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Des Branches

25 novembre 2021

V comme Ille-et-Vilaine et Vitrier

Jeanne Dalerac épouse Julien Bernard le 15 avril 1687 à Redon. Ils ont au moins trois enfants Julien né en 1688, Julien, né en 1689 (ce qui ne me laisse pas très optimiste pour son aîné) et Julienne qui est ma sosa.

Pour le département nous sommes en Ille-et-Vilaine que quittera Julienne après avoir épousé Joseph François Brebion (dont le parcours mérite aussi que je l'éclaire pour lever certaines interrogations).

Ce n'est pas la seule branche qui se déploie dans ce département breton. La Pays de Redon est à la croisée des actuelles circonscriptions de la Loire-Atlantique, du Morbihan et de l'Ille et-Vilaine. Pour travailler ou se marier, mes aïeux n'ont pas tenu compte des limites administratives, surtout que pour la plupart, ce n'étaient pas les mêmes.

Pour le V, Julien Bernard père est vitrier, (et pourtant je ne peux pas rester ddevant le poste de télévision) maître-vitrier mentionnent même certains actes. Et la tâche, ardue, qui figure comme envie dans ma liste généalogique est de découvrir mieux son métier et sa carrière. Et plus précisément de savoir s'il a été compagnon ou simplement employeur de jeunes vitriers.

© France 3 Bretagne

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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24 novembre 2021

U comme Seine-Saint-Denis et Urbain

Jean Baptiste Lathière est né à Oradour-sur-Vayres, s'est marié à Saint-Yrieix-la Perche a eu un fils à Lubersac et est mort à Paris.

Ce roulier, conducteur puis cocher demeurait à son décès Rue de Paris à Saint-Denis. Originaire du Limousin, il est donc devenu bien urbain si ce n'est pour son métier, au moins pour sa résidence.

Sa profession a donc toujours été de conduire et comme il a fini sa carrière à Paris, il a du y obtenir une autorisation spéciale pour exercer son activité.

C'est ce dossier qui constitue ma recherche prioritaire pour Jean Baptiste.

Et relire de plus près cet article de la Gazette des ancêtres me permettra de mieux me lancer sur la piste.

 

29 SAINT-DENIS

23 novembre 2021

T comme Essonne et Tribunal de commerce

René Latière est donc devenu ébéniste, dans le recensement de                   Montgeron il est marqué patron il était donc artisan à son compte ou peut-être même avait des employés ou des apprentis. Sur son parcours professionnel il est possible que je trouve des éléments dans les archives du tribunal ou des chambres de commerce. Il a du s'y déclarer quand il est arivé en Seine-et-Oise.

Je peux avoir la même démarche pour le père de son gendre, Guillaume Papon, qui était serrurier puis électricien et s'est établi à Villeneuve-le-Roi. Lui a priori travaillait un temps pour divers patrons, et même passé en banlieue, est resté depuis son départ de Paris dans le Département de la Seine à l'époque.Pour leurs femmes, respectivement Marie léontine Pfeiffer blanchisseuse et Eugénie Becker brodeuse, cela sera peut-être plus compliqué, car il est possible qu'elles travaillassent à la tâche et peut-être pour des particuliers.

 

22 novembre 2021

S comme Creuse et Sulpice

Pour le moment, je ne sais de Sulpice Deschâtres que les informations que me donne l'acte de mariage de son fils Sylvain. Ils sont donc  avec Sylvie Larue les parents de Sylvain Deschâtres et résident à Saint-Sulpice-le-Dunois. Il devient probable de fait que Sulpice doive son nom au Saint patron de son village.

La découverte de ses rensignements m'a fait découvrir l'un des derniers départements qui portent ma liste à 26. Saint-Sulpice-le-Dunois va me faire découvrir les archives de la Creuse, la où je n'ai guère encore creuser...

 

21 novembre 2021

R comme Haute-Vienne et Réhabilitation

Je vous ai déjà parlé des réhabilitations de mariage ici :

http://desbranches.canalblog.com/archives/2015/06/20/32126866.html

Et malheureusement je ne suis pas allé bien plus loin.

Je souhaite donc d'abord reconstituer le foyer de Geoffroy Bary et Jeanne Betoule à Ladignac-le-Long ou à ses alentours. Puis leur ascendance, je ne connais qu'un couple de leurs arrière grands parents en plus de tous leurx grands parents et leur lien commun n'est pas évident, aucun des neuf noms n'est commun.  

Ensuite viendra le temps de la recherche d'éventuelles autres cérémonies de réhabilitation. 

En chasse.

EN AVION AU-DESSU DE

 

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20 novembre 2021

Q comme Val-de-Marne et Quatre-vingt-quatorze

Marie Léontine Pfeiffer est née à Paris, a priori elle est la seule des enfants de Louis Stanislas et de Marie Clara Césarine Osselin à avoir des enfants. Ses deux frères sont décédés enfants et sa soeur aînée, Georgette Clémentine, (mêmes prénoms que sa tante paternelle) est morte peu après son mariage sans que je lui aie trouvé de descendance.

Mariée avec René Latière, ils ont eu leurs premiers enfants à Paris avant de déménager en banlieue, à Montgeron (alors en Seine-et-Oise aujourd'hui en Essonne). Là ils auront leurs quatre derniers enfants et accueilleront  au décès de Louis Stanislas, Clara, la mère de Marie Léontine pour ses dernières années. En 1909, trois ans seulement après sa mère Marie Léontine perd son mari René. Je ne sais à partir de quel moment, elle aussi partagera le foyer d'un ou plusieurs de ses enfants. Elle connaitra nombre de ses petis-enfants et s'éteindra à Villeneuve-Saint-Georges en 1944, sans avoir vu revenir son petit-fils, prisonnier en Allemagne. 

Elle résidait alors à Villeneuve-le-Roi, Rue Bénard. J'ai peut-être une photo de Marie Léontine, mais plus personne pour me confirmer que c'est elle. Alors ? Alors où pourrais-je chercher une photographie certifiée d'elle pour confirmer que c'est bien elle. Où pourrais-je fouiller pour trouver d'autres clichés familiaux qui constituerait un faisceau d'indices suffisamment fort ?

En Essonne, en Val-de-Marne ? Peut-être pour sa carte d'identité... La photo à confirmer aurait été prise en Val-de-Marne (94) potentiellement à Villeneuve-le-Roi (du moins si ma déduction est bonne) dont voici une photo aérienne.

  

Vue aérienne de Villeneuve le Roi IMG 9996

20 novembre 2021

P comme Morbihan et Pape et sa bulle.

Le mardy dixneufiéme jour de fevrier mil six

Cent soixante quatre furent espousés dans l’église

Paroisiale de Saint-Dolay Guillaume Chaussée

Et Yvonne Tual tous deux en premier mariage et

De cette dite paroisse par dispense obtenüe en Cour

De Rome de Nre Saint Pere le Pape Alexandre

Septiéme l’an neufiéme de son pontificat comme au

Long est rapporté en la Bulle faitte sur vélin donné

A Rome à Sainte Marie Macon au jour de décembre

Dernier scellée à sceau de plomb pendant à cordelette

De chanvre , l’enqueste xxx & demande faite pour estre

Dispensés de contracte & solennisés mariage entre eux

Nous xdisantx qu’ils sont parents au tiers et quart degré

De consanguinité comme il est amplement rapporté

& contenu en ladite Bulle, et par la sentence de

Georges Arnaud prêt docteur en théologie vicaire

Gnal et official de Monseigneur lxxxtissime

Et xxxidissime evesque de Nantes commissaire député

A cet effet de sa Sainteté en datte dy huitième dufit

Mois de février an présigné G Arnaud & J Euvillard

Greffier, la bénédiction nuptiale leur fut donné selon la

Coustume de l’église duran le saint sacrifice de la

Messe par moy vicaire dudit Saint Dolay soussigné

Noblet vicaire

 

Tel est l'essai de transcription du mariage de Guillaume Chaussée et Yvonne Tual à SAint-Dolay, Morbihan, le mardi 19 févrie 1664.

Parents au troisième et quatrième degré de consanguinité leur ascendance jusqu'à l'ancêtre commun est mentionnée dans une bulle du Pape Alexandre Sept, scellée à sceau de plomb et pendant à cordelette de chanvre qui leur accorde une dispense pour se marier.

Qui aimerait voir une authentique bulle papale ayant un lointain lien avec lui et trouver quatre générations d'un coup ?

x Chaussée Guillaume Tual Yvonne

L'acte des archives en ligne du Morbihan

20 novembre 2021

O comme Lot et Oulieres

François Oulières a épousé, le 11 nivôse an V, Catherine Labraille à Saux, dans ce qui deviendra le Lot. Elle est originaire de Courbiac qui se situe aujourd'hui en Lot-et-Garonne. Le couple s'installe à SAux et y a au moins trois enfants. Jean, Pierre et Jeanne. Au fil des générations, le patronyme évolue dans les actes, Houlières, Houillères... Quand il y en a.

Effectivement quand Pierre, mon sosa, se marie le trois mars 1832 à Tournon d'Agenais avec Françoise Paganel dans ce qui est devenu le Lot-et-Garonne, l'officier d'état-civil a une formulation que je n'ai trouvé que sur cet acte :

Pierre Ouilleres (une autre graphie) cultivateur âgé de vingt-cinq ans, né à Saux, canton de Moncuq dans le mois de septembre mil hui cent sept ainsi qu'il résulte de sa déclaration et de celles de quatre témoins ci-après nommés qui ont préalablement fait le serment et qui ont en outre déclaré que le dit Ouilleres était si pauvre qu'il ne pouvait se créer des moyens pour subvenir aux frais d'une enquête judiciaires aux fins du présent attendu-- une phrase encore non déchiffrée --  sur la requête de l'Etat-civil ainsi qu'il conste d'un certificat négatif du maire dudit Saulx sous la date du ? janvier dernier.

Donc pour Pierre je n'ai pas d'acte de naissance, ni de certificatde notabilité en dehors de celui juré à la cérémonie, alors que je dispose bien de ceux de Jean son aîné et de Jeanne sa cadette, tous deux à Saux.

Pourquoi n'a t'il pas été enregistré, c'est mon enquête du Lot...

Lot department location map

 

Saux a la particularité d'être à une croisée des départements, effectivement les communes limitrophes du Nord Est Sérignac et Saint-Matré, sur lesquelles je n'ai pas encore trouvé d'ascendance, sont elles aussi du Lot ; quand celles de l'Ouest Masquières et Courbiac sont situées en Lot-et-Garonne et pourvues d'ancètres miens, comme celle du sud Montaigu-de-Quercy, tarn-et-garonnaise.

A ce jour Saux est une commune déléguée de la commune nouvelle de Porte-du-Quercy créée le 1er janvier 2019 de sa fusion avec Fargues, Le Boulvé et Saint-Matré

16 novembre 2021

N comme Loire-Atlantique et Notaire

Ou pas

Le 19 avril 1635 Yves le fils de Georges Bocquel et Magdelaine Bocquel est baptisé à Fégréac. Cet acte est conservé aux archives départementales de Loire-Atlantique dans le registre des baptêmes, mariages et sépultures de l'Eglise Saint Méréal de Fégréac allant de 1619 à 1637.

Georges et Magdelaine sont mes aïeux, comme Yves et trois de ses frères ainsi qu'une de ses soeurs. La particularité de cet acte est qu'il est indiqué Mr Georges Bocquel Nr et que cela pourrait bien être l'abréviation de Maître Georges Bocquel Notaire.

Ce qui signifie donc que je devrais trouver d'autres archives sur Georges pour m'assurer que Jacques et Perrine Lejeune sont bien ses parents et savoir comment il serait devenu notaire ou notable. La notabilité au vu des signatures avec ruches qui figurent sous les actes le concernant c'est sûr au moins tout comme Maistre ou Honorable homme qui précède parfois son prénom.

Reste à savoir son métier ou ses fonctions véritables et découvrir s'il n'a pas laissé bien plus de traces que je n'en ai trouvé.

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15 novembre 2021

M comme Pas-de-Calais et Matronne

Marie Anne Brisacques nous emmène dans le Pas-de-Calais.

C’est  Clara Osselin qui fut la première (et la seule ancêtre que je connaisse) à quitter la région.

En projet connexe, je souhaite dans la mesure du possible trouver les raisons ou les liens qui ont fait migrer mes aïeux. Victoire Gline, la mère de Clara, a gardé des enfants placés de l’assistance de Paris. Premier contact avec la ville lumière. Du côté de son père, ses oncles ont gagné la capitale. L’ont-ils accueillie quand elle est descendue ? Lui ont-ils trouvé un premier travail pour qu’elle arrive ?

Point à fouiller, comme la période la plus restreinte que possible sur la migration.

Mais revenons à Marie-Anne Brisacques. Elle était sage-femme, on disait parfois matronne en son temps, elle a probablement mis au monde certains de ses petits-enfants. Une étude des actes de la commune me permettra peut-être de noter certaines des naissances qu’elle a accompagnées et surtout j’aimerais dénicher, s’il en reste une trace, le serment qu’elle a du passer devant le curé.

 

Pas-de-Calais-Position

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