Des Branches

Jean Florat et jeanne Auzeri ont élevé leurs enfants, parmi lesquels Françoise, et ceux que Jean a eu avec Jeanne Sourzat à Marchastel  à la fin du 18è siècle.

Jean Papon et Louise Auriacombe ont vécu aussi un petit temps à Marchastel, celui que naisse Pierre Martin leur deuxième fils.

Serait-ce le lieu où Jean s'est installé comme Maréchal Ferrand ?

Certaines cartes postales ne représentent pas des lieux, ni des traditions, ni des oeuvres d'art mais des messages particuliers. Comme celui de la bonne année.

Et les cartes de voeux du siècle dernier peuvent paraître très inscrites dans leur époque.

rete pour certaines à savoir pour moi si elles étaient juste dans la collection de mon grand-père ou ont été envoyée par ou à des membres de ma famille.

Bonne année 1912

C'est parfois des coutumes, du folklore ou des tradition qui sont le sujet des cartes postales. Comme ici un costume du pays nantais où le tissu recouvrant la chevelure des femmes est mis en avant. La coiffe bretonne est différente selon les pays. Et vous voyez donc une coiffe nantaise, arborée par une jeune fille de Plessé (aujourd'hui en Loire-Atlantique).

Dans la famille, hors cartes postales, nous avons des photos de mes trisaïeules, et de ma bisaïeule probalement, coiffées.

Cr les cartes postales sont des illustrations... Elle montre les images des lieux, des villes et nombres d'entre elles sont nommées du nom de la ville suivi de cet adjectif, illustré, illustrée. Et parfois cet épithète suit le nom du Département, comme en l'espèce : le Tarn-et-Garonne illustré.

Jeanne Mathieu et Pierre Mouraby se sont épousés le 10 floréal an VIII dans cette commune. Etait-ce déjà cette mairie ?

Pourtant ni l'un ni l'autre ne sont de Bourg-de-Visa, chef lieu de leur canton elle est de Lacour, lui de Touffailles. Seulement la loi du 13 fructidor an VI (30 août 1798) stipulait que les mariages devait être célébrés au chef-lieu de canton, le décadi (10^e jour de la décade républicaine). Cette loi ne fut appliquée que du 1^er vendémiaire an VII (22 septembre 1798) au 28 pluviôse an VIII (17 février 1800)? (citation de Geneawiki). Ils se sont mariés dans cette période, donc un décadi dans leur chef-lieu, puis sont retournés vivre à Touffailes, Tarn-et-Garonne.

Le  21 janvier et le 11 février 1810, à soixante-dix-ans chacun, Catherine Lacombe et son époux Antoine Auriacombe s'éteignent à l'hospice du faubourg des frères à Aurillac.

Une carte postale permet d'avoir aussi une image que peut-être nos ancêtres ont vu. Sur des vues de ville, cela a probablement beaucoup évolué. Sur des photographies de rue dans des grandes villes, une ambiance ou une perspective peut avoir été conservée.

Mais pour certains paysages ou certains monuments... Comme les églises ou les hospices, nous nous rapprochons d'une communauté de vue avec nos prédécesseurs.

Point de détail, il s'agit de s'assurer de la bonne localisation du bâtiment.

Ici par exemple j'ai la vue de la chapelle d'un hôpital hospice à Aurillac, mais je ne sais pas s'il existait en 1810 et s'il se situait bien au faubourg des frères.

A suivre...

Sonorités douces, ou inattendues les Giou-de-Mamoutones et Giou-de-Mamouton de ma généalogie sont des Auriacombe, Lacombe, Salvage, Salarnier, Mazic, Courbebaisse et Combelles. Vers 1810 jusqu'en 1563 ou environ...

Il se psalmodie que Jupiter était invoqué et que Giou serait une déformation de Jovis...

J'aime ce ton de bleu sur les cartes postales, dont je ne sais d'où il vient ni ce qu'il m'évoque mais qui me plaît.

Le bleu affiché était il aussi prononcé losrque Pierre Lacôte le cantalou épousa Charlotte Guillard la bretonne, fille de MArguerite Fourage et de François fils de Guillaume. C'était en 29, 1729 et Fay qui n'était pas encore de Bretagne n'était pas encore en Pays de Loire .

Souvent sur les cartes postales s'étendent les églises de nos villes et villages. Et en généalogie, ce sont peut-être parmi les vues les plus symboliques. Car il est fort probable que cette église ait déjà été là pour le baptàme, lors du mariage ou au passage de l'enterrement d'un de nos aïeux.

Les fonds baptismaux de cette église de la Chapelle-Basse-Mer ont ils bien accueillis sept des enfants de René Brébion et Françoise Jehan, couple qui a élu dernier domicile dans la commune de Loire-Atlantique ?

Une petite carte postale, pour vous indiquer que cela sera mon thème pour ce challenge AZ que je prends en cours.

Voici le D, A, B et C seront dans les dimanches et j'essaierai d'être à l'heure sur les autres envois.

Voici donc une carte depuis Dun-sur-Auron, dans le Cher représentant la colonie familiale. C'est dans cette institution que Joséphine Barry dite Pétronille a fini ses jours... Elle s'est envolée, rue de l'Hirondelle, le 5 décembre 1901.

Son esprit aussi s'était un peu envolé, et l'a laissée tranquille. C'est ainsi qu'elle est venue dans ce lieu où étaient recueillies certains femmes de l'Hôpital SAinte-Anne, surchargé. Elle faisait donc partie de celles qui, sans penser pouvoir les ramener à la raison, n'étaient pas jugées déraisonnables. Elles pouvaient vivre dans un milieu ouvert, et sortir, parler, même si elles ne se rappelaient pas toujours ce qu'elles disaient.

Intéressante expérience qui a laissé son souvenir sur quelques cartes.

Pour en savoir un peu plus ;

DERRIEN Marie, « Soigner les incurables ? L’expérience des colonies familiales et la réforme de l’assistance aux aliénés en France (1892-1939) », Revue d’histoire moderne & contemporaine, 2020/1 (n° 67-1), p. 24-43. DOI : 10.3917/rhmc.671.0024. URL : https://www.cairn.info/revue-d-histoire-moderne-et-contemporaine-2020-1-page-24.htm

RIGONDET Juliette, "Un village pour aliénés tranquilles" chez Fayard. EAN : 9782213702100