donc résoudre une première énigme : dans quelle commune de la Valtellina Martin est-il né ?
Mais je crains que cette question ne soit pas la seule. En 1683, l’usage des patronymes n’était pas encore figé. Il était courant qu’une famille change de nom en changeant de paroisse, un patronyme désignant son lieu d’origine lui étant parfois attribué. Un exemple de ce type dans mon arbre est celui de la branche des ANDREATTA originaires de Fietta qui s’est installée à Asolo, et dont le patronyme est devenu DA FIETTA dans cette ville.
Le nom de la famille CUMIN a été parfois orthographié COMIN dans les registres de Borso, jusqu’à ce que seule cette dernière forme subsiste, à compter de la seconde moitié du XVIIIe siècle. La similarité phonétique entre “Como”, “Cumin” et “Comin” m’a conduite à imaginer une “épine dans l’épine” : et si Martin avait été appelé CUMIN à Borso parce qu’il était originaire du diocèse de Côme ?
Si tel était le cas la question qui se pose à moi serait double et quasiment insoluble : d’où venait Martin et comment sa famille était-elle appelée dans cette commune ?"

Dans la généalogie d'Hervé :

Où sont passés André Desbarras et ses filles ? Avez-vous une piste ?

 

Chez généalogie et histoires lorraines

D'où venait Pierre Devos quand il a fait un enfant à Belfort où est-il allé ensuite ? Avez-vous une piste ?

 

Dans Mes racines en Vénétie :

Où Martin Guadagnin et Cecilia Orso se sont-ils mariés ? Avez-vous une piste ?

  Le texte de mes racines en Vénitie :

"Mon ancêtre Martin Guadagnin (descendant de Martin Cumin) est né à Borso le 26 novembre 1717. Son épouse Cecilia Orso est elle même née à Borso le 21 mars 1720. Les enfants du couple sont eux aussi nés à Borso. Compte tenu des dates de baptême, je pense que leur mariage a été célébré vers 1739. Mais je n’en trouve aucune trace dans les registres de Borso, alors que la coutume voulait qu’un mariage soit célébré dans la paroisse de l’épouse, et qu’en outre dans ce cas les deux époux relevaient de la paroisse de Borso.
La grand-mère de Cecilia est décédée à Borso le 25 novembre 1714, mais elle a été inhumée à Mussolente. En lisant les actes de baptême des enfants de Martin et Cecilia, j’ai vu que les parrains et marraines cités étaient souvent des personnes originaires de Mussolente, une commune située à 5,5 km de Borso à vol d’oiseau. Les patronymes ORSO et MARIN (nom de la mère de Cecilia), ne sont pas originaires de Borso mais sont encore aujourd’hui fréquents à Mussolente.
Je formule donc une hypothèse : Martin et Cecilia se seraient unis à Mussolente, ville d’origine de la famille de Cecilia Orso. Il me reste à trouver comment consulter les registres paroissiaux de cette ville pour la vérifier…"

 

Du côté de chez nous :

à la recherche du lieu et de la date de décès de Jacques-François Hémery-Dufour, avez-vous une piste ?

 "Mon épine généalogique à moi, c'est le décès de mon arrière-arrière-grand-père paternel Jacques François    Hémery-Dufour. Je ne sais pas ce qu'il est devenu.   

Il est inscrit sur les listes électorales du 6 juillet 1871, il habitait alors 131 rue du Cherche-Midi à Paris et il est déclaré décédé    sur les recensements militaires de 1879, classe de son fils Jules Paul.     

En 1869, Il s'était marié avec Scholastique Antoinette Didion qui était née à Scye sur Saône.  

J'ai cherché dans les listes électorales, les recensements et les tables décennales de tous les arrondissements de Paris sans    succès.  

J'ai essayé sur les archives en ligne du 70 au cas où ils s'y seraient installés, mais elles sont inaccessibles. C'est    possible qu'il soit décédé en banlieue mais où ?"

 

D'Arverne et d'Armorique

Où est né François Le Heur, fils de François ? en cours

Nous sommes à Saint Gilles Pligeaux

 " François LE HEUR est le Sosa 182 de mes garçons, soit en génération 8.

Avec son épouse Marie CHEVANCE, entre 1804 et 1811, il aura 5 enfants, dont la dernière, Marguerite, née le 15 Septembre 1811, toujours à St Gilles Pligeaux, mon ancêtre.

Il décédera jeune (34 ans d'après son acte de décès) en mars 1813. Seule, avec 5 enfants, dont la plus agée n'a que 9 ans, Marie épousera en secondes noces Yves HILLOUAN dès le mois de Février 1814.

Mon épine repose là: Le mariage de Marie avec Yves HILLOUAN me donne sa filiation. Mais je n'ai pas trouvé l'acte de mariage de Marie avec François. Et l'acte de décès de ce dernier n'est qu'à moitié filiatif. Je n'ai que le prénom de son père: lui aussi François."

"A ce stade de mes recherches, j'ai une forte présomption sur l'acte de naissance de François LE HEUR. En effet, sur la période 1760 - 1790, je n'ai qu'une seule naissance indexée pour un enfant portant ce patronyme. Elle se situe en 1778, au Vieux-Bourg, à seulement quelques kilomètres de St Gilles Pligeaux.
Et le père de cet enfant se nomme François. Cela sent bon, mais j'ai malheureusement pris l'habitude de me méfier de cette période, où il n'est pas rare, au moins sur les Côtes d'Armor d'avoir certains événements manquants."

 

Sur Aide généalogie 

Un mariage invisible : Pierre Joseph Leclerc avec Victoire Comédé, avez-vous une piste ?

 "

Tout commence dans le département de la Loire à Saint-Etienne avec le mariage de Pierre Joseph Leclerc, drapier de son état, avec Marie Desfond, héritière d’une dynastie de forgeurs de fiches, les ancêtres de nos gonds. Ce mariage a lieu à Saint-Etienne le 19 février 1798, ou 6 ventôse de l’an VI de la République.
Jusque là, rien que de très classique. Sauf que dans l’acte de mariage, il est dit que ledit Pierre Joseph Leclerc était le fils de feu Pierre Joseph Leclerc et de feue Victoire Comédé, et qu’il était vivant de droit en la commune de Beauvais, dans l’Oise !
Je n’épiloguerai pas sur les raisons qui ont menées le jeune Pierre Joseph de Beauvais à Saint-Etienne, mais j’étais finalement assez heureux de trouver cette origine picarde dans la mesure où les enfants de ce couple donneront mon grand-père paternel qui a épousé, une fille originaire de l’Oise ! Un curieux clin d’œil du destin en somme …
Mais, sans doute était-ce le prix à payer, j’allais tomber sur un cas, non encore résolu à ce jour et qui met, à chaque fois que je m’y penche, mes nerfs à rude épreuve …
En effet, fort de cette information, me voilà plongeant dans les archives de Beauvais. Il faut dire que je n’aime pas trop fouiller dans les archives des grandes villes car cela prend énormément de temps, mais bon, l’Ancien Régime étant composé d’une multitude de paroisses, je pouvais ramener ma recherche sur Beauvais en plusieurs recherches sur des paroisses plus modestes.
D’après son acte de mariage Pierre Joseph Leclerc était né vers 1768, estimation confirmée par son acte de décès. Par ailleurs, le même acte de mariage indiquait que son père et sa mère étaient décédés en 1798.
De plus, le patronyme de Comédé n’étant a priori pas courant (beaucoup moins que Leclerc en tout cas), je pensais que cette histoire allait être vite pliée.
L’étude des tables décennales et des registres d’état-civil de la commune de Beauvais m’apprirent que Pierre Joseph Leclerc père était décédé à l’Hospice du Malheur (ainsi baptisé pendant la période Révolutionnaire …) le 11 Ventôse de l’an III (1er Mars 1795) à l’âge de 75 ans. Il a donc dû naître vers 1720, ce qui signifierait qu’il a eu son fils à l’âge de 48 ans. Tardif, mais pas impossible.
Quant à Victoire Comédé, elle est également décédée au même Hospice du Malheur le 4 Messidor de l’an IV (22 juin 1796) à l’âge de 64 ans. Elle est donc née vers 1732, et aurait donc eu son fils à l’âge de 36 ans, ce qui est possible.
Sous l’Ancien Régime, Beauvais comptait pas moins de 14 paroisses :
  • Saint-Pierre, dite Notre-Dame-de-la-Basse-Œuvre
  • l’Hôtel-Dieu
  • Notre-Dame-du-Chatel
  • Saint-André
  • Saint-Etienne
  • Saint-Jacques
  • Saint-Laurent
  • Sainte-Madeleine
  • Sainte-Marguerite
  • Saint-Martin
  • Saint-Quentin
  • Saint-Sauveur
  • Saint-Thomas
  • Saint-Vast
Même si je retire Notre-Dame-du-Chatel qui cesse d’exister en tant que tel à la fin du XVIIème siècle et Saint-Vast qui n’a d’enregistrements que jusqu’à la moitié du XVIIIème siècle, cela me laissait quand même 12 paroisses à éplucher !
Alors, prenant mon courage à deux mains, c’est ce que j’ai fait et j’ai trouvé 4 choses intéressantes :
  • Leclerc était un patronyme finalement pas si courant que cela
  • Comédé était un patronyme effectivement très rare
  • une Louise Victoire Comédé vivait à la période considérée
  • le couple Pierre Joseph Leclerc – Victoire Comédé a eu au moins deux enfants dans la paroisse de Saint-Martin, Marie Anne Félicité née le 3 mars 1767 (mais décédée le 28 mai 1769) et Jean Philippe né le 21 août 1769
Problème, Louise Victoire Comédé sur laquelle je fondais mes espoirs avait épousé Eustache Henry le 2 mai 1752 en la paroisse de Saint-Etienne, Eustache Henry qui était toujours vivant en 1769, puisque c’est l’année où le couple voyait la naissance d’une petite fille … Ma Comédé ne pouvant être bigame, cette piste disparaissait.
Par ailleurs, l’étude approfondie des registres de la paroisse Saint-Martin ne m’a permis de trouver aucune autre naissance du couple Leclerc-Comédé que ces deux enfants. Et leurs dates de naissances étant séparées de 17 mois et quelques jours, il me semble compliqué d’y inclure une naissance entre les deux …
Enfin, la profession de manouvrier exercée par Pierre Joseph Leclerc père laissait craindre le pire. En effet, par nature c’était une profession instable et les personnes l’exerçant allaient là où on avait besoin d’eux, ne disposant généralement pas de terres en propre permettant de les fixer dans une paroisse …
L’examen des paroisses avoisinantes n’a rien donné et la recherche sur Généanet du patronyme Comédé n’a rien donné non plus !
Bref, un mariage invisible doublé d’une naissance introuvable.
J’ai pour lors deux hypothèses :
  • le couple n’est absolument pas originaire de Beauvais, mais y est allé pour des raisons professionnelles, ce qui signifie que je vais devoir aller encore fouiner dans d’autres paroisses situées aux alentours de Beauvais, en étudiant toutes celles situées, disons à une journée de marche …
  • le garçon prénommé Jean Philippe et né en 1769, serait en fait mon Pierre Joseph qui aurait pris le prénom de son père en son hommage, étant parti vivre très loin de chez lui. On notera que même si cette hypothèse s’avère, cela ne résoudra pas mon problème de mariage …"

Sur le Tumblr d'Aïeux et d'ailleurs :

A la recherche d'information sur François de Lespine notamment sa naissance. Avez-vous une piste ?

 

 Dans les Degrés de parenté :

Où diable trouver le baptême de Joseph Maitreau ? Avez-vous une piste ?

 

Chez Mémoire et Cie :

Où est-donc parti Xavier Emmessie Minville? Avez-vous une piste ?

 

 Dans Mes racines familiales :

Pourquoi Catherine MONNET est décédée à plus de 1000 Km de son domicile sous un autre nom ?  Avez-vous une piste ?

 

Chez Feuille d'ardoise

D'où vient >René Piton ? Avez-vous une piste ?

"Depuis de nombreuses années, je suis à la recherche d’un mystérieux René PITON., mon ancêtre à la huitième génération, dont je n’ai pu, jusqu’à aujourd’hui, retrouver la trace. Il a vécu, au milieu du 18 ème siècle à Neuvy-en-Mauges dans le Maine-et-Loire.

Pas de mariage à Neuvy

Il était marié à Marie BRUNET avec laquelle il a eu cinq enfants, tous nés et baptisés à Neuvy. Le premier d’entre eux est né le 29 novembre 1752. Ils se sont donc vraisemblablement mariés avant cette date, sans doute aux alentours de 1751, mais à Neuvy-en Mauges, aucun acte de mariage ne les concerne !

Plusieurs pistes infructueuses

Les actes de baptême de leurs cinq enfants m’ont permis de retrouver facilement l’ascendance de Marie BRUNET, femme de René PITON. Cette dernière est originaire de Saint-Laurent-de-la-Plaine où elle a été baptisée, le 21 août 1731. Ce village n’est pas très éloigné de Neuvy et leur mariage aurait pu y être célébré, mais ce n’est pas le cas non plus.

Toujours grâce aux parrains et marraines mentionnés sur les actes de baptême des enfants de René PITON et de Marie BRUNET,  je découvre alors que cette dernière a une sœur, Perrine, qui s’est mariée à Saint-Lézin en 1753 avec Mathurin BLANVILAIN natif de la paroisse de La Jumellière. J’ai donc épluché les registres de ces deux paroisses, imaginant que peut-être Marie, sa sœur ainée,  y a également convolé quelques années auparavant, sans succès.

Sans famille

Certains parrains et marraines sont dits « cousins » ou « cousines » de l’enfant. Je piste donc soigneusement chaque nom cité et je les retrouve tous assez facilement. Il s’avère qu’ils sont tous du côté maternel et qu’aucun membre de la famille PITON n’est jamais présent : aucune mention ni de son père ni de sa mère, aucun frère, aucune sœur, pas même un oncle, une tante ou un cousin éloigné ne prennent place parmi les parrains et marraines de ses cinq enfants ! René PITON est sans famille !

Les enfants de René PITON

Lorsque René PITON décède, âgé d’environ cinquante-trois ans, en 1775, à Neuvy, il lui reste trois enfants vivants, âgés de 9 à 21 ans, Marie, Pierre et Mathurin. Sa femme, Marie BRUNET, décède à son tour en 1777. Les orphelins sont  pris en charge par leur tante maternelle, Perrine BRUNET, et  par son mari, Mathurin BLANVILAIN, qui devient leur curateur. Ils demeurent à Neuvy à la ferme des Aunays où ce dernier est métayer, comme leur père l’était, au même endroit, avant de mourir.

La fille aînée, Marie, se marie en 1779 avec Pierre BOUMIER à La Poitevinière. Son mari décède un an plus tard et elle-même, revenue à Neuvy,  décèdera en 1785, à 31 ans, sans descendance.

Pierre PITON, dont je descends, se marie quant à lui en 1785 avec Renée BEDUNEAU à Neuvy et devient à son tour métayer des Aunays.  A son mariage est présent son petit frère, Mathurin dont je perds la trace par la suite."

 

Chez Rhit Généalogie :

Simon Rhit est-il le père de Simon Rhit ? Qu'en pensez-vous ?

 

C'est génialogique mais où est passé Pierre Noël Rissoto ?

"Pierre est né le 25 décembre 1873 dans le 1e arrondissement de Lyon." .. "A presque vingt-quatre ans, Pierre s’est marié à Jeanne Boust, une jeune femme originaire de Chasselay, un patelin juste au nord de Lyon. Il était temps… car la petite Marie-Louise était en route depuis six mois déjà ! Elle naît en décembre 1897 et son petit frère, Henri, pointe son nez dix-huit mois plus tard. Deux enfants, et la fratrie est complète."

"Voilà mon premier indice : Jeanne Boust meurt le 18 février 1945 et son acte de décès indique qu’elle est «veuve de Pierre Noël Rissoto». C’est donc qu’il est mort avant elle ! J’ai une date «maximum» pour mes recherches. Quand à la date minimum, je la situe pour l’instant au 26 septembre 1925, car l’acte de mariage de sa fille Marie-Louise ne précise pas qu’il est défunt. Entre 1925 et 1945, donc. Pour continuer l’enquête, il me faut maintenant suivre les déplacements de la famille dans les recensements de population.

J’ai ainsi trouvé la petite famille Rissoto au 1 rue Roquette, dans l’ancienne commune de Vaise. A cette époque, le quartier appartient au 5e arrondissement. La petite famille y est au complet entre 1906 et 1921, puis les deux enfants se marient et quittent le domicile parental. Pierre et Jeanne se retrouvent en duo, comme au bon vieux temps, au recensement de 1926.

Mais au recensement suivant en 1931, les Rissoto ne sont plus rue Roquette. Je n’ai pas dû chercher bien loin pour retrouver Jeanne Boust : elle habite désormais rue Saint-Pierre de Vaise, à quatre rues de là… mais elle vit désormais seule. Où est passé Pierre ? Est-il déjà mort ?"

"En 1936, le mystère s’épaissit : je perds de vue Jeanne aussi. Elle n’est plus rue Saint-Pierre de Vaise. Pourtant, elle y est revenue en 1945, comme l’indique son acte de décès. Se pourrait-il que Pierre ait trouvé un logement ailleurs dans le quartier, ou dans la ville, et que Jeanne l’y ait rejoint quelques années avant de revenir finir sa vie dans la rue familiale (sa fille Marie-Louise s’y est installée) ? Boule de gomme…

Bilan

De ce que j’en sais, Pierre est donc mort entre 1926 et 1945. J’ai cherché cet événement dans les tables décennales des décès survenus à Lyon, dans tous les arrondissements et aussi à Saint-Rambert-l’Ile-Barbe. J’ai cherché dans le village de ses parents, à Chessy, et chez les beaux-parents à Chasselay. J’ai découvert l’existence des archives des convois funéraires de Lyon, et il en est absent aussi. Il faut peut-être que je regarde dans les archives de la banlieue lyonnaise, des fois qu’il soit mort dans un hôpital proche."

Chez Hervé généalogie :

Qui est Sébastien de Rosmadec de Lachesnaye dit Courtebotte ? Avez-vous une piste ?

 

Dans les branches :

le Mystère Marie Schaffusser... En cours 

 Le texte dans les branches :

"Mes recherches sur Marie SCHAFFUSER sont sans doute les recherches les plus frustrantes que j'ai eu l'occasion de faire. Mais avant de parler de Marie, parlons de mon arrière-grand mère, Thérèse SCHAFFUSER épouse de Sylvain Raymond DOMERGUES, mère de ma grand-mère paternelle Marguerite Jeanne DOMERGUES, et point de départ de ma branche SCHAFFUSER.

 Thérèse est originaire du village d'Offendorf en Alsace dans le département du Bas-Rhin (67), mais elle a rencontré Sylvain à Paris et c'est à Paris qu'ils se sont mariés le 4 octobre 1902 dans le 12ème arrondissement. Ils ont eu trois enfants : Andrée en 1903, Marguerite en 1907 et Pierre en 1910. Malheureusement Thérèse décède à l'âge de 31 ans en donnant naissance à Pierre. Ses enfants ne l'ont donc pas assez connue, et de mémoire familiale Sylvain, décédé en 1972, ne fut pas très bavard à son sujet. Éleva-t-il seul les enfants ? Qu'a-t-il pu leur raconter au sujet de leur mère ? Je ne le sais pas et les trois enfants sont aujourd'hui décédé depuis longtemps. Je n'ai connu que très peu ma grand-mère Marguerite décédée en 1997, alors que j'avais 10 ans, et donc pas encore le réflexe de poser des questions sur mes ancêtres !

Me voilà donc en 2005, avec pour point de départ la naissance de Thérèse SCHAFFUSER en 1879 à Offendorf. Mes parents prirent donc ma passion généalogique comme une occasion pour aller faire un tour en Alsace et s'arrêter à Offendorf. Nous y découvrîmes un village fleuri d'un peu plus de 2000 habitants et situé au bord d'une rivière, l'Ill. Direction la mairie pour chercher l'acte de naissance de Thérèse, et là première surprise, les actes sont tous rédigés en allemand de style gothique ! et évidemment aucun de nous ne parle allemand... Ce que nous aurions dû savoir, c'est qu'au vu de l'histoire de l'Alsace, les registres d'Etat Civil de 1871 à 1918 sont rédigés en allemand.

 Une petite parenthèse historique s'impose : la guerre franco-prussienne de 1870 a abouti à l'indexation de l'Alsace-Lorraine par les allemands avec le Traité de Francfort en 1871. Et l'Alsace-Lorraine restera allemande jusqu'à la fin de la Première Guerre Mondiale, lorsque la France la récupère avec le Traité de Versailles en 1919. De par le droit du sol, Thérèse SCHAFFUSER est donc de nationalité allemande ! 

 Malgré la barrière de la langue, nous arrivons à retrouver la famille SCHAFFUSER ou SCHAFFHAUSER dans les registres d'Etat Civil d'Offendorf. Ainsi, grâce aux tables décennales, je retrouve l'acte de naissance de Thérèse (Theresia) :

 dont j'obtiens la traduction grâce à un aimable bénévole de Geneanet :

Acte n°35

Offendorf le 21 août 1879 

Par devant l'officier d'état civil ci dessous est comparu le dénommé ouvrier du chemin de fer André SCHAFFUSER de Offendorf catholique qui déclare que de Joséphine ANDRÉ son épouse de religion catholique domiciliée à Offendorf a donné naissance à Offendorf le 21 août de l'an 1879 à 10h du matin à un enfant de sexe féminin auquel il déclare vouloir donner le prénom de Thérèse  

Lu, approuvé et signé SCHAFFUSER

L'officier d'état civil HIBOU

Attesté par le registre principal Offendorf le 21 août 1879 

Signé HIBOU

 Une première étape est franchie, nous connaissons les parents de Thérèse ! En parcourant l'Etat Civil, je lui retrouve ainsi 5 frères et soeurs aînés (elle serait la dernière), et l'acte de mariage de ses parents, le 18 avril 1868 et donc en français (ouf !) :

 Et là c'est le drame, je me retrouve face à mon premier cas de père inconnu. La mère d'André, Marie SCHAFFUSER est fille mère, et en plus disparue "depuis de longues années" et son fils "ignore [son] lieu de résidence"... De retour chez nous au Havre, j'analyse de nouveau l'acte. Je sais maintenant qu'André était batelier à Offendorf, ce qui n'est pas très original dans cette commune où l'on est marinier de père en fils, et cela tombe mal je ne connais pas son père ! Je sais aussi qu'André est né à Belfort vers 1839... Il me faudra attendre la mise en ligne des archives de Belfort en 2009 pour continuer mes recherches.

 Lors de la mise en ligne des archives, je retrouve donc l'acte de naissance d'André, né le 27 octobre 1839 à Belfort : 

J'étais pleine d'espoir quant aux informations que je pourrais trouver sur ses parents, mais malheureusement, l'acte ne m'indique que peu d'informations supplémentaires. J'y apprends quand-même des informations sur la vie de Marie en 1839 : elle a la profession de revendeuse, est âgée de 27 ans et est originaire de Lautenbach dans le Haut-Rhin (68). Elle y serait donc née vers 1812-1813. Une recherche à Lautenbach à cette époque me fait retrouver l'acte de naissance d'une Marie SCHAFFUSER née le 30 novembre 1813 de François SCHAFFHAUSER et Madeleine GERRER. Pas d'autre Marie en vue dans les actes de naissance, mais je ne peux pas être sûre à 100% qu'elle est bien la Marie que je cherche ! Quelle frustration !

Sur l'acte de naissance d'André à Belfort figurent également les noms de deux témoins : Jean-Baptiste CORBIER, 44 ans et propriétaire, et Victor DANTZER, 31 ans et receveur de la Caisse d'Epargne, tous deux habitant à Belfort. Qui sont-ils ? L'un des deux pourrait-il être le père d'André ?

Je repars sur la piste de Belfort, pourquoi Marie y est-elle venue ? Que faisait-elle là-bas ? Je parcours donc les listes nominatives de Belfort. Marie SCHAFFUSER n'y figure ni en 1836, ni en 1841... Elle ne figure pas non plus dans les Tables Décennales des décès à Belfort de 1833 à 1882. Elle est donc arrivée à Belfort après 1836, a mis son enfant au monde en 1839 et est repartie avant 1841...?

Dans l'Etat Civil de Belfort, je retrouve néanmoins une Françoise SCHAFFUSER âgée de 34 ans, originaire également de Lautenbach et sans profession qui a donné naissance à un enfant naturel, Louis, le 21 février 1841. La sage-femme qui l'a accouchée est comme par hasard Caroline épouse de Jean HOSTFELDER, la même qui a mis au monde l'enfant de Marie ! Marie et Françoise ont-elles un lien de parenté ? Les témoins ne sont cependant pas les mêmes. Et je n'ai pas plus de traces de Françoise et Marie à Belfort...

Je me tourne alors de nouveau vers son fils André. A la mise en ligne des archives de Paris en 2010, une recherche dans le 12ème arrondissement de Paris (là où sa fille Thérèse s'est mariée avec Sylvain) m'indique qu'il s'est remarié avec Odile KRAUSS le 6 avril 1899 suite au décès de sa première femme Joséphine le 22 avril 1896 également à Paris 12ème. Leur acte de mariage mentionne juste qu'il est le "fils non reconnu de Marie Schaffuser et de père non dénommé".

A noter que la recherche d'enfants SCHAFFUSER dans le 12ème arrondissement de Paris entre 1873 et 1902 ne me donne aucun résultat. Je ne sais pas pourquoi André et Joséphine ont déménagé à Paris avec leurs enfants à une date située entre 1879 et 1896. A ce jour je n'ai pas retrouvé l'acte de décès d'André (après octobre 1902 sans doute à Paris), mais je doute qu'il m'apporte plus de précisions sur sa mère.

 En conclusion, au cours de ces années, mes recherches sur Marie SCHAFFUSER m'ont toujours donné l'impression que je touchais au but car elle m'a bien promenée entre Offendorf, Belfort et Lautenbach. Mais au final je perds toujours sa trace en 1839 à la naissance de son fils, et je ne sais pas si c'est bien elle qui figure sur les registres de Lautenbach en 1813.

 Affaire à suivre... Si vous voyez que je n'ai pas exploité une piste, n'hésitez pas à m'en informer !"

 

Chez moi ...  Une nouvelle piste ...

Où trouver des traces de Marie Beauzon et Jean Selves ?

"Le 6 août 1803, à Tournon (d’Agenais), Françoise Debelmas, fille d'un propriétaire du lieu, épouse Pierre Selves, jardinier, résidant de Montastruc. Dans l’acte il est mentionné que Pierre est né en novembre 1766 à Cabanes, dans le Lot, de Jean et Marie Beauzon époux décédés.

Tout va bien dates et lieu de naissance sont indiquées cela va remonter d’une génération sans trop de soucis.

Sauf que … Dans le Lot pas plus de Cabanes que dans la paume de ma main.

Sauf qu'à cette époque une commune du lot cela peut être encore aujourd'hui une commune du Lot ou une du Tarn-et-Garonne,  département créé sous Napoléon. Mais que de Cabanes il n'y en a ni dans le Lot, ni dans le Tarn-et-Garonne, ni dans le Lot-et-Garonne.

Sauf que Cabanes il y en a bien dans le Tarn mais qu’on n’y trouve pas de naissance de Pierre Selves en novembre 1766.

Le Quercy a la particularité d’avoir de nombreuses paroisses, plusieurs peuvent coexister dans des petits villages…

Sauf qu’à Montrastruc la Lot-et-Garonnaise dans la paroisse de Saint-Pierre-de-Cabanes en novembre 1766, aucune trace d’un Pierre Selves n’apparaît.

Sauf que Montastruc, cela ne semble pas un nom de commune si commun, mais qu’en supplément du Lot-et-Garonne le Tarn-et-Garonne en accueille une autre.

Sauf qu’il me reste les communes disparues. Alors un petit détour parhttp://www.francegenweb.org/~communes/accueil.php pour se dire que Cabanac cela pourrait coller.

Cabanac, rattachée depuis à la commune de Mauroux dans le Lot, à quelques kilomètres de Tournon, c’est très plausible. Lorsque je fis cette découverte, les archives venaient d'être mises en ligne.

Sauf que pour Mauroux, elles commencent en 1767... deux mois trop tard. A noter que des Beauzon se trouvent effectivement dans les registres de Mauroux.

Là cela se confirme, le manque de précision sur le jour de naissance de Pierre provient peut-être du fait que les registres ont disparu.

Que reste t’il comme solutions ?

Continuer la fouille à Mauroux après 1767 pour rechercher les décès de Jean Selves et Marie Beauzon ou des naissances de frères de Pierre, c’est en cours

Faire les mêmes recherches du côté de Montastruc

         En Lot-et-Garonne

         En Tarn-et-Garonne

Attendre les dernières mises à jour des archives du Lot-et-Garonne pour les collatéraux de Pierre et de ses enfants des fois que des pistes en ressortent.

Sauf que prévu fin 2013 ce devrait être pour fin janvier 2014."

 

Dans Mes racines en Vénétie :

Tous les Vedovotto sont-ils issus d'un ancêtre commun originaire de Borso del Grappa ? Avez-vous une piste ?

  Le texte de mes racines en Vénitie :

"J’ai formulé cette hypothèse au début de mes recherches, face à la très faible représentation de ce patronyme. Ayant néanmoins trouvé quelques branches externes à Borso, installées plus au sud près du golfe de Venise, je cherche l’éventuel chainon manquant qui les relieraient à un Vedovotto parti de Borso. Il faudrait pour cela que je puisse avoir accès à certains registres paroissiaux de la fin du XVIIIe siècle, ce qui est loin d’être simple… Le détail de l’avancement de mes recherches à ce sujet est publié dans ma “chronique familiale” : Les Vedovotto du littoral.

Pour avancer, il faudrait maintenant que je puisse consulter les registres paroissiaux de La Salute di Livenza, pour y remonter la piste des Vedovotto à la recherche de l’indication d’une ville d’origine différente.

 

LES RESOLUTIONS :

Dans Mes racines et mes L :

D'où sont originaires Etienne Carrière et Marie Jeanne Cauhapé ?

Le texte de mes racines et mes L (sans les photos)

"Par une fraîche nuit de décembre 1877, le  douze pour être exacte, naquît l’arrière-arrière grand-mère de ma femme, Marie Olympie à Raissac d’Aude (Aude). C’est la fille d’Etienne CARRÈRE âgé 30 ans et de Marie Jeanne CAUHAPÉ âgée de 26 ans. Ce qui nous donne des années de naissances respectives de 1847 et 1851  (∓ 1 an).

Ensuite, pas grand chose ! Le recensement sur la commune s’arrête en 1876 et l’on y trouve bien Etienne (Employé des chemins de fer, originaire des Basses-Pyrénées, ancien nom des Pyrénées-Atlantique) mais il n’est pas présent lors de celui de 1872. Je retrouve leurs traces en 1884 dans l’Aveyron grâce à Généabank où la sœur de Marie OlympieMarie Magdeleine, voit le jour à Fondamente. Etienne a maintenant 38 ans et Marie Jeanne, 32 ans (soit 1846 et 1852 pour les années de naissances théoriques des parents). Il est toujours employé des chemins de fer.

De nouveau plus aucune information ! Jusqu’au mariage de Marie Olympie en 1901 à Saint-Jean-Pla-De-Corts (Pyrénées-Orientales). Dans l’acte de mariage de cette dernière avec Joseph GERMA, il est indiqué que les parents de la mariée sont résidents de cette commune. Le père est toujours dans les chemins de fer en tant que Chef de Station à Saint-Jean-Pla-De-Corts. J’ai écrit à la mairie pour qu’ils consultent les tables décennales pour y trouver une trace de ces deux personnes, mais hélas sans succès. J’ai donc posé la même question à Brouilla (Pyrénées-Orientales) où est décédée Marie Olympie en 1952 et pareil aucune information, les parents de Marie Olympie ne sont pas décédés là.

Je me suis aussi rapproché du Cercle des cheminots mais Etienne n’apparaît pas dans leur base de données. Pareillement dans les archives des Pyrénées-Atlantique pour les fiches matricules ni dans celles des Pyrénées-Orientales. Je ne sais pas trop par où chercher maintenant. J’attends de voir avec les recensements de l’Aveyron quand ils seront en ligne…"

Elle pique moins Merci au recensement de 1906 de Saint-Pla-de-Corts, 

 Etienne Carrère est originaire de Gouze une ancienne commune des Basses Pyrénées qui a été incorporée dans la commune de Mont depuis 1972. Quant à Marie-Jeanne Cauhapé (Khopé sur le recensement), elle, vient de Lucq-de-Béarn. On apprend aussi grâce à cette archive qu’ils ont eu un enfant, Jean-Baptiste, qui est né à Saint-Sauver-du-Peyre (Lozère).

 

Dans Chronique familiale :

Où se sont mariés Isabeau Loumiet et Pierre Eyraud ? Avez-vous une piste ?

Le seul document que j'ai trouvé, c'est l'acte de décès de Isabeau Loumiet :

l'acte du 2 Avril 1806 à Langoiran Gironde indique que Isabeau, âgée de 70ans est née à Saint Goin - Pyrénées Atlantiques , mariée à Pierre Eyraud, vigneron.

J'ai donc recherché :

l'acte de naissance de Isabeau Loumiet née vers 1735 à St Goin :  les actes commencent en 1740 ...

 l'acte de mariage dans les villages de Langoiran, Le Tourne, Cadillac en Gironde et également à Saint Goin et Osse en Aspe - Pyrénées Atlantiques. je n'ai pas trouvé de mariage et non plus la famille Eyraud.

 Et Chronique familiale a trouvé  : Isabeau Loumiet s'est mariée le 03 Juillet 1788 à Lestiac sur garonne. 

 

Chez Marine et ses ancêtres, deux épines en une :

la première sur un nom de village, résolue par Patricia autrefois écrit  "L'arthuzière", LA RETUZIERE est un hameau de Congrier (53).

la seconde sur le lieu de mariage de Mathurin FERRON et Marguerite AUBERT ou tout autre renseignement sur le couple. Des enfants nés à Fontaine Couverte (53) et le père du mari : Jean, identifié, cela progressait plutôt bien. Et Tatiana Yvon est arrivée pour annoncer que quelques ancêtres s'impatientaient du côté de Saint-Michel-de-la-Röe (53). Et oui c'est dans ce village que s'est marié le couple que cherchait Marine.

 

Dans les Degrés de parenté :

Où ont pu se marier Pierre Letourneau et Marie "Perrine" Chardron ? Avez-vous une piste ?

"Le couple formé par Pierre Letourneau et Marie Chardron a eu trois enfants, Pierre, Christophe et enfin Philibert, mon ancêtre à la sixième génération (Sosa 42).

Un seul hic : où et quand se sont-ils mariés ? Ce n'est pas une épine généalogique, c'est un buisson de ronces ! Jugez-en plutôt. 

 

Les faits connus

Le 2 mai 1794, à Meslay-du-Maine, dans le département de la Mayenne, Pierre Letourneau se présente à la maison commune, en compagnie de Philibert Chardron, son beau-père, et d'un autre témoin pour déclarer que "Perrine Chardron son épouse en légitime mariage est accouchée ce matin en sa maison dans le bourg d'un enfant mâle auquel ils ont donné le prénom de Pierre". 

Je dis bien "Perrine" et non "Marie".

L'année suivante, plus précisément le 7 juin 1795, le même Pierre Letourneau se présente à nouveau devant le même officier public, Nicolas Buffard, pour déclarer la naissance de Christophe. Le personnage en question nomme d'abord la mère "Perrine", mais biffe aussitôt le prénom et le remplace par "Marie". L'enfant ne vivra qu'une quinzaine de jours à peine.

 Le 24 février 1796, Charles Ravault et Christophe Raillou entrent à leur tour dans la maison commune et déclarent que "Pierre L'Etourneau époux de Marie Chardron a été tué par les Chouans sur la place dans le bourg âgé de vingt cinq ans ou environ". La veille au soir (ou bien était-ce simultanément, ce n'est pas clair), un marchand tissier et une femme âgée de soixante-huit ans ont subi le même sort.

 Le 1er août 1796, soit cinq mois plus tard, Louis Guillet, Perrine Chardron et Françoise Bouvier viennent déclarer que "Marie Chardron épouse en légitime mariage de défunt Pierre L'Etourneau est accouchée de ce matin d'un enfant mâle auquel ils ont donné le prénom de Philibert".

 Enfin, le 2 juillet 1798, un dernier acte vient clore la brève histoire du couple : "Marie Chardron veuve de feu Pierre Letourneau, fille de Philbert Chardron marchand et de Marie Briceau… est morte de ce jourd'huy à trois heures du matin, âgée de vingt-neuf ans, née à Meslay".

 

Les premières recherches

J'ai facilement trouvé les actes de baptême de Marie Chardron et de sa sœur Perrine, nées respectivement en décembre 1769 et juin 1771 à Meslay-du-Maine, ainsi que ceux de leurs sept frères et sœurs. Ils sont presque tous agrémentés du paraphe de leur père, qui signe tantôt "Philberth Chardron", tantôt "Ph. Chardron" d'une main assurée.

Trouvé également l'acte de mariage des parents, Philibert Chardron et Marie Briceau, en janvier 1769, toujours à Meslay-du-Maine. 

Trouvé aussi l'acte de baptême d'un certain Pierre Marin Le Tourneau en la paroisse Saint-Jean-Baptiste de Château-Gontier, le 11 février 1770. Mais aucun acte de mariage de ce dernier, ni avec Marie, ni avec Perrine Chardron, ni à Meslay-du-Maine, ni à Château-Gontier. 

Les mariages des deux fils Letourneau, Pierre et Philibert, à Château-Gontier, le premier en mars 1818 et le second en novembre 1822, ajoutent encore à la confusion. Pierre est dit "fils majeur de Pierre Letourneau, tisserand, décédé au dit Meslay, le vingt-quatre février 1796… et de Perrine Chardron, son épouse, décédée au dit Meslay le quatorze messidor, l'an six(1)". L'acte de mariage de Philibert reprend exactement les mêmes termes, à un prénom près : cette fois, la mère s'appelle… Marie !

Décourageant !

 

Nouvelles investigations

À quelque temps de là, je pense enfin à pousser plus loin les recherches sur cette fameuse Perrine et je découvre que, le 29 mai 1799, elle a épousé un certain Jacques Laurent. Rien dans la rédaction de l'acte de mariage ne permet de penser qu'elle est veuve de Pierre Letourneau… 

J'acquiers donc plus ou moins la certitude que les trois garçons sont issus du couple formé par Pierre Letourneau et Marie Chardron, parents tous deux décédés avant leur trentième année ; mais il me faudra sans doute me rendre aux Archives départementales de la Mayenne et consulter les tables des successions et absences pour en avoir le cœur net.

En reprenant le dossier ces jours-ci, me voilà soudain saisie d'un doute : en l'absence d'un acte de mariage indiquant précisément la filiation, comment être sûre de l'identité des parents de Pierre Letourneau ? J'ai noté qu'il était né à Château-Gontier, que ses parents s'appelaient René Isidore Letourneau et Marie Hamon, mais faites une recherche dans Geneanet, même en la limitant à la période entre 1750 et 1800, et vous obtenez plusieurs centaines de réponses ! Le patronyme Letourneau n'a rien de rare, le prénom Pierre pas davantage. 

L'ai-je confondu avec un homonyme ? Je décide de relire, plus attentivement cette fois, les actes de mariage de ses deux fils, Pierre et Philibert.

Le mariage du jeune Pierre, tout d'abord. Parmi les témoins figure un certain Louis Etienne Hocdé, perruquier, vingt-sept ans, cousin germain de l'époux du côté paternel : me voilà confortée ; sa mère, Barbe Julienne Letourneau, et le père du marié sont bien frère et sœur. 

Le mariage de Philibert, ensuite. Parmi les témoins figurent René Letourneau, propriétaire, soixante-six ans, et Yves Brette, tisserand, soixante-deux ans, oncles de l'époux du côté paternel. Le premier a les mêmes parents que le père du marié, le second a épousé une sœur du père du marié. Ouf ! la filiation de Pierre Letourneau, né à Château-Gontier en 1770, fils de René Isidore Letourneau et de Marie Hamon, est bien confirmée.

Mais où et quand s'est-il marié ? S'est-il d'ailleurs vraiment marié ou aurait-il profité des troubles de la période révolutionnaire pour le faire croire ? Je cherche encore la réponse." 

 Et elle l'a trouvée grace au Cercle généalogique de la Mayenne : : le mariage a eu lieu à Ruillé, aujourd'hui Ruillé-Froid-Fonds, le 28 août 1792 ! Pour en savoir plus !

 

Dans l'Univers de Céline

Sur les traces d'un batelier nommé VAN DER JEUGHT...

 Le texte de l'univers de Céline :

"Je suis toujours bloquée sur l'arrière-grand-père de mon ami. J'en avais déjà parlé au mois de mai : Mystère généalogique 2

Je reprends : la mère de ma belle-mère Paulette AUBRY est née de Louise, Charlotte AUBRY. Il n'y a pas le nom de son père sur son acte. A priori ce monsieur, belge, aurait été marié à une autre à l'époque et ne l'a donc pas reconnue. Il a cependant toujours vécu avec sa maman qui était marinière.

J'ai retrouvé sa trace car il semble avoir signé l'acte de mariage de Paulette, donc son nom serait VAN DER JEUGHT. Je n'ai pas de prénom et je ne sais pas d'où il serait originaire en Belgique. Sur ce même acte j'ai appris qu'en 1932 ils vivaient offciellement à Paris, Quai Valmi, I25 sur le bateau le Pondérant.

Je ne trouve pas en ligne les recensements

  1. à Vitry le François (Marne) vers 1913, date de la naissance de Paulette
  2. à Paris vers 1932, date du mariage

En ce qui concerne les bateliers j'avais cru comprendre qu'il pouvait exister quelque chose mais pour le moment je suis toujours bloquée.

Je jette donc cette bouteille non à la mer mais à la Seine vu les circonstances."

Finalement contrairement à ce que tout le monde disait ils se sont mariés...En Belgique. Céline nous raconte comment : J'ai passé la frontière

A COMPLETER....

Première publication le 1er février 2014

Dernière mise à jour : 31 décembre 2017

14 novembre 2016

 

 

 

 

 

17 décembre 2017

12 objectifs et un fil rouge pour 2018

Ce blogue se bloque parfois et il m'est difficile, hors les challenges (et encore pas tous) de le faire vivre. Parfois parce que je ne trouve pas le temps, parfois car je trouve que je n'écris rien de bon. Alors je me suis fixé des objectifs que je fais varier. L'année 1867 a rythmé (pas bien vite) l'année 2017, l'an 1818 sera mon fil rouge en 2018. 

Et pour écrire sur mes ancêtres et relancer certaines recherches je me fixe un défi d'écriture par mois.

  • Les épines généalogiques, notamment la mienne qui pourrait avancer sur la recherche des parents de Pierre Selves ;
  • me servir d'articles de presse pour compléter mes recherches ;
  • faire le point sur la grande guerre dans mes branches ;
  • étudier ce que justice et droit pourraient révéler ;
  • se pencher sur les moulins et meuniers ;
  • voir ce que peuvent m'apprendre les archives du commerce ;
  • jargonner un peu en patois ;
  • faire un tour d'horizon en Italie ;
  • trouver ce qui peut l'être sur mes instituteurs ;
  • retourner voir les notaires ;
  • développer le thème de l'eau dans mes recherches ;
  • focus sur mes parisiens.

Et puis tout ce qui me tentera.

Mon premier thème sera sur les épines et je vous invite à vous joindre à moi.

Je vais tenter de remettre un peu d'ordre dans mon verger aux épines. Voir celles qui ont avancé et vous proposer de me présenter les vôtres pour regarder si elles peuvent s'épanouir, ou plutôt se résoudre une fois plantée au verger.

Un article par épine, et une page qui les indexent et renvoie vers chacune. Et je commence dès que possible, pas la peine d'attendre les bonnes résolutions.

 

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5 octobre 2017

Dans la famille Papon je veux Louise Auriacombe, épouse de Jean

Pierre Auriacombe est né le 11 décembre 1782 à Aurillac, dans les dernières années de ce que l’on appelle l’ancien régime.

Le 3 mai 1809 en la ville d’Aurillac, ce fils d’Antoine et de Catherine Lacombe épouse Françoise Salvage fille de Claude et de défunte Marguerite Tourtoulou.

La lune de miel semble avoir été fructueuse puisque neuf mois plus tard naît Claude, le vendredi 2 février 1810[1] à Aurillac, Rue des frères. Il porte le prénom de son grand-père maternel, quatrième du nom (avec au moins sept autres Claude sur cinq générations de   Salvage en ligne directe). Le parrain doit être son grand-père ou l’un de ses  oncles. Mais ce prénom ne peut être fortuit.

Malheureusement ce premier né décède dès le jeudi suivant, à l’âge de six jours.

Le   temps de la relevée des couches et onze mois plus tard naît le deuxième   enfant du couple qui entre temps a changé de domicile. C’est à Aurillac   toujours mais à la porte du Buis que naît Francoise, le 16 janvier 1811[2]. Ici encore le choix du prénom ne semble pas anodin, Françoise est le prénom de la mère et de l’une de ses sœurs.

D’ailleurs, sans en savoir plus pour l’instant sur le destin de Françoise, sa cadette portera le même prénom. Probablement aussi celui de sa marraine. Françoise donc vient au monde Rue Mandon ce 30 mars 1813[3]. Deux semaines plus tard, le 6 ou 13 avril[4] dans la Maison des héritiers Abel (A Aurillac on désigne les maisons par le nom de leurs propriétaires) dans cette Rue Mandon la nouvelle née rend déjà son dernier soupir.

Anne attendra 13 mois et le 13 mai 1814[5] pour pousser son premier cri, la famille est alors installée Place Mandon.

La famille a encore déménagé et réside rue du Chapitre lorsque, le 7 juillet 1816, elle s’agrandit d’une petite Marie.

Après le Chapitre les Auriacombe ont atterri Rue du Monastère, c’est ici qu’ils accueillent le 20 décembre 1818[6] une seconde Anne.

Le 6 octobre 1820[7], une septième naissance à une septième adresse, c’est place Monthyon qu’un deuxième fils :Philippe, vient au monde.

Françoise   Salvage et Pierre Auriacombe doivent donc veiller sur au moins trois enfants. (Mais en ont peut-être cinq.)

Mais le 7 mars 1821, Marie alors âgée de quatre ans s’éteint.

Le 4 mai 1823[8] la famille est revenue Place Mandon, et Antoine fait son apparition.

Anne quitte ce monde le vendredi 8 octobre 1824[9], au 6 Maison du Sieur Rigot, elle n’a que cinq ans et le deuil vient encore frapper la famille.

19 juin 1826[10], nouveau changement de décor, on retrouve la rue du Buis pour la naissance de Marie   Anne.

Le  3 septembre 1829,[11]   ce qui devait être une réjouissance devient un drame… Françoise   Salvage accouche Rue du Rieux, dans la Maison Demoiselle Lanoix, d’une petite fille probablement morte née, puisqu’il ne lui est pas donné de prénom et qu’elle reste anonyme.

Le 11 mars 1830[12] la famille n’a pas changé de maison, ou y est revenue et c’est encore dans la Maison demoiselle Lanoix que Marie Anne, trois ans s’éclipse définitivement.

Onzième enfant, et benjamine du couple, Louise vient au monde le 11 mars 1833 Place Saint-Géraud.

Deux frères aînés sont là pour l’accueillir, de ses sœurs seules les premières Françoise et Anne pourraient être en vie. Les six autres enfants sont décédés avant leur sixième anniversaire.

Louise a huit ans lorsque décède Philippe, âgé de 21 ans, le 8 novembre 1841[13 dans la Maison Carrier, Rue des Dames.

Le 13 octobre 1847[14], Antoine trouve épouse à Marcenat, Jeanne Bonin lie son destin au sien, elle est la fille d’Antoine Bonin et de Philippe Papon. D’après les actes d’état-civil ses frères Guillaume et Mathieu paraissent proches de leurs cousins germains les enfants de Martin Papon, fils de Guillaume et Marie Arnaud et frère de Philippe. Antoine à Marcenat est instituteur et secrétaire de mairie.

Le 29 septembre 1848 Pierre termine ses jours dans la Maison Carrier Rue des Dames, à Aurillac.

Le 25 janvier 1853 c’est Françoise Salvage qui s’éteint Maison Gascon Rue du Buis.

Louise a 19 ans et n’est pas encore majeure, c’est son frère Antoine qui devient son tuteur ad hoc. Très probablement l’accueille-t-il chez lui. Est-elle pressée de ne plus être une charge pour son frère et sa belle-sœur ? Est-ce l’inverse ? A-t’elle déjà rencontré et échangé des regards avec le cousin germain de sa belle-sœur ? En tout cas le 28 septembre 1853 elle épouse Jean Papon à Marcenat où elle réside temporairement…

Lors de son mariage elle sait signer et a priori aisément. Signe du progrès de l’instruction des filles ou le fait que son frère et tuteur soit instituteur a-t-il joué un rôle ?



[1] Source : Naissance, Recherche, Cantal archives numérisées Collection Départementale 5 Mi 34/1 - 1808-1810 vues 284 et 285

[2] Source : Naissance, Recherche, Cantal archives numérisées Collection Départementale 5 Mi 34/2 - 1811-1813 vue 9

[3] Source : Naissance, Recherche, Cantal archives numérisées Collection Départementale 5 Mi 34/2 - 1811-1813 vue 313

[4] Source : Décès, Recherche, Archives en lignes du Cantal 5Mi 46/3 : 1811-1813

[5] Source : Naissance, Recherche, Cantal archives numérisées Collection Départementale 5 Mi 34/3 - 1814-1816 vue 55

[6] Source : Naissance, Recherche, Cantal archives numérisées Collection Départementale 5 Mi 34/4 - 1817-1819 vue 199.

[7] Source : Naissance, Recherche, Cantal archives numérisées Collection Départementale 5 Mi 34/5 - 1820-1821 vue 76.

[8] Source : Naissance, Recherche, Cantal archives numérisées Collection Départementale 5 Mi 35/1 - 1822-1824.

[9] Source : Décès, Recherche, Archives en lignes du Cantal 5Mi 47/1 : 1821-1824.

[10] Source : Naissance, Recherche, Cantal archives numérisées Collection Départementale 5 Mi 35/2 - 1825-1827 vue 161.

[11] Source : Décès, Recherche, Archives en lignes du Cantal 5Mi 47/3 : 1829-1832.

[12] Source : Décès, Recherche, Archives en lignes du Cantal 5Mi 47/3 : 1829-1832.

[13] Source : Décès, Recherche, Archives en lignes du Cantal 5Mi 48/1 : 1840-1843.

 

[14] 1   Source : Union, Merci à Isabelle Bezin via Geneanet.

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