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Des Branches

28 novembre 2020

Y était-il ?

Y était-il ? 

Autour de la Commune de Paris comment Louis et sa famille ont traversé cette épisode extraordinaire et terrifiant de la Commune de Paris.

Ces deux mois où Paris a voulu s'autogérer rejetant le premier gouvernement de la IIIe République. IIIe République dont les premières élections ont fait ressortir une chambre avec une majorité conservatrice, de la même façon. Les Parisiens ont eu peur d'une confiscation comme en 1830 et 1848.

La Commune de Paris, qui n'a duré que deux mois, a été terriblement réprimé par les "Versaillais" se terminant par une semaine sanglante qui porte bien son nom.

Cette période où les incendies ont ravagé les documents d'Etat-civil. Louis Stanislas a dû faire reconstituer son acte de naissance, l'acte de décès de son père...

Quels ont été ses sentiments, ceux de sa femme, de ses filles dans cette période mouvementée. Ont-ils été partisans des communards, sont-ils restés à l'écart, y étaient-ils opposés ? Comment ont-ils vécu la fin tragique de cette aventure. Qu'en ont-ils gardés comme souvenirs jusqu'à la fin de leurs jours ?

Ont-ils chanté le Temps des Cerises et qu'est-ce que cela leur a évoqué ?

 

Le temps des cerises (mélodie en Do)

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27 novembre 2020

Xavier, Georges et Joséphine

Xavier Eugène, Georges Louis et Joséphine Caroline Camille sont les neveux et nièce de Louis, les enfants de son frère Alfred et de Caroline Schmutz.

Georges Louis (nommé comme Georgette et Louis, y a t'il un lien familial plus poussé que celui-ci ?) est né le 21 avril 1866, tout comme Xavier Eugène (seul Xavier de notre arbre, Eugène revient plusieurs fois dans cette branche, mais c'est aussi un prénom très à la mode de cette période). Les deux jumeaux vivront donc et se marieront, mais je ne leur ai pas trouvé encore de descendance.

Joséphine Caroline Camille est née quatre ans plus tard le 16 juillet 1870.

Je ne peux pas retracer leur enfance, ils sont orphelins de père à 14 ans pour les jumeaux, 10 ans pour la benjamine.

Louis a déclaré le décès de son frère, les deux foyers ont-ils été toujours été proches, Louis s'est-il plus investi au décès de son frère, y a-t-il eu conseil de famille ?

En tout cas, Louis a été témoin aux trois mariages, du moins au premier de chacun. En effet, Xavier a convolé une seconde fois sans que son oncle ne signe le registre d'état-civil.

Le premier à fonder un foyer fut Xavier avec Françoise Chausseret le 22 août 1891. Louis, Georges et Jules Bertrand le grand-oncle sont témoins.

Georges, lui, épouse Eugénie Céleste Bouvron le 20 octobre 1894. Louis est le seul témoin que je connaisse à cette cérémonie.

Joséphine sera la dernière à s'unir avec François Lavoix le 7 décembre 1895. Outre Louis, Georges est aussi témoin de ce mariage.

Joséphine est la seule à qui je connaisse un enfant Georges François (pour son frère et son mari ?) né le 19 mars 1896 mais malheureusement décédé en 1904 à huit ans.

La même année 1896 François Chausseret et Xavier divorce. Ce dernier se remariera le 16 janvier 1900 avec Reine Marie Louise Surjous.

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Mairie du XIIe arrondissement

26 novembre 2020

Wood

Tourneur en poterie ou potier, la majorité de sa carrière, Louis a peut-être été aussi tourneur sur bois. C'est le métier inscrit dans les registres de l'hôpital Saint-Antoine à la naissance de Louis Eugène.

A t-il vraiment exercé les deux métiers, qui nécessitent de la dextérité ? Je n'ai vu que sur le précédent acte ce métier, sur d'autres il est siplement marqué tourneur, qui normalement est le terme pour tourneur sur bois. Mais le scribe a t'il rajouté de lui même sur bois en entendant tourneur ? A t'il confondu ? Louis a t'il bien eu les deux métiers, passant de l'un à l'autre comme avec ses prénoms ? Bien que j'en découvre de plus en plus sur la vie de la famille Pfeiffer, tant de questions restent en suspens.

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[Le tourneur] par Amman, Jost, 1539-1591
Bibliothèque municipale de Lyon (A16AMM000316)

Maintenant ce métier de tourneur sur bois expliquerait aussi la rencontre facile d'autres artisans sur bois comme les menuisiers et ébénistes.

Pour aller plus loin Les métiers et corporations de la ville de Paris : XIVe-XVIIIe siècles. Orfèvrerie, sculpture, mercerie, ouvriers en métaux, bâtiment et ameublement / par René de Lespinasse,... Lespinasse, René de (1843-1922). Auteur du texte

Source : gallica.bnf.fr

 

 

25 novembre 2020

Visa ou signature

Je n'ai pas de photo de Louis, mais particulièrement présent sur les actes familiaux, il a laissé une collection de signatures dans les registres parisiens.

Il a déclaré ou été témoin des actes suivants, au moins, actes qu'il a visés :

La naissance de Georgette Clémentine

La naissance de Marie Léontine

Son mariage avec Marie Clara Césarine

La naissance d'Alfred Louis

Le décès de sa mère Marie Jeanne Anne

Le mariage de Georgette Clémentine

Le mariage de Marie Léontine

Le décès de son frère Alfred Louis

La déclaration de naissance sans vie de la deuxième enfant de Marie Léontine

le décès de son premier petit fils Auguste

La naissance du deuxième petit-fils appelé Auguste

Le mariage de son neveu Xavier Eugène

Le mariage de son neveu Georges Louis

Le mariage de sa nièce Joséphine Caroline Camille

 

Voici donc ma galerie des autographes de Louis Stanislas Pfeiffer

En date du 2 avril 1860

Pfeiffer Louis Stanislas signature 1860

En date du 24 mars 1862

Pfeiffer Louis Stanislas signature 1862

 

En date du 30 octobre 1865

Pfeiffer Louis Stanislas signature 1865

 En date du 27 décembre 1866

Pfeiffer Louis Stanislas signature 1866

 

En date du 10 janvier 1881

Pfeiffer Louis Stanislas signature 1881

 

En date du 22 août 1891

Pfeiffer Louis Stanislas signature 1891

En date du 20 octobre 1894

Pfeiffer Louis Stanislas signature 1894

 En date du 7 décembre 1895

Pfeiffer Louis Stanislas signature 1895

 

 

 

24 novembre 2020

Urne

Louis a t'il voté ?

C'est possible, mais aujourd'hui, sur les listes électorales que j'ai pu consulter, je ne l'ai pas vu apparaître. Clara, malheureusement elle ne pouvait voter. Quel pouvait être leur souhait de gouvernement ? Eux qui en ont vu tant de régimes différents passer. 

Lorsque louis Stanislas naît c'est sous le régime de la Monarchie de Juillet, le vote est censitaire, son père devait payer un impôt direct de 200 francs pour voter (ou 100 francs pour des cas particuliers).

En 1848 par décret du 5 mars, le suffrage universel masculin est adopté. Louis a 16 ans, il pourra être jugé, mais ne peut pas encore voter, il doit avoir 21 ans et jouir de ses droits civils et politiques (l'épisode de juin 1848 les lui aura-t-il coûtés pour l'avenir ?)

L'Empire n'abolit pas le droit de vote puisqu'il est friand de plébiscites et que les chambres sont à élire.

Lorsque la IIIe République est proclamée le 4 septembre 1870 elle met fin aux régimes impériaux et monarchiques en France. Louis n'étant pas militaire, il ne sera pas concerné par la loi du 27 juillet 1872 qui prive les membres de l'armée du droit de vote et en fait la grande muette.

 

La_France_politique_en_1876_[

 

Les élections de 1876 contrairement à celles de 1830, 1848 et 1872 donnent une majorité de sièges aux républicains par rapport aux bonapartistes et royalistes.

Sources : vie publique.fr

Gallica.bnf.fr

 

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23 novembre 2020

Terre et son tour

Tourneur en poterie, mouleur, tourneur en terre, potier en terre, la plupart du temps Louis Stanislas est désigné comme travaillant la terre en potier.

Sa mère était crémière ou laitière, fille de volailler, sa femme fut journalière, couturière, marchande de quatre saisons, ses filles se feront blanchisseuses. Du côté des hommes, mais aussi de ses cousines ou nièce, ce sont les métiers d'art qui sont le plus souvent pratiqués, et qui ont un impact a priori sur les mariages. Georgette Clémentine et Marie Léontine convolent avec des ébénistes ou menuisiers, comme Joséphine Caroline Camille. Une des cousines est bijoutière, épouse un tourneur sur bois, quand une autre s'unie avec un typographe.

Le potier dit l'encyclopédie méthodique des arts et métiers mécaniques (Tome 6) par Jacques Lacombe, est l'artisan qui fait et vend des ouvrages de poterie en terre cuite. Est-ce donc pour des poteries qu'il fut marchand ?

L'art_du_potier_de_terre_[

Glaise et argile font partie des matériaux que Louis Satanislas a dû le plus utiliser. Avait-il une roue, ou juste un tour, où était le four qu'il utilisait, dans un atelier commun, chez un patron, avec ses oncles ? Travaillait-il pour des objets de décoration ou de la vie quotidienne, pour d'autres professionnels ?

Il devait vernir ou plomber ses pièces, quelle technique préférait-il ? Utilisait-il la mine de plomb , savait-il émailler ? J'avoue que j'aimerais voir une des pièces qu'il a créée ?

Sources :

Gallica.bnf.fr Encyclopédie méthodique. Arts et métiers mécaniques. Tome 6 / , [par Jacques Lacombe] Lacombe, Jacques (1724-1811). 

 

21 novembre 2020

Stanislas

Stanislas est le deuxième prénom de Louis. Il ne l'a probablement utilisé que lors des démarches d'état-civil. Mais comme il fait partie de son identité, il est toujours attaché à lui dans mes dossiers. Et parce que ce prénom est peu fréquent, et qu'il me plaît bien, voyez à quoi cela tient... C'est en partie lui qui m'attache à Louis, que j'appelle Louis Stanislas, en me disant que ce deuxième prénom annonce une découverte. Que je n'ai pas encore faite... Quoique, cette découverte que j'attendais se trouve peut être dans les dossiers du SHD sur son jugement et celui de sa mère, suite aux journées d'insurrection de juin 1848. Ces documents qui me diront peut-être pourquoi il aurait été surnommé Lefebvre.

Mais Stanislas, déjà cela simplifie les recherches... Parce que Louis Stanislas Pfeiffer, il y en a moins que par exemple des Joseph Bertrand son grand-père (Ce n'est pas la Gazette des ancêtres qui me contredira...).

Stanislas est un nom d'origine slave du verbe stani être ou rester debout et du substantif slava gloire. Rester debout dans la gloire...

 

Stanislas

Sources : 

Prénoms et origines de Florence LE BRAS Marabout 2004

Dictionnaire etymologique des noms de familles Marie-Thérèse Morlet. Perrin 1991

20 novembre 2020

Reuilly, sa rue et les autres

Louis est mon parisien. Né à Paris, décédé à Paris, je ne lui connais que des adresses parisiennes mais quelques-unes... Au moins 12 adresses, suivait-il le travail, cherchait-il le logement moins cher, plus grand ? Cela va être une de mes pistes de recherches pour le pister lui et Clara dans ce Paris du XIXème et du tout début du XXème siècle.

Petit tour dela capitale, un peu comme il y a trois ans.

A sa naissance en 1831 ses parents sont a priori domiciliés au 14 chemin des couronnes,

Le 22 décembre 1834, à la naissance de son cadet, ses parents vivaient toujours à Paris-VIIIème ancien, j'en déduis que lui aussi... (néanmoins ces deux lieux sont à confirmer)

En juin 1848 Louis et sa mère résident au 3 de la rue des Amandiers, aujourd'hui dans le XXe arrondissement de Paris. 

Je ne sais ni où ni quand il s'est mis en ménage avec mon aïeule, Marie Clara Césarine Osselin dite Clara, mais probablement à Paris.

Leurs premiers lieux de vie communs sont dans le XVe arrondissement, le domicile le plus à l'ouest que je connaisse à Louis.

Leurs deux premières filles sont nées alors qu'ils vivaient Rue de Grenelle, N°13 ils y sont au moins du 1er avril 1860 au 22 mars 1862.

Probablement avec la mère de Louis, puisqu'à leur mariage en 1863 ils partagent le même domicile dans la Rue Letellier Prolongée.

La famille déménage ensuite vers le XIe arrondissement où se passera a priori l'existence de Louis Eugène, né le 16 janvier 1864 Au 70 de la Rue Sedaine et décédé le 22 septembre au 6 de la rue Popincourt. Quittent-ils l'arrondissement pour fuir ce mauvais souvenir ?

Nous sommes à la période où la famille bouge le plus, car dès le 27 octobre 1865 ils ont une autre adresse. Le XXe arrondissement sera un temps leur lieu de vie. D'abord un retour à la Rue des Amandiers pour Louis, mais de l'autre côté de la Rue au n° 6.

En décembre 1866, la famille est au 9 de la Rue Désirée quand Marie Jeanne Anne Bertrand décède au 45 Rue des Hautes Pignoles. Le 20 janvier 1869 la vie de leur cadet se termine au 1er de l'Impasse Sainte-Catherine.

 

Entre le décès de leur benjamin Alfred et le mariage de leur aînée Georgette, je ne sais pas où vit la famille, mais leurs dernières adresses parisiennes sont dans le XIIe arrondissement.

En avril 1878 je les retrouve au n°204 de la Rue du Faubourg Saint-Antoine, ils y restent au moins 38 mois Ils y sont encore le 8 juin 1881.

En janvier 1883, ils habitent au n°1 de la Rue de Reuilly, au moins jusqu'à décembre 1895 ce qui fait presque 12 ans à la même adresse.

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Le dernier domicile de Louis Stanislas à Paris sera encore Rue de Reuilly mais au n°10. C'est là qu'il décède le 1er octobre 1902, il aura aussi passé l'an 1900 et vu le début du XXe siècle.

Sa dernière demeure doit être au Père Lachaise, dans la fosse commune.

Clara qui lui survit restera peut-être un peu à Paris mais c'est à Montgeron dans l'Essonne chez sa fille que seront ses prochaines adresses.

 

 *(Les arrondissements de Paris ont changé en 1860, passant de 12 à 20)
 

 

19 novembre 2020

Quatre saisons

Marie Clara Césarine Osselin est née le 28 novembre 1838 de Louis Mathias Boniface et de Marie Victorine Lucie Constantine Gline. Elle est originaire du Pas-de-Calais, de la petite commune de Saint-Denoeux.

Elle est la dernière d'une fratrie de sept, j'ai déjà abordé sa vie .

Les dénombrements de Saint-Denoeux où sont nés tous les enfants permettent d'avoir une idée des prénoms utilisés pour chacun parmi la liste qui leur a été attribuée. Je n'ai pour les six premiers que des informations provenant du Pas-de-Calais.

Le frère aîné est Louis Joseph Barthélémy, appelé Louis (né le 13/05/1821), uni avec HANQUEZ Marie Françoise Victoire, il est décédé le 25/01/1891 à Auchy-lès-Hesdin. 

Nicola Sylvain n'aura vécu que trois ans, du 22 juillet 1823 au 28 novembre 1826.

Marie Victoire Félicie, dite Félicie, est née le 27/03/1826 elle va se marier à Marles-sur-Canche le 01/05/1849 et y vivre avec COCU Eloi Jacques Nicolas, jusqu'à son décès Rue des Fontaines à l'âge de 37 ans le 12 décembre 1863.

Marie-Louise vint au monde le 30/08/1828, mariée une première fois le 04/02/1852 à Humbert (62) avec VERGER Pierre Antoine Nicolas, elle convolera une seconde fois le 05/12/1881 à Beaumerie-Saint-Martin (62) avec MARTEL François Auguste Wulphy. C'est dans cette dernière commune qu'elle s'éteindra le 16/10/1899 à environ 71 ans. 

Victoire Mathilde Clémence née le 13/03/1833 vivra 12 mois et une semaine, elle décède le 20/03/1834. 

Marie Adeline Octavie dite Octavie naît le 19/01/1836. D'abord prénommée Marie à son premier recensement à 4 mois, elle sera ensuite appelée Octavie. Elle épouse le 03/02/1857 à Saint-Denoeux VALLOIS François Joseph Dolle et quitte ce monde le 04/10/1915 à Lespinoy (62) à l'âge de 79 ans.

Quand Clara rejoint la famille, Nicolas et Victoire sont déjà décédés, Louis, Félicie, Marie-Louise et Octavie sont encore au foyer. Lors du recensement de 1841 ils y sont toujours, avec deux enfants de l'hospice de Paris Louis François François et Louise Alphonsine Verdier, placés en nourrice. Louis travaille comme journalier et Félicie est ménagère.

Tous les enfants de Boniface et Victoire sont a priori restés dans le Pas-de-Calais. Présente dans le foyer en 1851, Clara n'y est plus en 1856, est-elle placée, travaille-t-elle encore dans le Pas-de-Calais où est-elle déjà à Paris, et pourquoi ? Est-ce par le biais des enfants placés de la Seine qu'elle a vu la capitale et a fini par y descendre. En cherchant du côté de ses oncles, deux étant venu ou ayant des enfants mariés à Paris. Il est probable qu'elle ait rejoint l'un d'eux.

A priori ce fut la seule de sa fratrie à quitter sa région d'origine...

Elle a successivement exercé les professions de couturière, journalière et de marchande des quatre saisons. 

Sources : Ville de Paris / Bibliothèque historique.

https://bibliotheques-specialisees.paris.fr/ark:/73873/pf0001928887

 

 

 

 

 

 

 

18 novembre 2020

Poëlier

Tel est le métier de Michel le père de Louis sur la demande d'acte respectueux d'Alfed Louis à sa mère. Cependant sur la copie de l'acte de baptême de sa troisième fille ; Delphine Annette Louise, en 1825, il est mentionné comme rentier. Reste à savoir quelle rente il pouvait toucher et où elle a été enregistrée. Et sur la reconstitution de son acte de décès il est indiqué qu'il est journalier.

J'avais rédigé quelques mots à propos de son mariage civil, et introuvable encore, avec Marie Jeanne Anne Bertrand,

Michel est né à Gundershoffen, dans le Bas-Rhin, vers 1789 puisqu'il décède à 66 ans en 1855 et rentier, avant que d'être journalier, il a donc exercé la profession de poëlier. 

Je ne vous refais pas l'historique de ses enfants, cela a été vu avec Marie Jeanne Anne, sa femme.

Le poëlier est un fabricant, réparateur ou vendeur de poêle, a priori en faïence mais aussi en tôle fer blanc ou fonte. Ce peut être aussi un vendeur de produits ménagers.

Le poêle à bois (qui existait déjà au temps des romains) aurait été breveté pour la première fois à Strasbourg au XVIIe siècle et les alsaciens seraient restés des spécialistes.

Michel est-il venu à Paris avec son métier ?

 

 POÉLIER FOURNALISTE, ASSEMBLAGE D'UN POÉLE, AUTRES OPÉRATIONS ET DÉVELOPPEMENS

Poelier fournaliste

Auteur(s)
Benard, Robert (Paris, en 1734), dessinateur
Datation en siècle
Type(s) d'objet(s)
Dénomination(s)
Matériaux et techniques
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