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Des Branches
16 novembre 2021

N comme Loire-Atlantique et Notaire

Ou pas

Le 19 avril 1635 Yves le fils de Georges Bocquel et Magdelaine Bocquel est baptisé à Fégréac. Cet acte est conservé aux archives départementales de Loire-Atlantique dans le registre des baptêmes, mariages et sépultures de l'Eglise Saint Méréal de Fégréac allant de 1619 à 1637.

Georges et Magdelaine sont mes aïeux, comme Yves et trois de ses frères ainsi qu'une de ses soeurs. La particularité de cet acte est qu'il est indiqué Mr Georges Bocquel Nr et que cela pourrait bien être l'abréviation de Maître Georges Bocquel Notaire.

Ce qui signifie donc que je devrais trouver d'autres archives sur Georges pour m'assurer que Jacques et Perrine Lejeune sont bien ses parents et savoir comment il serait devenu notaire ou notable. La notabilité au vu des signatures avec ruches qui figurent sous les actes le concernant c'est sûr au moins tout comme Maistre ou Honorable homme qui précède parfois son prénom.

Reste à savoir son métier ou ses fonctions véritables et découvrir s'il n'a pas laissé bien plus de traces que je n'en ai trouvé.

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15 novembre 2021

M comme Pas-de-Calais et Matronne

Marie Anne Brisacques nous emmène dans le Pas-de-Calais.

C’est  Clara Osselin qui fut la première (et la seule ancêtre que je connaisse) à quitter la région.

En projet connexe, je souhaite dans la mesure du possible trouver les raisons ou les liens qui ont fait migrer mes aïeux. Victoire Gline, la mère de Clara, a gardé des enfants placés de l’assistance de Paris. Premier contact avec la ville lumière. Du côté de son père, ses oncles ont gagné la capitale. L’ont-ils accueillie quand elle est descendue ? Lui ont-ils trouvé un premier travail pour qu’elle arrive ?

Point à fouiller, comme la période la plus restreinte que possible sur la migration.

Mais revenons à Marie-Anne Brisacques. Elle était sage-femme, on disait parfois matronne en son temps, elle a probablement mis au monde certains de ses petits-enfants. Une étude des actes de la commune me permettra peut-être de noter certaines des naissances qu’elle a accompagnées et surtout j’aimerais dénicher, s’il en reste une trace, le serment qu’elle a du passer devant le curé.

 

Pas-de-Calais-Position

13 novembre 2021

L comme Cantal et Loubeyre

Loubeyre Henry fait partie des cantalous de mon arbre dont je dois consolider les branches.

Je n'ai pas son acte de naissance et je cherche à trouver des données me permettant de rendre plus vivante son expérience de meunier dans le moulin d'Escorolles, à Cheylade.

Je parle ici du Cantal mais d'autres départements attendent que je fouille leurs moulins, comme la Haute-Vienne par exemple.

Blason département fr Cantal

12 novembre 2021

K comme Bas-Rhin et Kächler

Joseph Bertrand est le père de Marie Jeanne Anne, notre insurgée du dossier 9516.

Marie Jeanne Anne est la compagne puis l'épouse, au civil, de Michel Pfeiffer.

N'ayant pas retrouvé leur mariage, l'acte civil ayant probablement brûlé durant la commune et la cérémonie religieuse n'ayant pas eu lieu, du moins dans une église catholique, et l'acte de décès de Michel ne mentionnant pas ses parents, je ne les connais pas.

Les seules indications en ma possession se limitent à la date approximative de 1789 pour sa naissance, potentiellement dans la commune alsacienne de Gundershoffen.

Bonne nouvelle, il existe des Pfeiffer à Gundershoffen à l'époque, et même des Michel ou des Jean Michel. Mais comment être sûr de trouver le ou les bons. En sachant que les actes sont en latin, du moins dans les registres catholiques, qu'il existe des registres protestants, et que je ne suis pas complètement sûr de la ville.

Les enfants de Michel et Marie ont été baptisés, mais je ne dispose que d'extraits sans le nom des parrains et marraines. Je leur connais six enfants. Pour l'aînée ils ne sont pas mariés. Pour les deux suivantes oui, mais une fois il est précisé que ce mariage fut civil. Mais en rédigeant ce billet je me dis qu'ils n'ont probablement pas mentionné un éventuel mariage protestant le cas écchéant ; cela reste néanmoins peu probable, ils auraient probablement convolé dans la même confession que celle dans laquelle ils ont baptisé leurs enfants. Louis Stanislas, mon aïeul parmi leur descendance ne paraissait pas religieux puisque lui aussi a attendu d'être père, deux fois, avant de passer devant Monsieur le Maire. Pour lui et son frère je n'ai que des reconstitutions d'acte d'état civil. Quant à la sixième je n'ai aucune indication de sa naissance, je ne la connais que par le dossier militaire de sa mère.

Les actes citant Michel le précisent tour à tour rentier, poëllier et journalier. J'espère retrouver la trace de sa rente, mais il va me falloir installer un chantier que je ne sais encore par où débuter. Aujourd'hui, l'étoile qui me paraît la plus brillante pour me guider sur ses pas semble être celle de kächler. Michel est dit poëllier, fabricant de poëlle. Ce métier est particulier et semble très implanté en Alsace (Il fait partie des professions traduites en alsacien dans le livre retrouver ses ancêtres en Alsace de Doris Kasser-Freytag) où il se dit Kächler. 

Je pense donc que je vais rechercher les poëlliers de Gundershoffen et voir ceux qui auraient émigrer, surtout si l'un de leurs fils se prénomme Michael.

 

Blank Map of Bas-Rhin Department, France, with Communes

11 novembre 2021

J comme Calvados et Joseph Bertrand

Joseph Bertrand est calvadocien, du moins ses parents le sont.

Jean Bertrand et Jeanne Gabrié ont trois fils. Deux, François Auguste et Jean Jacques sont morts à Saint-Pierre-sur-Dives. Jean Jacques y est né. 

Joseph lui s'est marié à Paris, avec Marie Anne Deschatres, je n'ai pas trouvé trace encore de sa naissance, ni de celle de son père. Est- il né à Saint-Pierre, dans le Calvados ou à Paris ? Ce qui situerait la première migration vers Paris une génération plus tôt.

Joseph est probablement mort à Paris (date incertaine, à vérifier via l'acte) et, marié dans la capitale, il y a eu son premier enfant Pierre décédé en bas âge à Saint-Pierre-sur-Dives. Les cinq enfants suivants du couple sont nés dans ce village avant que la famille du moins les parents et Marie Jeanne Anne, Charlemagne et Jules François ne retournent en Ile-de-France. Je ne sais ce que sont devenus Delphine Joséphine et Charles Arsène, mais je persévère dans mes recherches.

Joseph était poulailler et devait travailler dans les halles de Saint-Pierre-sur-Dives et faire des affaires avec Paris. L'objectif calvadocien est donc de retrouver la trace de Joseph et de son père... qui me fera peut-être sortir du village voire du département ; mais aussi d'essayer de retracer le parcours professionnel de Joseph et de ses frères.

Département du Calvados - 1840

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11 novembre 2021

I comme Hauts-de-Seine et Identité des étrangers.

Les étrangers venant en France avait une carte d'identité spécifique et potentiellement mieux conservée que les françaises dans les archives car ils étaient surveillés.

Mon pays de cocagne dans ce cas là serait de trouver une nouvelle photo de mon arrière grand-père si je déniche son dossier dans un local d'archives. Avec peut-être une piste à suivre dans le fonds de Moscou, ces dossiers des archives françaises de la sûreté récupérés par les soviétiques aux nazis qui les avaient dérobés. 

Revenus en France entre 1994 et 2001, leur inventaire est maintenant en ligne et je ne sais si je c'est bien lui que je trouverai, mais un homonyme au moins apparaît dans les fichiers.

https://www.siv.archives-nationales.culture.gouv.fr/siv/cms/content/helpGuide.action?uuid=a0068444-744e-4365-aedb-8d5113c6802c

Pourquoi les Hauts-de-Seine me direz-vous. parce qu'après un passage dans le Lot-et-Garonne, c'est dans une commune de l'ancienne Seine-et-Oise qu'il s'est installé et que j'espère découvrir des traces de ses employeurs, et des déclarations qu'il a du faire, à l'instar de celles que j'ai pu voir de son premier département de résidence. C'est aussi aux archives des Hauts-de-Seine que j'espère trouver un double de sa carte d'identité d'étranger. Giuseppe est mort italien avant la seconde guerre, ce n'est qu'après celle-ci que sa famille a demandé la naturalisation.

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11 novembre 2021

H comme Côtes d'Armor et hospitalisation

Anne Marie Becker, comme Joséphine Barry est passé par l'Hopital de la Pitié Salpétrière, à Paris.

Comme elle les médecins l'ont orienté vers une structure spécialisée dans les maladies mentales hors de la capitale. Mais ce sont les ôtes-du-Nord qui l'ont accueillie. Elle a fini ses jours dans la fondation Bon Sauveur de Bégard.

Là aussi un billet mettra en lumière ce que son dossier reçu de Bretagne me fera connaître de ce moment de sa vie.

5- Le Bon Sauveur

10 novembre 2021

G comme Tarn-et-Garonne et déclaration de grossesse

Mademoiselle Gensac a eu sept enfants. Ce n'est qu'une semaine après la naissance du quatrième qu'elle est devenue Mme Gloris.

Pourtant Antoinette déclarait toujours que Guillaume était le père. Elle a même avant l'une des naissances fait cette déclaration de grossesse auprès d'un juge de Montaigu-de-Quercy. 

Dans mes brouillons j'ai l'histoire d'Antoinette, de Guillaume et des curés qui ont fini par réussir à les marier. Je vous la délivrerai, mais vous avez deviné que je rêve de trouver la déclaration d'Antoinette au tribunal et de la partager avec vous.

A bientôt donc.

 

 

 

 

7 novembre 2021

F comme Maine-et-Loire et Forêt de Bellepoule

Paradoxalement, en tant que généalogistes, nous arrivons dans un lieu par ceux qui en partent.

Le mariage de Renée Ciron avec Michel Hérisson le 12 juillet 1611 a emmené mon arbre pour la première fois dans le département du Maine-et-Loire qui ne l'était pas encore.

Les parents de Renée sont Françoise Boulmier et Israël CIron. Celui-ci d'après des informations glanées sur Geneanet et encore à vérifier aurait été alternativement et pas forcément dans l'ordre  : Marchand, maître boucher, sergent garde de la forêt de Bellepoule.

Mon objectif dans le département qui porte le numéro 49 est donc de compléter l'ascendance de Renée et Michel, et plus particulièrement de reconstituer le parcours professionnel et a priori très ecclectique d'Israël.

 

 

 

Carte de l'ancienne province d'Anjou

1 novembre 2021

E comme Charente et ébéniste

Revenons aux périples de René Latière.

En 1872 il est recensé à Montbron en Charente. Il a 19 ans et est indiqué comme ouvrier menuisier. Il est logé chez Henri Mandon menuisier, avec Jean Forestier, comme lui ouvrier menuisier âgé de 19 ans.

Henri Mandon est né à Oradour-sur-Vayres, comme Jean Forestier et le père de René. Voici donc le lien entre le maître et ses apprentis.

Le réseau communal d'Oradour-sur-Vayres, à moins que plus restreint encore ce ne soit un réseau familial, (recherches à faire sur les liens entre Henri Mandon et mon arbre) a joué pour cette migration de René. Un de mes rêves de généalogiste serait de trouver un contrat d'apprentissage pour l'un de mes aïeux et de me faire une idée de la façon dont il a appris son métier.

René deviendra bien menuisier puis ébéniste. Dans la famille restent des rabots dont nous ne savons s'ils viennent de lui...

 

Strug katnik 03

Modèle de feuilleret rabot pour faire des feuillures

 

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